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Rates and efficiencies of reactions of ruminal biohydrogenation of linoleic acid according to pH and polyunsaturated fatty acids concentrations
Data from a previous study about the effects of pH and of linolenic acid (C18:3n-3) andlinoleic acid (C18:2n-6) concentrations on C18:2n-6 biohydrogenation in ruminal cultures were used to calculate the rates and efficiencies of the three reactions of C18:2n-6 biohydrogenation (isomerisation of C18:2n-6 to CLA; reduction of CLA to trans-octadecenoic acids; reduction of trans-octadecenoic acids to stearic acid). First, low pH was confirmed to inhibit isomerisation and was shown to inhibit the second reduction, leading to an accumulation of vaccenic acid. This later effect had only been observed in some in vivo studies using high concentrate diets, because in in
vitro experiments, the very low pH frequently used depresses isomerisation which consequently generates very low amount of substrates for reductions whose variations become difficult to ascertain. Second, C18:2n-6 at high concentration was confirmed to saturate its own isomerisation and the increase of CLA production due to high initial C18:2n-6 was shown to inhibit the two subsequent reductions. Third, C18:3n-3 at high concentrations was confirmed to inhibit C18:2n-6 isomerisation. Moreover, the second reduction was shown to be saturated, probably by all trans-octadecenoic acids intermediates of C18:2n-6 and C18:3n-3 biohydrogenation, leading to an accumulation of trans-octadecenoic acids, especially vaccenic acid. This fatty acid is partly desaturated into CLA in the mammary gland, which explains the synergy between C18:2n-6 and C18:3n-3 for milk CLA noticed by others in vivo. This approach helped explain the actions of pH and of C18:2n-6 and C18:3n-3 concentrations on C18:2n-6 biohydrogenation and allows some explanations about differences noticed between studies
Relations entre le diabète sucré de type 2 et l'amyloïdose chez le chat (étude bibliographique)
Les dépôts amyloïdes représentent l'altération la plus typique des îlots pancréatiques chez les personnes atteintes de diabète de type 2 (non-insulino-dépendant) et chez les chats diabétiques. Après avoir rappelé les définitions et les classifications du diabète sucré et de l'amyloïdose, les mécanismes de formation des dépôts amyloïdes dans le pancréas à partir de l'amyline (ou Insular Amyloid PolyPepide) sont exposés. Après présentation des différentes étiologies du diabète sucré, l'implication de l'amyloïdose est envisagée dans chaque mécanisme physiologique et ses possibles altérations conduisant au développement de cette affection. Les conséquences de ces observations sur la population des chats diabétiques sont évoquées. La dernière partie aborde la démarche diagnostique du diabète sucré chez le chat et intègre dans la démarche thérapeutique classique la possibilité de prévention des dépôts amyloïdes.TOULOUSE-EN Vétérinaire (315552301) / SudocTOULOUSE3-BU Santé-Centrale (315552105) / SudocSudocFranceF
Granulocyte éosinophile (physiologie et implication dans les réactions inflammatoires parasitaires)
Les éosinophiles ont longtemps été considérés comme des témoins d'une possible infestation parasitaire mais leur participation dans les mécanismes de défense développés par l'hôte n'a été étudié que récemment. Dans une première partie, les caractéristiques structurales du granulocyte éosinophile sont présentées ainsi que les mécanismes conduisant à leur recrutement et à leur migration. Les éosinophiles sont des granulocytes qui participent à l'immunité et qui peuvent libérer sélectivement ( dégranulation par bouts ) ou non leurs produits de synthèse, en particulier les protéines cytotoxiques MBP, ECP, EPO et EDN. La seconde partie est consacrée à la place des éosinophiles dans les défenses antiparasitaires. La diversité des parasites est mise en parallèle avec la variabilité des réactions inflammatoires d'origine parasitaire et il ressort de cette étude que la migration larvaire est la source majeure des réponses impliquant les éosinophiles. Ils sont principalement recrutés par l'intermédiaire de l'interleukine-5, puis prennent part à la séquestration et à la destruction des formes parasitaires.TOULOUSE-EN Vétérinaire (315552301) / SudocTOULOUSE3-BU Santé-Centrale (315552105) / SudocSudocFranceF
Contribution à l'étude des modalités de la réaction inflammatoire, chez le mouton, lors de co-infestations par Oestrus ovis et/ou par des nématodes du type Haemonchus contortus et Teladorsagia circumcincta (dosage de la protéinémie et de deux protéines positives de la phase aiguë, la céruloplasmine et l'a 1-antitrypsine)
particulier par une élévation, non spécifique, de la concentration en protéines totales ainsi qu'une modification du métabolisme de certaines protéines de la phase aiguë, telles que la céruloplasmine ou l'a-1-antitrypsine. Dans cette étude, la céruloplasmine apparaît comme étant un bon marqueur de poly-infestations par des larves d'Oestrus ovis, pouvant avoir d'éventuelles applications pratiques en médecine vétérinaire, alors que l'a-1-antitrypsine ne semble présenter aucun intérêt dans la détection de foyers inflammatoires d'origine parasitaire. Les expériences présentées ont également permis d'explorer les effets du parasitisme à distance. Ainsi, il ressort que les infestations répétées par des larves d'œstres ont des conséquences défavorables sur le développement et la fécondité des strongles tels qu'Haemonchus contortus ou Teladorsagia circumcincta. A l'inverse, les strongles ne semblent pas interférer avec la biologie des larves de diptères. Les œstres confèreraient donc à l'hôte une résistance à l'infestation par certains nématodes, ce qui permet d'envisager des programmes de sélection visant à obtenir des moutons résistants à un parasite donné, alternative à l'utilisation de molécules anti-parasitaires.TOULOUSE3-BU Santé-Centrale (315552105) / SudocTOULOUSE-EN Vétérinaire (315552301) / SudocSudocFranceF
ETUDE BIBLIOGRAPHIQUE DES MECANISMES DE CONTROLE DU CYCLE CELLULAIRE
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Influence de l'obésité dans l'évolution du diabète sucré chez le chien (étude bibliographique)
L'obésité est un facteur de risque majeur pour la survenue d'un diabète sucré de type 2. L'évolution épidémique de l'incidence de l'obésité chez l'Homme comme chez le chien, annonce une explosion des cas de diabète sucré de type 2 dans les années à venir. Après avoir rappelé les définitions de l'obésité et du diabète sucré, l'auteur présente les étiologies ainsi que mécanismes physiopathologiques conduisant au développement de ces affections. Il propose ensuite une étude des phénomènes reliant l'obésité au diabète. Les conséquences de ces observations sur la population des chiens diabétiques sont évoquées, et l'auteur propose dans la dernière partie, l'intégration de son raisonnement dans la démarche diagnostique et thérapeutique du diabète sucré chez le chien. Les résultats des essais cliniques chez le chien des médicaments anti-diabétiques utilisés chez l'Homme sont présentés, et leur rôle potentiel dans la prise en charge thérapeutique du chien diabétique est évoqué.TOULOUSE3-BU Santé-Centrale (315552105) / SudocTOULOUSE-EN Vétérinaire (315552301) / SudocSudocFranceF
Validation de la détermination de l'insulinémie chez le chien par deux méthodes ELISA
Le diabète sucré est une des dysendocrinies les plus fréquentes chez le chien. La détermination de l'insulinémie dans cette espèce est peu réalisée en pratique, alors que ce dosage présente un intérêt majeur dans le typage et le suivi du diabète sucré ainsi que dans le diagnostic d'insulinome. Le but de cette étude a été d'évaluer deux kits ELISA (Enzyme-linked immunosorbent assay) pour la détermination de l'insulinémie chez le chien, un kit homologue spécifique du chien (Mercodia) et un kit hétérologue (Dako) (dosage de l'insuline plasmatique chez l'homme). Le dosage a été réalisé respectivement sur 71 et 41 chiens en bonne santé et à jeun et a permis la validation de ces deux méthodes de dosage ainsi que l'établissement d'intervalles de valeurs usuelles de l'insulinémie dans l'espèce canine : [2.7 ; 58.56 pmol/L] et [62.17 ; 742.5 pmol/L] respectivement pour le kit Mercodia et le kit Dako.TOULOUSE-EN Vétérinaire (315552301) / SudocTOULOUSE3-BU Santé-Centrale (315552105) / SudocSudocFranceF
HĂ©matologie clinique des poissons, amphibiens et reptiles
Ce travail présente les connaissances de l'hématologie des poissons, des amphibiens et des reptiles. Les techniques de prélèvements de sang sont décrites dans un premier temps, suivies par la description des différents examens réalisables sur les cellules sanguines. Une comparaison de la morphologie de ces cellules est ensuite envisagée, suivie par une description de leurs fonctions et des causes de variation quantitatives et qualitatives. Pour finir, le dernier chapitre de la partie bibliographique résume les hémoparasites décrits dans ces espèces. Enfin, une partie expérimentale regroupe des cas cliniques permettant de voir l'importance des examens hématologiques dans la démarche diagnostique dans ces espèces.TOULOUSE-EN Vétérinaire (315552301) / SudocTOULOUSE3-BU Santé-Centrale (315552105) / SudocSudocFranceF
Contribution à l'étude de la régulation de l'expression du gène humain UCP3 dans le muscle squelettique de souris (étude expérimentale)
UCP3 est une protéine découplante de la membrane interne mitochondriale exclusivement exprimée ou presque dans les muscles squelettiques chez l'Homme et potentiellement impliquée dans le métabolisme des acides gras. Ce travail concerne la régulation de l'expression du gène humain UCP3 chez la souris. Des animaux portant le gène UCP3 en entier ou en partie ont été créés par transgenèse additive dans le but de délimiter les séquences responsables de la spécificité musculaire d'expression et celles responsables de la réponse aux nutriments. Une séquence intronique de 600 pb confère l'expression musculaire in vivo. Le jeûne et le sevrage sont deux situations entraînant une induction de l'expression du transgène et de la forme murine d'UCP3. Ces manipulations nutritionnelles font intervenir les acides gras, modulateurs connus de l'expression d'UCP3. Cependant, d'autres facteurs de régulation pourraient être impliqués dans la régulation de l'expression du gène UCP3.TOULOUSE-EN Vétérinaire (315552301) / SudocSudocFranceF
Contribution Ă l'Ă©tude bibliographique de la leptine chez les carnivores domestiques
La leptine est une hormone polypeptidique polaire de 146 acides ? aminés découverte en 1994 par Zhang et al. Treize ans après, cette étude fait la synthèse des connaissances établies sur cette hormone. La leptine est sécrétée principalement par les adipocytes en fonction des réserves adipeuses et de la balance énergétique. Son rôle principal est de réguler les apports et les dépenses de l'organisme afin de garantir l'homéostasie énergétique. Chez l'homme, elle participe à la régulation centrale de la prise alimentaire, des axes thyréotropes, gonadotropes et corticotropes par son action directe au niveau de l'hypothalamus, et au contrôle de la mobilisation, de l'utilisation et du stockage des réserves en agissant au niveau des tissus adipeux et musculaire essentielement. Elle joue également un rôle dans les réponses inflammatoires et immunes, la gestation et le métabolisme osseux. Le surpoids est associé à une hyperleptinémie qui participe à la progression de l'obésité en entraînant un phénomène de résistance centrale à l'hormone. Chez les carnivores domestiques, les rôles de la leptine ont été peu étudiés et une meilleure compréhension de son implication dans le métabolisme de ces animaux est nécessaire avant d'envisager des applications médicales en médecine vétérinaire. A ce jour les applications médicales se limitent à la correction des états de déficience en leptine chez l'homme.TOULOUSE3-BU Santé-Centrale (315552105) / SudocTOULOUSE-EN Vétérinaire (315552301) / SudocSudocFranceF