5 research outputs found

    Euro Surveill

    Get PDF
    In September 2023, a severe outbreak of type B botulism with fifteen cases was linked to consumption of canned sardines at a restaurant in Bordeaux, France, during the Rugby World Cup. The cases were from seven countries. One death was recorded. Outbreak investigation using credit card data, rapid communication between health authorities of the affected countries and broad media communication allowed identification of cases and exposed persons and prevented further severe outcomes

    Accidentologie et substances psychoactives (impact en terme de prévention en médecine générale)

    No full text
    BORDEAUX2-BU Santé (330632101) / SudocSudocFranceF

    Prise en charge des intoxications médicamenteuses volontaires aux cardiotoxiques en Gironde par le SAMU 33. Analyse de 261 appels reçus au CRRA du SAMU 33 de janvier 2006 à décembre 2007

    No full text
    INTRODUCTION : Les intoxications par cardiotoxiques sont rares, mais potentiellement graves, car elles peuvent évoluer vers un état de choc cardiogénique réfractaire. L'assistance circulatoire périphérique par ECMO peut parfois être la seule technique salvatrice. En 2007, le SAMU 33 s'est équipé d'un dispositif de massage cardiaque externe automatisé, afin d'acheminer les patients les plus graves vers le centre référent en chirurgie cardio-thoracique du département, situé à Haut-Lévêque près de Bordeaux. Celui-ci débutait conjointement la réalisation de cette technique pour cette indication. Une coordination entre les différentes équipes était indispensable, seule garante du succès de la prise en charge : un protocole a donc été mis en place. L'objectif de ce travail était de décrire le fonctionnement de ce réseau afin de repérer les points pouvant être améliorés. MATERIELS ET METHODES : 261 patients ont été inclus rétrospectivement à partir de l'analyse des appels reçus au CRRA du SAMU 33 entre janvier 2006 et décembre 2007. RESULTATS ET DISCUSSION : Les facteurs associés à des intoxications graves étaient : un délai entre l'ingestion et l'appel compris entre 1 h et 6 h, une DSI toxique, la présence de critères cliniques et paracliniques de gravité (cardiologiques, neurologiques, d'ACR et anomalies à l'ECG), l'ingestion de bbloquants à ESM, d'ihnibiteurs calciques ou de méprobamate. Les phénothiazines étaient rarement impliquées dans des troubles cardio-vasculaires graves. L'ECMO a été efficace chez 4 patients sur 5. Les médecins régulateurs utilisaient efficacement le protocole, mais il semble que des améliorations peuvent lui être apportées. CONCLUSION : L'ECMO, technique d'exception, peut parfois constituer la seule issue thérapeutique dans ces intoxications. L'optimisation de la régulation des appels par le CRRA constitue un enjeu important : le but est de dépister les cas graves et de les transporter rapidement vers Bordeaux. Ceci est l'objectif principal de notre protocole. L'obstacle majeur découle de l'étendue géographique de notre département, et l'avenir semble situé dans les unités mobiles d'assistance circulatoire (UMAC), déjà disponibles dans d'autres régions, pouvant se déplacer au chevet du patient.BORDEAUX2-BU Santé (330632101) / SudocSudocFranceF

    Poison control centres and alternative forms of communication: comparison of response rates between text message and telephone follow-up

    No full text
    INTRODUCTION: In recent years, the number of patients managed by poison control centres (PCCs) has increased without a proportional increase in the number of physicians. To improve efficiency without neglecting patient follow-up, some PCCs have begun using text messages. We evaluated the difference in response rates between text messaging and traditional telephone follow-up. MATERIALS AND METHODS: This retrospective, monocentric, non-randomised cohort study was conducted using data from calls made by the New Aquitaine PCC between February 27, 2019, and March 31, 2019. Patients were contacted up to three times by a phone call or short message service (SMS). RESULTS: For the analysis, 823 patients were included. At the end of follow-up, the response rates were similar in the phone call and SMS group (94 vs. 94%; p = 0.76) with median [interquartile range] response times of 0 min [0; 27 min] and 29 min [6; 120 min], respectively. The response rates did not differ in subgroups stratified according to sex, self-poisoning vs. relative response, age class, and solicitation during working hours vs. outside of working hours (all p > 0.5). Moreover, health practitioners required 2.4-fold more time to call than to send text messages (p < 0.001), and all practitioners were satisfied or very satisfied with text messaging implementation. CONCLUSION: Patients had good adherence to text messages. Text messages are easy to use, rapid, and allow the physician to easily prioritise follow-up without occupying the emergency line. Additionally, the costs of installation and maintenance are low for text message systems; these low costs facilitate the implementation of such services in various medical situations
    corecore