3 research outputs found

    L’urétroplastie par résection anastomose terminoterminale pour rétrécissement de l’urètre masculin au CHU Sylvanus Olympio de Lomé au Togo

    Get PDF
    Objectif: évaluer l’uretroplastie par résection anastomose terminoterminale (URAT) au CHU Sylvanus Olympio de Lomé au Togo.Patients et méthodes: étude descriptive, rétrospective sur 30 mois, portant sur 34 patients qui ont subi une URAT.Résultats: L’âge moyen des patients était de 44,79+/-15 ans. La retention vesicale complete d’urines était le motif de consultation le plus fréquent avec 53% (18) des cas. L’urètre bulbaire était le siège le plus touché, avec 67,6% des cas. L’étiologie était infectieuse dans 55,9% des cas. La suppuration de la plaie opératoire, était la complication la plus retrouvée, avec 14,7% des cas. Le taux de success dans notre série était de 61,7%.Conclusion: L’URAT, est la technique d’urétroplastie la plus utilisée au CHU-SO de Lomé. C’est unetechnique qui donne de bons résultats. Mais le taux d’échec reste encore élevé chez nous. Les complicationspost opératoires sont également fréquentes, réduisant ainsi, les chances de réussite de l’urétroplastie.Mots clés: rétrécissement urétral masculin; urétroplastie anastomotique; résultatsEnglish Title: End-to-end urethroplasty anastomosis for urethral stricture at the CHU Sylvanus Olympio of Lomé in TagoEnglish AbstractObjective: To evaluate the end-to-end urethroplasty anastomosis (EURA) in the CHU Sylvanus Olympioof Lomé in Togo.Patients and methods: A descriptive and retrospective study over 30 months on 34 patients who underwent EURA.Results: The mean age was 44.79 ± 15 years. The full vesical retention of urine was the most frequentreason for consultation with 53% (18) of cases. The bulbar urethra was the most affected seat with 67.6%of cases. The etiology was infectious in 55.9% of cases. Suppuration of the wound was the most foundcomplication with 14.7% of cases. The success rate in our series was 61.7%.Conclusion: The end-to-end urethroplasty anastomosis is the mostly used technique in CHU-SO of Lomé.This is a technique that gives good results, but the failure rate is still high at home. The postoperativecomplications are also common, reducing the chances of successful urethroplasty.Keywords: Male urethral stricture; Anastomotic urethroplasty; Outcome

    Experience with Open Prostatectomy in Lomé, Togo

    Get PDF
    The average blood loss at surgery was 425.92 ± 38.2 ml with an average operating time of 66.05 ± 15.75 mins and the main complications were hemorrhaging and clot retention in 7 (13%), epididymo-orchitis in 9 (16.7%), and urinary incontinence in 6 (11.1%) patients. IPSS scores were under 7 in 92% of patients three months after surgery and the mortality rate was 3.7%. Conclusion: This study has shown that open prostatectomy in our environment is still the commonest surgical option for benign prostatic hyperplasia with good outcomes though with manageable complications

    L’urétroplastie par résection anastomose terminoterminale pour rétrécissement de l’urètre masculin au CHU Sylvanus Olympio de Lomé au Togo

    Get PDF
    Objectif: évaluer l’uretroplastie par résection anastomose terminoterminale (URAT) au CHU Sylvanus Olympio de Lomé au Togo. Patients et méthodes: étude descriptive, rétrospective sur 30 mois, portant sur 34 patients qui ont subi une URAT. Résultats: L’âge moyen des patients était de 44,79+/-15 ans. La retention vesicale complete d’urines était le motif de consultation le plus fréquent avec 53% (18) des cas. L’urètre bulbaire était le siège le plus touché, avec 67,6% des cas. L’étiologie était infectieuse dans 55,9% des cas. La suppuration de la plaie opératoire, était la complication la plus retrouvée, avec 14,7% des cas. Le taux de success dans notre série était de 61,7%. Conclusion: L’URAT, est la technique d’urétroplastie la plus utilisée au CHU-SO de Lomé. C’est une technique qui donne de bons résultats. Mais le taux d’échec reste encore élevé chez nous. Les complications post opératoires sont également fréquentes, réduisant ainsi, les chances de réussite de l’urétroplastie
    corecore