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    Robot-assisted versus laparoscopic pancreatoduodenectomy:a pan-European multicenter propensity-matched study

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    Background: The use of robot-assisted and laparoscopic pancreatoduodenectomy is increasing, yet large adjusted analyses that can be generalized internationally are lacking. This study aimed to compare outcomes after robot-assisted pancreatoduodenectomy and laparoscopic pancreatoduodenectomy in a pan-European cohort. Methods: An international multicenter retrospective study including patients after robot-assisted pancreatoduodenectomy and laparoscopic pancreatoduodenectomy from 50 centers in 12 European countries (2009–2020). Propensity score matching was performed in a 1:1 ratio. The primary outcome was major morbidity (Clavien–Dindo ≥III). Results: Among 2,082 patients undergoing minimally invasive pancreatoduodenectomy, 1,006 underwent robot-assisted pancreatoduodenectomy and 1,076 laparoscopic pancreatoduodenectomy. After matching 812 versus 812 patients, the rates of major morbidity (31.9% vs 29.6%; P = .347) and 30-day/in-hospital mortality (4.3% vs 4.6%; P = .904) did not differ significantly between robot-assisted pancreatoduodenectomy and laparoscopic pancreatoduodenectomy, respectively. Robot-assisted pancreatoduodenectomy was associated with a lower conversion rate (6.7% vs 18.0%; P &lt; .001) and higher lymph node retrieval (16 vs 14; P = .003). Laparoscopic pancreatoduodenectomy was associated with shorter operation time (446 minutes versus 400 minutes; P &lt; .001), and lower rates of postoperative pancreatic fistula grade B/C (19.0% vs 11.7%; P &lt; .001), delayed gastric emptying grade B/C (21.4% vs 7.4%; P &lt; .001), and a higher R0-resection rate (73.2% vs 84.4%; P &lt; .001). Conclusion: This European multicenter study found no differences in overall major morbidity and 30-day/in-hospital mortality after robot-assisted pancreatoduodenectomy compared with laparoscopic pancreatoduodenectomy. Further, laparoscopic pancreatoduodenectomy was associated with a lower rate of postoperative pancreatic fistula, delayed gastric emptying, wound infection, shorter length of stay, and a higher R0 resection rate than robot-assisted pancreatoduodenectomy. In contrast, robot-assisted pancreatoduodenectomy was associated with a lower conversion rate and a higher number of retrieved lymph nodes as compared with laparoscopic pancreatoduodenectomy.</p

    Étude rétrospective comparant l'embolisation portale avec la ligature chirurgicale d'une branche de la veine porte dans le but d'induire une hypertrophie hépatique avant une hépatectomie majeure

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    Etude rétrospective comparant l embolisation portale avec la ligature chirurgicale d une branche de la veine porte dans le but d induire une hypertrophie hépatique avant une hépatectomie majeure. Introduction : L obstruction du flux portal droit induit une hypertrophie du foie gauche. L embolisation percutanée est le procédé le plus utilisé car il est applicable avant toute intervention et il est considéré comme le plus complet avec une obstruction totale et distale. Lors d une laparotomie première, qui s intègre dans une séquence chirurgicale, il est possible de lier la veine porte droite, mais ce procédé est considéré comme incomplet et transitoire. Le but de cette étude a été de comparer ces deux techniques en terme de faisabilité et d efficacité à induire une hypertrophie. Méthodes : De 1998 à 2003, 35 patients atteints de métastases hépatiques ont eu une obstruction portale droite avant une hépatectomie droite à risque , à cause d un foie gauche de volume < 30% ou de qualité insuffisante (post-chimiothérapie). Dix huit patients ont eu une embolisation portale percutanée et 17 patients ont eu une ligature portale chirurgicale lors de la laparotomie de premier temps thérapeutique incluant l exérèse d une tumeur primitive dans 10 cas et l exérèse de métastases du foie gauche dans 16 cas. Résultats : L embolisation et la ligature portales ont été possibles chez tous les patients. L embolisation portale a été complète chez tous les patients, sauf un. L intervalle de temps entre l occlusion portale et la résection hépatique a été comparable dans les deux groupes (7 3 semaines après embolisation versus 8 3 semaines après ligature, p=0,6). Aucune complication n a été observée après embolisation et la durée d hospitalisation a été de 2 +- 1 jours. Dans le groupe ligature, la durée d hospitalisation a été de 13 +- 6 jours et 6 patients ont eu des complications en rapport avec le geste associé à la ligature portale. Le volume du foie gauche est passé de 509 +- 222 ml à 641 +- 220 ml après embolisation (p<0,001), et de 477 +- 179 ml à 638 +- 192 ml après ligature (p<0,001). L hypertrophie du foie gauche était similaire entre les deux groupes (35 +- 38% après embolisation versus 38 +- 26% après ligature, p=0,7). Après embolisation, 6 patients n ont pas pu être opérés à cause d une hypertrophie insuffisante (n=2) ou d une progression tumorale (n=4). Après ligature, 3 patients n ont pas pu être opérés à cause d une progression tumorale (n=2) ou d un décès intercurrent (n=1). Le scanner avant résection a montré la présence d un cavernome portal chez 3 malades dans chaque groupe mais sans augmentation significative de la difficulté d intervention jugée sur la durée d intervention (6,4 +- 1 heures versus 6,7 +- 1 heures, p=0,7) et le taux de transfusion (33% versus 28%, p=0,7) après embolisation et ligature, respectivement. Sur les pièces d hépatectomie, la nécrose tumorale était de 47 29% après embolisation et de 43 43% après ligature (p=0.6). Conclusion : La ligature portale droite induit une hypertrophie du foie gauche identique à celle d une embolisation percutanée. Lors d une laparotomie qui s inscrit dans une séquence thérapeutique avant hépatectomie droite, il n y a pas d argument pour ne pas réaliser une ligature portalePARIS13-BU Serge Lebovici (930082101) / SudocSudocFranceF
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