6 research outputs found

    Genomic Diversity of the Ostreid Herpesvirus Type 1 Across Time and Location and Among Host Species

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    The mechanisms underlying virus emergence are rarely well understood, making the appearance of outbreaks largely unpredictable. This is particularly true for pathogens with low per-site mutation rates, such as DNA viruses, that do not exhibit a large amount of evolutionary change among genetic sequences sampled at different time points. However, whole-genome sequencing can reveal the accumulation of novel genetic variation between samples, promising to render most, if not all, microbial pathogens measurably evolving and suitable for analytical techniques derived from population genetic theory. Here, we aim to assess the measurability of evolution on epidemiological time scales of the Ostreid herpesvirus 1 (OsHV-1), a double stranded DNA virus of which a new variant, OsHV-1 ÎŒVar, emerged in France in 2008, spreading across Europe and causing dramatic economic and ecological damage. We performed phylogenetic analyses of heterochronous (n = 21) OsHV-1 genomes sampled worldwide. Results show sufficient temporal signal in the viral sequences to proceed with phylogenetic molecular clock analyses and they indicate that the genetic diversity seen in these OsHV-1 isolates has arisen within the past three decades. OsHV-1 samples from France and New Zealand did not cluster together suggesting a spatial structuration of the viral populations. The genome-wide study of simple and complex polymorphisms shows that specific genomic regions are deleted in several isolates or accumulate a high number of substitutions. These contrasting and non-random patterns of polymorphism suggest that some genomic regions are affected by strong selective pressures. Interestingly, we also found variant genotypes within all infected individuals. Altogether, these results provide baseline evidence that whole genome sequencing could be used to study population dynamic processes of OsHV-1, and more broadly herpesviruses

    "Persistent Memory". Conservation de la mémoire numérique à Pyramiden, archipel du Svalbard (NorvÚge)

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    “Persistent Memory” est un projet d’archive de donnĂ©es numĂ©riques individuelles sur le long terme. Il prend place Ă  Pyramiden, une ancienne citĂ© miniĂšre soviĂ©tique aujourd’hui abandonnĂ©e. Cette ville se situe dans l’archipel du Svalbard, proche du pĂŽle Nord. Ses qualitĂ©s gĂ©opolitique, sismique et gĂ©ographique en font le lieu idĂ©al pour la conservation de biens sensibles. Tout au long de leur vie, les utilisateurs importent leurs data dans l’intranet des serveurs de ”Persistent Memory”, installĂ©s dans les anciens immeubles de logement minier de la ville. L’énergie que dĂ©veloppent ces nouveaux “habitants” suffit Ă  maintenir le patrimoine de Pyramiden et Ă  rĂ©activer la ville dans son ensemble. A la mort de l’utilisateur, son profil numĂ©rique est triĂ©, transformĂ© et stockĂ© dans une urne funĂ©raire. Cet objet est une version pĂ©renne et analogique de sa mĂ©moire numĂ©rique. Un funiculaire circulant dans la montagne conduit au niveau de l’ancienne mine oĂč les urnes sont entreposĂ©es. Une sphĂšre taillĂ©e au cƓur des galeries accueille familles et chercheurs qui dĂ©sirent consulter ces tĂ©moignages de l’histoire. Le projet d’architecture questionne la persistance de la mĂ©moire numĂ©rique et physique. Il y rĂ©pond par des objets aux formes pures et par une approche sensible et matĂ©rielle de ces donnĂ©es

    L’infrastructure comme support, seuil et cadre

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    Si elles jouissent actuellement d’un regain d’intĂ©rĂȘt, les infrastructures de mobilitĂ© doivent ĂȘtre repensĂ©es. Soumises Ă  des logiques de mutualisation des potentiels, des investissements et des risques, elles tendent Ă  se combiner avec d’autres types de programmes – habitat, travail, loisirs, Ă©quipements publics –, et apparaissent comme de puissants leviers de transformation urbaine et de rĂ©Ă©quilibrage territorial. DĂšs lors, comment relever le pari de concevoir de nouveaux types d’«architectures infrastructurelles» complexes et contextualisĂ©es, capables d’intĂ©grer d’autres fonctions que la mobilitĂ©, mais aussi un environnement climatique, social, urbain et paysager spĂ©cifique? Le dĂ©veloppement d’une nouvelle culture de l’infrastructure de transport implique en premier lieu de rĂ©examiner les dĂ©finitions relativement ouvertes que les dictionnaires courants1 et spĂ©cialisĂ©s2 donnent du terme « infrastructure » en gĂ©nĂ©ral. Les trois mĂ©taphores architectoniques du support, du seuil et du cadre, dont la premiĂšre partie de ce livre pourra suggĂ©rer plusieurs interprĂ©tations complĂ©mentaires, illustrent la dĂ©marche dĂ©veloppĂ©e au cours des derniĂšres annĂ©es par le Laboratoire d’Architecture et de MobilitĂ© Urbaine
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