74 research outputs found

    Association between Body Mass Index and depression: the "fat and jolly" hypothesis for adolescents girls

    Get PDF
    International audienceABSTRACT: BACKGROUND: Results concerning the association between Body Mass Index (BMI) and depression in adolescence are conflicting, some describing a linear association (increase in BMI with level of depression), some a U-shaped association (both underweight and obesity are associated with high levels of depression), and they mostly concern small samples. The purpose of this study was to describe the association between BMI and depression in a large representative sample of French adolescents. METHODS: The association between BMI and depression, measured on the Adolescent Depression Rating Scale (ADRS), was tested in a French national representative sample of 39542 adolescents aged 17. Self-report data is derived from the 2008 ESCAPAD study, an epidemiological study based on a questionnaire focused on health and drug consumption.We used spline function analysis to describe the association between BMI and depression. RESULTS: The association between BMI and depression is significant (p<0.001) and non-linear for both genders, with no effect of parental working and marital status. For boys, there is U-shaped association. For girls the shape of the association is complex and shows inverted convexity for high levels of BMI. The spline shows higher scores for depression among overweight girls than among obese girls. CONCLUSION: There is evidence for a gender difference in the association between BMI and depression in adolescents, supporting the need to study boys and girls separately. Overweight adolescent girls are more likely to be depressed than obese adolescent girls, giving support for "fat and jolly" hypothesis not only among older women but also among adolescent girls

    The Adolescent Depression Rating Scale (ADRS): a validation study

    Get PDF
    BACKGROUND: To examine the psychometric properties of the Adolescent Depression Rating Scale (ADRS), a new measure was specifically designed to evaluate adolescent depression. METHODS: The 11-item clinician-report and 44-item self-report versions of the ADRS were developed from a qualitative phase involving interviews of experts and adolescents. These two instruments were then administered to 402 French speaking adolescents with and without depressive disorders. Item distribution, internal consistency, convergent validity, discriminant validity and factorial structure were assessed. RESULTS: After reduction procedures, a 10-item clinician version and a 10-item self-report version were obtained. The ADRS demonstrated good internal consistency (alpha Cronbach coefficient >.70). It also discriminated better between adolescents with and without depression than the Hamilton Depressive Rating Scale and the Beck Depression Inventory (BDI-13). CONCLUSION: The ADRS is a useful, short, clinician-report and self-report scale to evaluate adolescent depression. Further studies to replicate our findings and evaluate ADRS sensitivity to effects of treatment and psychometric properties in populations of adolescents with several psychiatric disorders are warranted

    L'expérience dépressive à l'adolescence (entre clinique et recherche qualitative)

    No full text
    BESANCON-BU MĂ©decine pharmacie (250562102) / SudocSudocFranceF

    Quand les mots manquent, le corps signifie (apports de la recherche qualitative à la compréhension du rôle de la nourriture chez l'adolescent obèse et sa famille)

    No full text
    L'obésité de l'enfant et de l'adolescent est un enjeu majeur de santé publique en France et dans le monde, de par sa prévalence et son retentissement sévère. Les relations familiales y occupent une place importante, dans la genèse du trouble, son maintien, et sa prise en charge. La famille est au cœur du dispositif thérapeutique. Pourtant, le lien entre le fonctionnement relationnel familial et la nourriture n'est pas clairement établi sur le plan théorique. L'objectif de ce travail est de poser les bases d'une élaboration théorique de cette question. Pour ceci, nous avons utilisé des méthodes qualitatives de deux manières. La 1ère partie a consisté en une étude qualitative phénoménologique du rôle de l'alimentation dans les relations familiales chez ces adolescents obèses. Deux entretiens semi-structurés (adolescents, parents) se déroulaient autour d'une photographie de la fin d'un repas prise par le sujet (méthode de la photo-elicitation). L'analyse du matériel verbal utilisait l'Interpretative Phenomenological Analysis (IPA). La 2ème partie a consisté en une revue de la littérature qualitative sur l'obésité de l'adolescent, à l'aide d'une méthode d'analyse d'inspiration phénoménologique. Les articles inclus interrogeaient les adolescents obèses, leurs parents ou les spécialistes de santé travaillant auprès de jeunes souffrant d'obésité. Les principaux résultats sont d'une part, la mise en évidence d'interelations majeures entre relations et nourriture au sein de la famille ; le fonctionnement alimentaire apparait comme le reflet du fonctionnement relationnel ; d'autre part, la mise en évidence d'une impossibilité à dire obésité, qui semble le témoin d'une impossibilité à utiliser la parole signifiante dans la relation familiale. L'hypothèse retenue serait celle d'un trouble de la sphère relationnelle, où le passage par les mots est compromis. L'alimentation deviendrait alors le principal moyen de communication et d'expression au sein de la famille.CLERMONT FD-BCIU-Santé (631132104) / SudocSudocFranceF

    Evaluation de la dépréssion chez l'adolescent (de la clinique à la psychométrie)

    No full text
    Les troubles dépressifs de l'adolescent sont un enjeu de santé publique tant en terme de morbidité que de mortalité, ils réclament une réflexion approfondie sur l'articulation entre clinique de l'adolescence et clinique de la dépression . Devant l'absence d'instruments spécifiques, et validés, de mesure de la dépression à l'adolescence en français, nous avons entrepris la construction d'un nouvel outil (A.D.R.S, Adolescent Depression Rating Scale). Prenant appui sur une phase qualitative initiale (analyse de la littérature, entretiens de recherche auprès d adolescents traités pour dépression, et de psychiatres d'adolescent), nous avons envisagé les spécificités de l'expérience dépressive chez l'adolescent, mettant en scène les facteurs individuels, familiaux, culturels, sociaux, psychiques, et biologiques, qui façonnent l'expression de la souffrance. A partir des entretiens de recherche nous avons détaillé une expérience dépressive qui comporte trois facettes : (1) état émotionnel avec l'irritabilité, l'envahissement par le vécu de la dépression, les perceptions négatives de soi et les idées de mort ; (2) manifestations non émotionnelles : ralentissement psychique, sommeil ; (3) manifestations au travers des interactions sociales : au travail, dans les loisirs, et la vie relationnelle. En fonction de ces facettes d'expérience, nous avons élaboré une version pour le clinicien, une pour le patient qui ont été administrées à 409 adolescents de 13 à 20 en France, Belgique et Suisse. Après validation, les procédures psychométriques de sélection finale des items ont abouti à deux versions à 10 items. L'ADRS (copyright AP-HP, 2004) se présente comme un bon outil de mesure de la dépression des adolescents, maniable, destine à la recherché thérapeutique (médicamenteuse ou pas), qu'à la recherché clinique, ou aux actions de repérage.PARIS13-BU Droit-Lettres (930792101) / SudocSudocFranceF

    A propos d'un trouble de l'identité sexuelle chez un garçon prépubaire

    No full text
    PARIS-BIUM (751062103) / SudocCentre Technique Livre Ens. Sup. (774682301) / SudocSudocFranceF
    • …
    corecore