7 research outputs found

    Update on Mechanisms, Pathogenicity, Heterogeneity of Presentation, and Laboratory Diagnosis of Heparin-Induced Thrombocytopenia

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    Heparin-induced thrombocytopenia (HIT) is the most life-threatening adverse effect of heparin therapy and is provoked by the development of drug-dependent antibodies. It occurs more frequently in patients with cardiac or orthopedic surgery or severe circulatory diseases, and the risk depends on the patient pathological status. As heparin is an anticoagulant used for treating thrombotic events or their risk, this iatrogenic complication has a paradoxal effect as it can induce thromboembolic diseases, frequently associated to severe morbidity or fatal outcomes. Diagnosis involves clinical evaluation of disease probability and laboratory tools for testing the presence of heparin-dependent antibodies with immunoassays or their capability to activate platelets with functional assays. Antibodies developed when stoichiometric complexes of platelet factor 4 (PF4) with heparin are formed during therapy. In few cases non-platelet factor 4 antigens can be involved. Antibodies can remain asymptomatic, but pathogenicity occurs in the presence of high concentrations of IgG isotype antibodies, with high avidity: they target and activate platelets or endothelial cells exposing heparin-PF4 (HPF4) complexes and produce thrombocytopenia and sometimes thrombosis. Risk factors which favor the development of antibodies and their pathological effect are discussed. The present understanding of mechanisms underlying disease development and diagnostic strategies of this heparin adverse effect is presented

    La fouille du 13bis rue des Ponts-Chartrains : contribution Ă  l'Ă©tude de la formation du quartier Blois Vienne

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    La fouille du 13 bis rue des Ponts Chartrains localisée à la marge du faubourg de Blois-Vienne a révélé une occupation des premier et second Moyen Âge, inédite. Réalisée durant l’automne-hiver 2014-2015 préalablement à la construction de logements sociaux, elle a porté sur une superficie de 3413 m². Elle fait suite à une étude de bâti réalisée en 2013 par V. Mataouchek (Inrap) et à un diagnostic mené par F. Capron (Inrap) en 2014. Si quelques observations indiquent une fréquentation du terrain à la Préhistoire et à la Protohistoire, l’emprise n’a pas livré de vestiges gaulois et antique. Concentrées dans la moitié nord-est du terrain, les structuresrattachées à l’occupation qui se développe entre les Ve-VIe et le VIIIe s. caractérisent un secteur spécialisé consacré au stockage et à l’extraction. Il pourrait sans doutese rapporter à une occupation agropastorale plus importante encore mal définie et traduire des micro-déplacements des pôles d’occupation sur un territoire en lien avec les points de franchissement de la Loire. La présence du fleuve est prégnante sur ce territoire et des apports de sédiment vont se succéder sans interruption. L’emprise semble par la suite jusqu’à la fin du XVe-début XVIe s. exploitée à des fins agricoles. La fouille a également permis de suivre assez précisément la mise en place du bâti sur ces parcelles et leur évolution jusqu’à nos jours. À la fin du XVe s. et au début du XVIe s., une propriété protégée par un solide mur de clôture marque une phase d’expansion de l’urbanisation en Vienne. Elle se compose d’un ensemble de bâtiments juxtaposés dont un pigeonnier et un grand logis Renaissance remarquable dont les modénatures des fenêtres imitent celles de l’aile Louis XII du château de Blois. Dans la cave, un commerce, peut-être de vin ou de vinaigre, se développe pour un temps. À côté de cet hôtel périurbain protégé par sa clôture qui émerge de la plaine inondable, le reste du terrain semble toujours soumis aux crues de la Loire. Un chemin aménagé au fond d’une boire est colmaté par un important dépôt sableux et le bâti qui prend place ensuite en bordure de la rue des Ponts Chatrains est détruit par des crues importantes. L’organisation des premiers bâtiments suggère un lotissement plutôt lâche et irrégulier laissant de grands espaces non bâtis en coeur d’îlot qui ont pu être mis en culture par intermittence. Le bâti actuel du quartier estdirectement hérité de ces transformations qui n’ont pas totalement effacé les projets initiaux. Les derniers bâtiments encore en élévation en 2013, prennent appui sur les quelques tronçons de mur rescapés. Les crues très fréquentes dans le faubourg de Vienne, et particulièrement bien attestées par les textes à partir de la fin du XVIe s., vont persister avec une relative fréquence jusqu’au XIXes. malgré toutes les tentatives de protection tels qu’un canal de dérivation des eaux, des levées, etc. Ces résultats s’intègrent dans la réflexion collective menée par l’équipe du projet collectif de recherche intitulé « Blois ville et territoire ligérien depuis les premières installations humaines jusqu’à nos jours » dirigé par D. Josset (Inrap) qui assure la coordination des recherches menées sur la fabrique urbaine

    La fouille du 13bis rue des Ponts-Chartrains : contribution Ă  l'Ă©tude de la formation du quartier Blois Vienne

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    La fouille du 13 bis rue des Ponts Chartrains localisée à la marge du faubourg de Blois-Vienne a révélé une occupation des premier et second Moyen Âge, inédite. Réalisée durant l’automne-hiver 2014-2015 préalablement à la construction de logements sociaux, elle a porté sur une superficie de 3413 m². Elle fait suite à une étude de bâti réalisée en 2013 par V. Mataouchek (Inrap) et à un diagnostic mené par F. Capron (Inrap) en 2014. Si quelques observations indiquent une fréquentation du terrain à la Préhistoire et à la Protohistoire, l’emprise n’a pas livré de vestiges gaulois et antique. Concentrées dans la moitié nord-est du terrain, les structuresrattachées à l’occupation qui se développe entre les Ve-VIe et le VIIIe s. caractérisent un secteur spécialisé consacré au stockage et à l’extraction. Il pourrait sans doutese rapporter à une occupation agropastorale plus importante encore mal définie et traduire des micro-déplacements des pôles d’occupation sur un territoire en lien avec les points de franchissement de la Loire. La présence du fleuve est prégnante sur ce territoire et des apports de sédiment vont se succéder sans interruption. L’emprise semble par la suite jusqu’à la fin du XVe-début XVIe s. exploitée à des fins agricoles. La fouille a également permis de suivre assez précisément la mise en place du bâti sur ces parcelles et leur évolution jusqu’à nos jours. À la fin du XVe s. et au début du XVIe s., une propriété protégée par un solide mur de clôture marque une phase d’expansion de l’urbanisation en Vienne. Elle se compose d’un ensemble de bâtiments juxtaposés dont un pigeonnier et un grand logis Renaissance remarquable dont les modénatures des fenêtres imitent celles de l’aile Louis XII du château de Blois. Dans la cave, un commerce, peut-être de vin ou de vinaigre, se développe pour un temps. À côté de cet hôtel périurbain protégé par sa clôture qui émerge de la plaine inondable, le reste du terrain semble toujours soumis aux crues de la Loire. Un chemin aménagé au fond d’une boire est colmaté par un important dépôt sableux et le bâti qui prend place ensuite en bordure de la rue des Ponts Chatrains est détruit par des crues importantes. L’organisation des premiers bâtiments suggère un lotissement plutôt lâche et irrégulier laissant de grands espaces non bâtis en coeur d’îlot qui ont pu être mis en culture par intermittence. Le bâti actuel du quartier estdirectement hérité de ces transformations qui n’ont pas totalement effacé les projets initiaux. Les derniers bâtiments encore en élévation en 2013, prennent appui sur les quelques tronçons de mur rescapés. Les crues très fréquentes dans le faubourg de Vienne, et particulièrement bien attestées par les textes à partir de la fin du XVIe s., vont persister avec une relative fréquence jusqu’au XIXes. malgré toutes les tentatives de protection tels qu’un canal de dérivation des eaux, des levées, etc. Ces résultats s’intègrent dans la réflexion collective menée par l’équipe du projet collectif de recherche intitulé « Blois ville et territoire ligérien depuis les premières installations humaines jusqu’à nos jours » dirigé par D. Josset (Inrap) qui assure la coordination des recherches menées sur la fabrique urbaine

    Update on functional and genetic laboratory assays for the detection of platelet microvesicles

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    Functional and genetic assays for measuring platelet microvesicles (PMVs) are presented and discussed. Functional assays concern two groups of methods: a) homogeneous assays using the cofactor activity of phospholipids (PPLs) contained in PMVs and present in assayed plasmas, and a coagulation or a thrombin generation assay (TGA) as “end points”; b) capture-based assays, in which PMVs bind to an immobilized ligand, such as Annexin V in the presence of calcium, or monoclonal antibodies (MoAbs) specific for membrane proteins. Genetic assays aim to detect micro-RNA (miRNA) present in PMVs: miRNA must be extracted from plasma, and the expression pattern can be determined by various methods such as quantitative real-time PCR, microarray or sequencing. All these technical approaches introduce new exploration tools for measuring or quantitating PMVs or their associated activities, as biomarkers for disease evolution, their diagnosis or prognosis, and for monitoring of some antithrombotic or anti-inflammatory therapies. They offer invaluable analytical tools for research, drug discovery and epidemiological studies and have a strong potential as diagnostic tests
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