27 research outputs found

    Le botulisme (le point en 2012)

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    LYON1-BU Santé (693882101) / SudocSudocFranceF

    Chlamydia trachomatis et infertilité tubaire (étude des données 2011-2012 du service de la reproduction de l'Hôpital femme-mère-enfant (HFME) de Lyon)

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    Chlamydia trachomatis est une bactérie intracellulaire obligatoire responsable de multiples infections notamment localisées au niveau du système génital. Elle représente la première cause d'infections sexuellement transmissibles dans le monde. Ces infections souvent asymptomatiques ne sont pas pour autant inoffensives. En effet, de multiples complications peuvent apparaître dans les années suivant la contamination. Une des complications les plus préoccupantes à ce jour est représentée par l'infertilité tubaire chez la femme. En effet, la bactérie entraîne de graves lésions des trompes de Fallope pouvant aboutir à cette infertilité. Le diagnostic de cette bactérie est désormais facilité par les techniques de biologie moléculaire avec amplification apparues ces dernières années. Les autorités telles que l'ANAES ou l'OMS par exemple, énoncent l'intérêt qu'aurait un dépistage systématique de cette bactérie sur le portage, la contamination et donc les complications. Plusieurs techniques d'Assistance Médicale à la Procréation peuvent être utilisées afin de permettre aux femmes atteintes par ces troubles de devenir mère. Dans ce contexte, l'objectif de ce travail est d'estimer la proportion de femmes prises en charge par le service de la reproduction de l'hôpital Femme-Mère-Enfant de Lyon en 2011 et 2012 dans le cadre d'une infertilité tubaire due à Chlamydia trachomatis. Ainsi, après avoir rappelé les différents examens utilisés lors d'un bilan d'infertilité et les différentes techniques d'Assistance Médicale à la Procréation utilisées lors d'infertilités tubaires, les dossiers des femmes ayant subi une FIV/FIV-ICSI (Fécondation In Vitro/Fécondation In Vitro - Intra-Cytoplasmic Sperm Injection) ont été étudiés un à un afin d'identifier une possible imputabilité de Chlamydia trachomatis. Cette étude a mis en évidence un nombre faible mais non négligeable de femmes atteintes de complications imputables à Chlamydia trachomatis au vu des moyens de diagnostic et des traitements disponibles pour lutter contre cette infectionLYON1-BU Santé (693882101) / SudocSudocFranceF

    Facteurs de virulence et d'endémicite chez legionella pneumophila sérogroupe 1

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    Nos travaux ont porté sur l'étude de facteurs potentiellement impliqués dans la virulence et/ou l'endémicité de souches de légionelles. Notre première étude a confirmé la virulence accrue de Legionella pneumophila sérogroupe 1 (Lp1) en démontrant que la prédominance de Lp1 en clinique n'était pas le reflet d'une prédominance dans l'environnement. Par ailleurs, nous avons montré que les profils PFGE de l'espèce L. anisa étaient très homogènes, contrairement à ceux des Lp1. Nous avons également démontré qu'un élément de type plasmide-like de 36 kb de la souche endémique Lp1 Paris, s'intègre au chromosome durant la phase exponentielle de croissance bactérienne par un phénomène de recombinaison au niveau de sites att spécifiques. L'expression de certains gènes de cet élément serait liée à la quantité de forme épisomique, et surviendrait en phase de latence. Nous avons enfin étudié une protéine spécifique de L. pneumophila indispensable à la multiplication intra-amibienneLYON1-BU.Sciences (692662101) / SudocSudocFranceF

    Prise en charge des plaies superficielles, brûlures, piqûres et morsures à l'officine

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    LYON1-BU Santé (693882101) / SudocSudocFranceF

    Pseudomonas aeruginosa dans le cadre de la mucoviscidose

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    La mucoviscidose est la maladie génétique la plus fréquente dans la population caucasienne. Chaque année, environ 200 nouveau-nés en sont touchés. Cette pathologie concerne une multitude d'organes : poumons, foie, pancréas, intestin grêle, peau, organes génitaux, ... Une prise en charge pluridisciplinaire est donc indispensable. Les centres de ressources et de compétences de la mucoviscidose (CRCM) regroupent différentes spécialités médicales (médecins, kinésithérapeutes, pharmaciens, diététiciens, infirmières, psychologues) et permettent une prise en charge précoce. Une mauvaise clairance mucociliaire engendre la survenue d'infections bactériennes, responsables d'une dégradation de la fonction pulmonaire et d'environ 90 % des décès chez les patients atteints de mucoviscidose. Parmi les espèces bactériennes, Staphylococcus aureus et Haemophilus injluenzae sont plutôt retrouvés lors de l'enfance alors que Pseudomonas aeruginosa colonise préférentiellement les poumons à partir de l'adolescence. L'infection à Pseudomonas aeruginosa est la plus problématique dans un contexte de mucoviscidose. En effet, l'infection devient chronique et cette bactérie met en place de nombreux mécanismes pour s'adapter à ce nouvel environnement et échapper à la fois aux défenses immunitaires de l'hôte et aux traitements antibiotiques. La prise en charge thérapeutique repose sur l'antibiothérapie. Pseudomonas aeruginosa est naturellement résistant à de nombreuses molécules et ce phénomène s'amplifie constamment. Il est donc indispensable d'orienter les recherches sur d'autres cibles thérapeutiques. La mise au point d'inhibiteurs du quorum sensing , le recours aux bactériophages ou à la vaccination font partie des nouvelles stratégies thérapeutiques qui apparaissent prometteusesLYON1-BU Santé (693882101) / SudocSudocFranceF
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