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    Etude comparative des criteres d’amsel et du score de nugent pour le diagnostic de la vaginose bacterienne a cotonou, benin.

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    Objectifs : Comparer les critères d’Amsel et le score de Nugent pour le diagnostic de la vaginose bactérienne (VB) à Cotonou et déterminer l’apport relatif de ces deux approches pour le diagnostic de la VB.Matériel et méthodes : Il s’agit d’une étude prospective, qui s’est déroulée au Laboratoire de Bactériologie du Centre National Hospitalier et Universitaire Hubert Koutoukou Maga de Cotonou du 06 mars au 06 mai 2013. Ont été inclus dans l’étude, tous les sujets de sexe féminin, âgés d’au moins 15 ans et consécutivement reçus dans ledit laboratoire pour examen cyto-bactériologique des secrétions génitales durant la période d’étude. Pour chaque sujet, la recherche de la VB a été effectuée en utilisant les critères d’Amsel et le score de Nugent.Résultats. La prévalence de la VB était de 35,9% selon les critères d’Amsel et de 42,7% selon le score de Nugent. Il n’y a pas de différence statistiquement significative entre les deux approches de diagnostic (p = 0,36). Cependant, en utilisant des critères composites Amsel/ Nugent (score de Nugent ≥ 7 et/ou score de Nugent ≥ 4 + au moins 3 critères d’Amsel présents), la prévalence de la VB était de 48,5%.Conclusion : Le diagnostic de la VB pourrait être amélioré par l’utilisation de critères composites Amsel/ Nugent. D’autres études sont néanmoins nécessaires pour confirmer ces observations.Mots clés : vaginose bactérienne, Amsel, Nugent.ABSTRACTObjectives: To compare Amsel criteria and Nugent score for the diagnosis of bacterial vaginosis (BV) and to determine a possible complementarity between the two diagnostic approaches.Materials and methods: This prospective study was performed in the Bacteriology Laboratory of The National Teaching Hospital Hubert Koutoukou Maga, Cotonou, from March 6th to May 6th, 2013. All female patients, older than 15 years, admitted in the laboratory during the study period for genital fluid examinations, were included in the study. For each patient, genital fluid examination was performed, using Amsel criteria and Nugent score.Results: Prevalence of BV was 35.9% according to Amsel criteria and 42.7% using Nugent score. There was no statistically significant difference between the two diagnostic approaches (p = 0.36). However, using composite Amsel/ Nugent criteria, (Nugent score ≥7 and/or Nugent score ≥  4 + at least 3 Amsel criteria present), VB prevalence was improved to 48.5%.Conclusion: Diagnosis of VB could be improved by composite Amsel/ Nugent criteria; further studies are needed however to confirm this finding.Key words: Bacterial vaginosis, Amsel, Nugent

    Setting up a national reference laboratory for Buruli ulcer: the case of Benin

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    The definitive version is available at www3.interscience.wiley.comOBJECTIVE: To report the experience of Benin, where Buruli ulcer (BU) is endemic, in the implementation of diagnostic laboratory services. METHODS AND RESULTS: There has been a gradual introduction of biologic diagnostic activities for BU comprising (1) training of a laboratory technician in a highly experienced reference laboratory; (2) acquiring indispensable laboratory start-up materials; (3) progressive development of diagnostic laboratory activities; (4) regular external quality assessment with an experienced reference laboratory and (5) decentralization of activities to various clinical diagnostic and treatment centres for BU in Benin. CONCLUSION: Setting up a reference laboratory for BU is a continuous process, which necessitates motivated personnel and the cooperation of an experienced external reference laboratory

    Caractérisation phénotypique des bacilles à gram négatif multirésistants isolés au Centre National Hospitalier et Universitaire Hubert Mécanismes de résistance

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    Objectif. Caractériser les bacilles à Gram négatif multirésistants isolés au Centre National Hospitalier et Universitaire Hubert Koutoukou Maga (CNHU-HKM) de CotonouMéthodes. De Mars à Juin 2013, toutes les souches de bacilles à Gram négatif résistantes à au moins une céphalosporine de 3ème génération (pour les Enterobacteriaceae), ou à la ceftazidime (s’il s’agit d’un Pseudomonas) et/ou à uncarbapénème pour toutes les espèces, ont été consécutivement incluses dans l’étude. Pour chaque souche, une large gamme d’antibiotiques a été testée par la méthode de diffusion de disques. Ensuite, les mécanismes de résistance aux  b-lactamines ont été recherchés.Résultats. Parmi les 245 souches de bacilles à Gram négatif isolés dans le laboratoire durant la période d’étude, 113 étaient multirésistantes, soit 46,1%. Escherichia coli et Klebsiella spp étaient les plus fréquentes parmi ces bactéries et représentaient respectivement 45,1% et 23,0%. Les antibiotiques les plus actifs sur ces souches étaient l’amikacine, l’imipénène, la colistine, la fosfomycine et l’ertapénème avec respectivement 92,0%, 92,0%, 87,6%, 81,4% et 80,5% de souches sensibles. Au total, 76,1% des souches de bacilles à Gram négatif multirésistants étaient productrices de  b- lactamase à spectre élargi et 15,0% de céphalosporinase hyperproduite. Aucune souche n’était productrice de carbapénémase.Conclusion. La prévalence des bactéries multirésistantes est élevée au CNHU-HKM de Cotonou. Des mesures urgentes sont nécessaires pour réduire l’ampleur du phénomène.Mots clés : Bactéries multirésistantes, bacilles à Gram négatif, mécanismes de résistance, CotonouEnglish AbstractObjective. To characterise multidrug-resistant strains of Gram-negative bacilli isolated from clinical samples in the National Teaching Hospital Hubert Koutoukou Maga (CNHU-HKM), CotonouMethods. From March to June 2013, all strains of Gram-negative bacilli resistant to at least a third generation cephalosporin for Enterobacteriaceae, or to ceftazidim (for Pseudomonas spp) and/or to carbapenem for all species, were consecutively included in the study. For each strain, susceptibility to a large panel of antibiotics by the disc diffusion method was performed. In addition, resistance mechanisms to  b-lactams were determined.Results. Among the 245 strains of Gram-negative bacilli isolated in the laboratory during the study period, 113 (46.1%) were multidrug-resistant. The most frequent multidrug-resistant bacteria were Escherichia coli (45.1%) and Klebsiella spp (23.0%) and the most active antibiotics were amikacin, imipenem, colistin, fosfomycin and ertapenem with 92.0%, 92.0%, 87.6%, 81.4% and 80.5% susceptibility rate respectively. In total, 76.1% of all multidrug-resistant strains of Gram-negative produced extended-spectrum b-lactamases, and 15.0% hyperproduced cephalosporinase. No strain produced carbapenemase.Conclusion. Prevalence of multidrug-resistant bacteria is high in CNHU-HKM, Cotonou. Urgent actions are needed to limit the development of this phenomenon.Key words: Multidrug-resistant bacteria, Gram-negative bacilli, resistance mechanism, Cotonou

    Bulk staining of smears: no demonstrated risk of bacilli transfer from a positive to a negative smear

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    Despite a theoretical risk of transfer of bacilli from a positive to a negative smear, bulk staining is routinely performed in many laboratories. To assess this risk in our laboratory, two smears were made from each sputum specimen and stained with auramine: one smear was stained on a rack and the second using the bulk method. Smears were read blind using a fluorescence microscope. A total of 811 sputum specimens were analysed. No acid-fast bacilli transfer was observed even when staining solution jars had not been renewed for 3 days. Bulk staining is rapid and cheap, and could be used in laboratories with a high workload in low-resource settings

    Prevalence des parasitoses intestinales au CNHU-HKM de Cotonou, Sud du Benin de 2003 a 2015

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    Objectif: Décrire l’évolution de la prévalence des parasitoses intestinales au CNHU-HKM de Cotonou de 2003 à 2015.Méthodes: une étude transversale descriptive à collecte rétrospective a été réalisée au laboratoire de Parasitologie – Mycologie du CNHU – HKM de Cotonou. Tous les patients ayant bénéficié d’une coprologie parasitaire du 1er janvier 2003 au 31 décembre 2015 ont été systématiquement inclus. Les variables (âge, sexe, année, statut hospitalisé ou externe, coprologie parasitaire positive et espèce parasitaire identifiée) ont été renseignées grâce aux registres de paillasse du laboratoire. Les techniques de Willis et de Bailenger ont été effectuées sur des selles recueillies dans un pot stérile acheminé dans un délai de moins de quatre heures au laboratoire.Résultats: Sur 8878 patients inclus, 1563 avaient une coprologie parasitaire positive soit une prévalence globale de 17,6%. La prévalence la plus élevée était obtenue en 2004 (28,5 %) et la plus basse en 2014 (3,8 %). Les protozoaires représentaient 98,1 % et les helminthes 1,9 %. Les protozoaires les plus retrouvés étaient Entamoeba histolytica (32,5 %), Blastocystis hominis (26,4 %) et Entamoeba coli (11,3 %). Les principaux helminthes étaient Ancylostoma et ou Necator (0,5 %) Dicrocoelium dendriticum (0,5 %) et Strongyloïdes stercoralis (0,4 %).Le monoparasitisme représentait 82,5% des cas suivi du biparasitisme (15,7 %) et du triparasitisme (1,7 %). Les associations les plus fréquentes étaient Blastocystis hominis + Entamoeba histolytica/dispar (20,1 %), Entamoeba coli + Entamoeba histolytica/dispar (17,2 %) et Blastocystis hominis + Endolimax nana (11,7 %).Conclusion: Probablement du fait des campagnes de distribution d’antihelminthiques et du déparasitage systématique, la prévalence des helminthoses digestives est plus faible que celle des protozooses. Le renforcement des mesures d’hygiène et des stratégies de lutte est une nécessité.Mots clés: Parasitoses intestinales, prévalences, Bénin, Afrique de l’OuestEnglish Title: Prevalence of intestinal parasitic infections in HKM University Hospital of Cotonou from 2003 to 2015 in southern BeninEnglish AbstractObjective: To describe the evolution of prevalence of intestinal parasitic infections in the national and university hospital of Cotonou.Methods: A retrospective study was performed at the Parasitology - Mycology laboratory in the National University Hospital of Cotonou from January 2003 to December 2015. Patients were selected by systematic random sampling method. Fresh stool samples were collected from each patient and processed by Willis and Bailenger fecal concentration technique. The data were saved with Excel 2007 software and exported to STATA 12.1 software for statistical analysis process. The Pearson Chi2 test was used to compare the averages. The statistical significance level was set at 5% (p value < 0.05).Results: Among the 8878 patients included, 1563 (17.6% of overall prevalence) were infected by one or more intestinal parasites. The highest prevalence was noted in 2004 (28.5%) and the lowest in 2014 (3.8%). Protozoa accounted for 98.1 % and helminths for 1.9%. The most common protozoa were Entamoeba histolytica (32.5%), Blastocystis hominis (26.4%) and Entamoeba coli (11.3%). The main helminths were Ancylostoma and or Necator (0.5 %), Dicrocoelium dendriticum (0.5%) and Strongyloides stercoralis (0.4%). Monoparasitism accounted for 82.5% of the cases followed by biparasitism (246 cases, 15.7%) and triparasitism (27 cases, 1.7%). The most frequent associations were Blastocystis hominis + Entamoeba histolytica / dispar (20.1%), Entamoeba coli + Entamoeba histolytica / dispar (17.2%) and Blastocystis hominis + Endolimax nana (11.7%).Conclusion: Probably the distribution of antihelminthics to children and systematic deworming lowered the prevalence of digestive helminthosis than that of protozoa. Strengthening hygiene is necessary to control them.Keywords: Intestinal parasites, prevalence, Benin, West Afric
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