66 research outputs found

    The Giant Canada Goose, by Harold C. Hanson

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    Previously Unrecorded Colonies of Ross' and Lesser Snow Geese in the Queen Maud Gulf Bird Sanctuary

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    In late June 1990 and 1991, during helicopter surveys of geese on the lowlands south of Queen Maud Gulf in the central Canadian Arctic, we found 26 colonies of nesting Ross' (Chen rossii) and Lesser Snow Geese (Chen c. caerulescens). In the 1960s, colonies were found exclusively on islands in shallow lakes; in 1990-91, only 39% of previously unreported colonies were on such lakes. We suggest that, due to massive growth in local populations of both species, lack of unoccupied nesting sites on islands in small lakes has obliged Ross' and Lesser Snow Geese to select other nesting habitats. Snow and Ross' Geese appear to be expanding toward the coast and westward within the Queen Maud Gulf Bird Sanctuary into areas currently favoured by White-fronted and Canada Geese.Key words: Snow Geese, Ross’ Geese, goose colonies, Central Arctic, Queen Maud GulfLors de relevés effectués en hélicoptère à la fin juin 1990 et 1991, afin d'évaluer la population d'oies sur les terres basses du sud du golfe Reine-Maud situé au centre de l'Arctique canadien, on a dénombré 26 colonies d'oies de Ross (Chen rossii) et de petites oies blanches (Chen c. caerulescens). Dans les années 1960, on ne trouvait des colonies que sur des îles de lacs peu profonds; en 1990-91, seulement 39 p. cent des colonies qui n'avaient pas été reportées précédemment se trouvaient sur ces lacs. On suggère qu'en raison de la très forte croissance de la population locale des deux espèces, la pénurie d'aires de nidification libres sur les îles des petits lacs a forcé l'oie de Ross et la petite oie blanche à choisir d'autres habitats de nidification. L'oie de Ross et la petite oie blanche semblent étendre leur territoire en direction de la côte et vers l'ouest à l'intérieur du refuge d'oiseaux du golfe Reine-Maud vers des régions qui représentent actuellement un habitat de prédilection pour l'oie à front blanc et la bernache du Canada.Mots clés: petite oie blanche, oie de Ross, colonies d’oies, Arctique central, golfe Reine-Mau

    Foraging Patterns of Arctic Foxes at a Large Arctic Goose Colony

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    Arctic foxes (Alopex lagopus) are the main predators of many arctic-nesting birds, and such predation can have a large impact on the nesting performance of geese in some years and in some parts of the Arctic. We examined foraging patterns of arctic foxes at a large lesser snow goose (Chen caerulescens caerulescens) colony on Banks Island, Canada, from 1996 to 1998 and were especially interested in the proportion of food that was cached for later use and the impact that fox predation had on goose productivity. Arctic foxes took mostly eggs when foraging among geese, and most of these eggs (97%) were cached for later use. Adult geese and lemmings were taken in low numbers, and most of these foods (83% of geese and 75% of lemmings) were eaten immediately. In years with high fox abundance, the foxes spent considerable effort moving eggs from old caches. This behaviour may have resulted from high rates of cache pilfering, or foxes may have been moving caches to deter cache pilfering. The impact of fox predation was low in all years, and foxes took only about 4-8% of all eggs available at the colony during incubation each year. However, caching and use of cached eggs may influence the survival of arctic foxes by forming significant parts of their winter diet or by supplementing the diets of growing young: during nesting each year, foxes took on average 900-1570 eggs per fox.Le renard arctique (Alopex lagopus) constitue le prĂ©dateur principal de nombreux oiseaux nicheurs de l'Arctique, et cette prĂ©dation peut avoir des consĂ©quences majeures sur le succĂšs de la couvaison des oies durant certaines annĂ©es et dans certaines parties de l'Arctique. Notre Ă©tude, rĂ©alisĂ©e de 1996 Ă  1998, sur les schĂ©mas de recherche de nourriture du renard arctique dans une vaste colonie de petites oies des neiges (Chen caerulescens caerulescens) situĂ©e dans l'Ăźle Banks, au Canada, portait surtout sur la proportion de nourriture qui Ă©tait dissimulĂ©e dans des caches pour consommation ultĂ©rieure ainsi que sur l'impact qu'avait la prĂ©dation du renard sur la productivitĂ© de l'oie. Le renard arctique prĂ©levait surtout des Ɠufs quand il cherchait de la nourriture parmi les oies, et la plupart des Ɠufs (97 p. cent) Ă©taient dissimulĂ©s pour consommation ultĂ©rieure. Les oies adultes et les lemmings Ă©taient prĂ©levĂ©s en faible quantitĂ©, et la plupart de ces aliments (83 p. cent des oies et 75 p. cent des lemmings) Ă©taient consommĂ©s dans l'immĂ©diat. Durant les annĂ©es d'abondance du renard, les renards faisaient des efforts considĂ©rables pour dĂ©placer les Ɠufs d'anciennes caches. Ce comportement peut avoir Ă©tĂ© dĂ» Ă  un taux Ă©levĂ© de vols de caches, ou bien les renards peuvent avoir dĂ©placĂ© leurs caches pour en dĂ©courager le vol. L'impact de la prĂ©dation du renard Ă©tait faible durant toutes les annĂ©es, et les renards ne prenaient annuellement qu'environ 4 Ă  8 p. cent de tous les Ɠufs disponibles Ă  la colonie durant l'incubation. La dissimulation dans des caches et l'utilisation des Ɠufs qui y sont conservĂ©s pourraient avoir une influence sur la survie du renard arctique, car les caches reprĂ©sentent une partie importante du rĂ©gime hivernal du renard ou complĂštent le rĂ©gime des petits en croissance: durant la nidification annuelle, les renards prĂ©levaient une moyenne de 900 Ă  1570 Ɠufs par individu

    Breeding Biology of King Eiders Nesting on Karrak Lake, Northwest Territories

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    We studied various aspects of the breeding biology of king eiders (Somateria spectabilis) nesting at Karrak Lake, south of Queen Maud Gulf in the central Canadian Arctic. We found 41 nests distributed among 10 islands in Karrak Lake; to our knowledge, this represents the largest number of king eider nests studied at one site. We suspect that island nesting by king eiders is more common than has been previously reported. King eiders favoured mid-sized islands (0.002-0.081 kmÂČ) over very small (less than 0.002 kmÂČ) or very large (greater than 0.081 kmÂČ) islands. Mean clutch size was 5.4 ±1.7 (SD) eggs. Apparent nest success was 69.4% with a composite Mayfield estimate of nest success over egg laying and incubation of 48.7% (95% CI: 47.4-50.0%). Nest success was uncorrelated with date of nest initiation or island size, but eiders nesting on islands farther from the mainland had greater success than those nesting on islands closer to the mainland. Additionally, nest success was greater on islands with more nesting eiders and on islands with nesting arctic terns (Sterna paradisaea).On a Ă©tudiĂ© divers aspects de la biologie reproductive de l'eider Ă  tĂȘte grise (Somateria spectabilis) nichant au lac Karrak, qui se trouve au sud du golfe de la Reine-Maud, au centre de l'Arctique canadien. On y a trouvĂ© 41 nids rĂ©partis sur 10 Ăźles situĂ©es dans le lac Karrak; Ă  notre connaissance, cela reprĂ©sente le plus grand nombre de nids d'eiders Ă  tĂȘte grise faisant l'objet d'une Ă©tude sur un seul site. On soupçonne que l'eider Ă  tĂȘte grise niche plus couramment dans des Ăźles qu'on ne l'avait rapportĂ© prĂ©cĂ©demment. Les individus prĂ©fĂ©raient les Ăźles de taille moyenne (0,002 Ă  0,081 kmÂČ) aux Ăźles trĂšs petites (moins de 0,002 kmÂČ) ou trĂšs grandes (plus de 0,081 kmÂČ). La taille moyenne des couvĂ©es Ă©tait de 5,4 oeufs, avec un Ă©cart-type de 1,7. Le taux d'Ă©closion apparente Ă©tait de 69,4 p.cent, avec une estimation composĂ©e de Mayfield de 48,7 p.cent (intervalle de confiance au seuil de 95 p.cent: 47,4 Ă  50,0 p.cent) pour le succĂšs de la couvaison par rapport Ă  celui de la ponte et de l'incubation. Le succĂšs de la couvaison n'Ă©tait pas corrĂ©lĂ© Ă  la date du dĂ©but de la nidification ou Ă  la taille de l'Ăźle, mais les eiders nichant sur les Ăźles les plus Ă©loignĂ©es du continent rĂ©ussissaient mieux que ceux nichant sur les Ăźles plus proches du continent. En outre, le succĂšs de la nidification Ă©tait plus grand sur les Ăźles oĂč nichaient plus d'eiders et sur celles oĂč nichaient aussi des sternes arctiques (Sterna paradisaea)

    Spatial and Temporal Patterns in Arctic Fox Diets at a Large Goose Colony

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    We studied diets of arctic foxes (Alopex lagopus) associated with a large nesting colony of lesser snow and Ross's geese in the central Canadian Arctic. From 15 May to 5 August 1994 and from 18 May to 7 August 1995, we examined arctic fox diets using frequency of occurrence of prey remains in faeces. Most scats (n=791 of 817, or 97%) were collected from den sites. Scats from foxes with dens inside the goose colony contained eggs more frequently than those of foxes that depended more on small mammals outside the colony. Foxes were opportunistic in their feeding habits, as prey use was linked to the nesting cycle of geese, coinciding to periods of egg, goose, and gosling abundance. However, diets in spring, i.e., before geese arrive, reflected the importance to arctic foxes of caching geese and eggs from the previous summer at Karrak Lake. We suggest that large increases in nesting populations of lesser snow and Ross's geese may have beneficial implications for arctic fox populations over a large area.On a étudié le régime alimentaire du renard arctique (Alopex lagopus) associé à une vaste colonie nicheuse de petites oies blanches et d'oies de Ross dans le centre de l'Arctique canadien. Du 15 mai au 5 août 1994, et du 18 mai au 7 août 1995, on a examiné le régime alimentaire du renard arctique en utilisant la fréquence de l'occurrence de restes de proies dans les crottes. La plupart (n = 792 sur 817, ou 97 p. cent) ont été recueillies sur les sites des terriers. Les crottes des renards dont le terrier se trouvait à l'intérieur de la colonie d'oies contenaient plus souvent des oeufs que celles des renards dont le terrier était situé en dehors de la colonie et qui dépendaient plus des petits mammifÚres. Les renards se montraient opportunistes dans leurs habitudes alimentaires, l'utilisation des proies étant liée au cycle nicheur des oies et coïncidant avec des périodes d'abondance d'oeufs, d'oies et d'oisons. Toutefois, les régimes alimentaires au printemps, c'est-à-dire avant l'arrivée des oies, reflétaient l'importance pour les renards de Karrak Lake des réserves d'oies et d'oeufs de l'été précédent. On suggÚre que de fortes augmentations dans les populations nicheuses de la petite oie blanche et de l'oie de Ross pourraient avoir des retombées bénéfiques à grande échelle sur les populations de renards arctiques

    Vegetation Correlates of the History and Density of Nesting by Ross’s Geese and Lesser Snow Geese at Karrak Lake, Nunavut

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    Growth in populations of Ross’s geese (Chen rossii) and lesser snow geese (C. caerulescens) has led to concerns about destructive grazing of Arctic ecosystems. We estimated the extent and composition of plant communities at Karrak Lake, Nunavut, where populations of both goose species have grown geometrically over the past three decades. Proportion of land covered by vegetation was lower in areas where geese had nested for more than 20 years than in areas with no previous nesting history. Vegetative cover also declined with increasing nest density of both species. Species richness and diversity of vegetation was higher in more recently colonized areas of nesting than in areas with over 20 years of goose nesting. Exposed mineral substrate, exposed peat, and Senecio congestus were more prevalent in areas with a 10-year or longer history of goose nesting than in areas with less than 10 years of nesting. These patterns confirm that increasing numbers of nesting Ross’s geese and lesser snow geese have altered the spatial distribution of vegetation surrounding Karrak Lake and reduced the species richness of local plant communities.La croissance des populations d’oie de Ross (Chen rossii) et de petite oie des neiges (C. caerulescens) engendre des prĂ©occupations en matiĂšre de broutage destructif des Ă©cosystĂšmes de l’Arctique. Nous avons estimĂ© l’ampleur et la composition des peuplements vĂ©gĂ©taux du lac Karrak, au Nunavut, oĂč les populations de ces deux espĂšces d’oies ont augmentĂ© de maniĂšre gĂ©omĂ©trique au cours des trois derniĂšres dĂ©cennies. La proportion de terre couverte par la vĂ©gĂ©tation Ă©tait moins Ă©levĂ©e dans les rĂ©gions oĂč les oies avaient nichĂ© pendant plus de 20 ans que dans les rĂ©gions oĂč ces oies n’avaient jamais nichĂ©. Par ailleurs, la couverture vĂ©gĂ©tale affichait une baisse lĂ  oĂč la densitĂ© de nidification des deux espĂšces augmentait. La richesse des espĂšces et la diversitĂ© de la vĂ©gĂ©tation Ă©taient plus grandes dans les lieux de nidification colonisĂ©s plus rĂ©cemment que dans les lieux de nidification colonisĂ©s il y a une vingtaine d’annĂ©es. Les substrats de minĂ©raux Ă  dĂ©couvert, la tourbe Ă  dĂ©couvert et le Senecio congestus se voyaient plus souvent dans les rĂ©gions oĂč les oies avaient nichĂ© pendant dix ans ou plus que dans les rĂ©gions oĂč les oies avaient nichĂ© pendant moins de dix ans. Ces tendances confirment que les populations croissantes d’oies de Ross et de petites oies des neiges ont altĂ©rĂ© la rĂ©partition spatiale de la vĂ©gĂ©tation entourant le lac Karrak, en plus de rĂ©duire la richesse des espĂšces et des peuplements vĂ©gĂ©taux des environs

    Simultaneous Den Use by Arctic Foxes and Wolves at a Den Site in Nunavut, Canada

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    Arctic foxes (Alopex lagopus) and wolves (Canis lupus) often use similar den sites. Interspecific interactions and competition for den sites are therefore possible among these species. At the Kangowan River in Nunavut, Canada, we observed arctic foxes and wolves simultaneously using a den site for pup-rearing during a two-day period in the summer of 2000. We also found evidence that both species had used the den site in May that year. Interspecific interactions in summer included avoidance, tolerance, and aggression. Foxes and wolves used separate entrances and did not appear to share a common space. Our observations of arctic foxes and wolves occupying a den site concurrently suggest that avoidance and interspecific tolerance may have facilitated coexistence at this den site.Les renards arctiques (Alopex lagopus) et les loups (Canis lupus) s’installent souvent dans des taniĂšres du mĂȘme genre. Par consĂ©quent, il est possible que chez ces espĂšces, il y ait des interactions inter-espĂšces et une certaine concurrence pour l’obtention des taniĂšres. À la riviĂšre Kangowan, dans le Nunavut, au Canada, on a observĂ© des renards arctiques et des loups qui se servaient simultanĂ©ment d’une taniĂšre pour Ă©lever leurs petits pendant une pĂ©riode de deux jours Ă  l’étĂ© 2000. On a Ă©galement trouvĂ© des preuves que ces deux espĂšces s’étaient servies de la taniĂšre au mois de mai de cette mĂȘme annĂ©e. L’étĂ©, les interactions inter-espĂšces prenaient la forme de l’évitement, de la tolĂ©rance et de l’agression. Les renards et les loups empruntaient des entrĂ©es diffĂ©rentes et ne donnaient pas l’impression de partager des lieux communs. Par ailleurs, nos observations des renards arctiques et des loups qui occupent une mĂȘme taniĂšre en mĂȘme temps laissent croire que l’évitement et la tolĂ©rance inter-espĂšces pourraient avoir jouĂ© un rĂŽle dans la coexistence Ă  cette taniĂšre

    Do geese fully develop brood patches? A histological analysis of lesser snow geese (Chen caerulescens caerulescens) and Ross\u27s geese (C. rossii)

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    Most birds develop brood patches before incubation; epidermis and dermis in the brood patch region thicken, and the dermal connective tissue becomes increasingly vascularized and infiltrated by leukocytes. However, current dogma states that waterfowl incubate without modifications of skin within the brood patch region. The incubation periods of lesser snow geese (Chen caerulescens caerulescens; hereafter called snow geese) and Ross\u27s geese (C. rossii) are 2-6 days shorter than those of other goose species; only females incubate. Thus, we hypothesized that such short incubation periods would require fully developed brood patches for sufficient heat transfer from incubating parents to eggs. We tested this hypothesis by analyzing the skin histology of abdominal regions of snow and Ross\u27s geese collected at Karrak Lake, Nunavut, Canada. For female snow geese, we found that epidermis and dermis had thickened and vascularization of dermis was 14 times greater, on average, than that observed in males (n=5 pairs). Our results for Ross\u27s geese (n=5 pairs) were more variable, wherein only one of five female Ross\u27s geese fully developed a brood patch. Our results are consistent with three hypotheses about brood patch development and its relationship with different energetic cost-benefit relationships, resulting from differences in embryonic development and body size. © Springer-Verlag 2006

    Foraging Behaviours of Wolverines at a Large Arctic Goose Colony

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    At the large Ross's goose and lesser snow goose colony at Karrak Lake, Nunavut, Canada, we saw wolverines kill two geese, take 13 eggs from 12 goose nests, and take three goose carcasses from two fox dens. Wolverines also made unsuccessful attempts to capture geese and frequently ignored eggs from nests where geese had fled the approaching wolverine. Most foods (all geese killed by wolverines and 80% of the eggs) were cached for later use, whereas few foods were eaten immediately (20% of the eggs and part of a goose taken from a fox den, which was later lost) or lost (all geese taken from fox dens). Wolverines spent little time caching foods (e.g., some foods were never covered), which suggests that recovery of these foods was not crucial to wolverines. When taking foods from fox dens, wolverines were mobbed by foxes; as a result, only one wolverine managed to consume part of a goose carcass taken from a fox den. These observations illustrate the opportunistic nature of wolverines and suggest that their scavenging success may be influenced by how well foods are defended.À l'importante colonie d'oies de Ross et de petites oies des neiges situĂ©e Ă  Karrak Lake au Nunavut (Canada), on a vu des carcajous tuer deux oies, prendre 13 oeufs dans 12 nids d'oies, et prendre trois carcasses d'oies dans deux terriers de renards. Les carcajous ont aussi essayĂ©, sans succĂšs, de capturer des oies et ils ignoraient souvent les oeufs des nids que les oies avaient fuis Ă  leur approche. La plupart des aliments (toutes les oies tuĂ©es par les carcajous et 80 p. cent des oeufs) Ă©taient dissimulĂ©s pour utilisation ultĂ©rieure, tandis que peu d'aliments Ă©taient consommĂ©s tout de suite (20 p. cent des oeufs et une partie d'une oie prĂ©levĂ©e dans un terrier de renard, qui a Ă©tĂ© perdue par la suite) ou perdus (toutes les oies prises dans les terriers de renards). Les carcajous passaient peu de temps Ă  dissimuler les aliments (p. ex., certains n'Ă©taient jamais recouverts), ce qui suggĂšre qu'il n'est pas crucial pour eux de les retrouver. Quand les carcajous prenaient des aliments dans les terriers de renards, ils Ă©taient assaillis par les occupants; en consĂ©quence, un seul carcajou est parvenu Ă  consommer une partie d'une carcasse d'oie prise dans un terrier de renard. Ces observations illustrent la nature opportuniste des carcajous et suggĂšrent que leur succĂšs de rĂ©cupĂ©ration pourrait ĂȘtre influencĂ© par la façon dont les aliments sont dĂ©fendus

    Endoparasites in the feces of arctic foxes in a terrestrial ecosystem in Canada

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    AbstractThe parasites of arctic foxes in the central Canadian Arctic have not been well described. Canada’s central Arctic is undergoing dramatic environmental change, which is predicted to cause shifts in parasite and wildlife species distributions, and trophic interactions, requiring that baselines be established to monitor future alterations. This study used conventional, immunological, and molecular fecal analysis techniques to survey the current gastrointestinal endoparasite fauna currently present in arctic foxes in central Nunavut, Canada. Ninety-five arctic fox fecal samples were collected from the terrestrial Karrak Lake ecosystem within the Queen Maud Gulf Migratory Bird Sanctuary. Samples were examined by fecal flotation to detect helminths and protozoa, immunofluorescent assay (IFA) to detect Cryptosporidium and Giardia, and quantitative PCR with melt-curve analysis (qPCR-MCA) to detect coccidia. Positive qPCR-MCA products were sequenced and analyzed phylogenetically. Arctic foxes from Karrak Lake were routinely shedding eggs from Toxascaris leonina (63%). Taeniid (15%), Capillarid (1%), and hookworm eggs (2%), Sarcocystis sp. sporocysts 3%), and Eimeria sp. (6%), and Cystoisospora sp. (5%) oocysts were present at a lower prevalence on fecal flotation. Cryptosporidium sp. (9%) and Giardia sp. (16%) were detected by IFA. PCR analysis detected Sarcocystis (15%), Cystoisospora (5%), Eimeria sp., and either Neospora sp. or Hammondia sp. (1%). Through molecular techniques and phylogenetic analysis, we identified two distinct lineages of Sarcocystis sp. present in arctic foxes, which probably derived from cervid and avian intermediate hosts. Additionally, we detected previously undescribed genotypes of Cystoisospora. Our survey of gastrointestinal endoparasites in arctic foxes from the central Canadian Arctic provides a unique record against which future comparisons can be made
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