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    Contribution to the theory of charge exchange at surfaces

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    The ion fraction P of sputtered or scattered particles is calculated in an independent-electron scheme for exponential variations of atom-substrate coupling matrix elements with a time constant μ-1 along the outward trajectory and, in the scattering case, λ-1 along the inward trajectory, without specific assumptions about the electronic structure of the substrate. If ion formation results from transitions continuous in time, P behaves at small μ as exp (- C1/μ) in most cases. C1 is a certain integral of the function ϕ(ε) = - arg σ(ε) where σ(ε) is the self-energy for the (static) coupled atom-substrate system. The contributing processes are near-resonant (i.e. quasi isoenergetic) as well as far-resonant (implying an energy jump) processes. If transitions are provoked by the discontinuity of the time derivative of coupling matrix elements at t = 0, due to assumed matching conditions, one obtains P ∝ (μ + λ)2 exp (- C 2/μ) or more complicated expressions, with C 2 = 0 for a discrete-level system. The range of validity of the various expressions is delimited. In order to illustrate and corroborate the general results and examine other time dependences of the coupling, three special cases are studied : the case where a rate equation approach is applicable, the wide-band model and the atomic-like two-level model.La fraction ionique P de particules pulvérisées ou diffusées est calculée dans un schéma d'électrons indépendants pour des variations exponentielles des éléments matriciels de couplage avec une constante de temps μ -1 le long de la trajectoire émergente et, dans le cas de la diffusion, λ-1 le long de la trajectoire incidente, sans hypothèse particulière sur la structure électronique du substrat. Si la formation d'un ion résulte de transitions réparties dans le temps, P se comporte à μ petit comme exp (— C1/ μ) dans la plupart des cas. C1 est une certaine intégrale de la fonction ϕ(ε) = - arg σ(ε) où σ(ε) est la self-énergie de l'atome couplé (statiquement) au substrat. Interviennent ici aussi bien les processus résonants proches (c'est-àdire quasi isoénergétiques) que lointains (impliquant un saut d'énergie). Si les transitions sont provoquées par la discontinuité de la dérivée par rapport au temps des éléments matriciels de couplage à t = 0, due aux conditions de raccordement imposées, on obtient P ∝ (μ + λ)2 exp(- C2/μ) ou des expressions plus compliquées, avec C2 = 0 pour un système à niveaux discrets. Le domaine de validité des différentes expressions est précisé. Afin d'illustrer et de corroborer les résultats généraux et d'examiner d'autres dépendances en temps du couplage, trois cas particuliers sont étudiés: le cas où une méthode d'équation maîtresse s'applique, le modèle à bande large et le modèle à deux niveaux de caractère atomique

    Contribution to the theory of charge exchange at surfaces

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    Former les enseignants à l'international

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    L’ouverture internationale des contenus et pratiques d’enseignement a des répercussions sur la formation des enseignants. Quels sont, au niveau surtout de leur formation initiale, les enjeux et les objectifs, les compétences de base à développer, les conditions d’une coopération éducative ? Ce thème est abordé à travers les contributions d’auteurs de plusieurs pays européens, formateurs, chercheurs et représentants d’organismes internationaux, permettant ainsi des approches diversifiées et complémentaires
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