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    Acceptation de la cesarienne prophylactique par les gestantes au chu Sylvanus Olympio de Lome.

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    Objectif : déterminer le profil épidémiologique des gestantes qui sont réticentes ou qui acceptent la césarienne prophylactique, et en déterminer les raisons.Matériels et Méthode : Etude prospective et analytique sur une période de deux mois (du 1er Avril au 30 Mai 2014) portant sur 250 gestantes programmées pour la césarienne prophylactique au CHU-SO, CHR de Kégué, à l’hôpital de Bê.Résultats : La moyenne d’âge était de 28,7 ans avec des extrêmes de 15 et de 46 ans. Les nullipares représentaient 40% des gestantes. Les primipares et deuxième pares représentaient 57,6% des gestantes, les multipares 2,4%. 56% gestantes (exclu les 100 nulligestes) avaient bénéficié au moins d’une césarienne dans leurs antécédents d’accouchement, 44% des gestantes avaient déjà accouché par voie basse. Les indications de césarienne prophylactique ont été posées dans 98,40% entre 32SA-36SA avec un minimum à 32SA et un maximum à 40SA. Les principales indications de césarienne étaient les anomalies du bassin (28,4%). et l’utérus bi cicatriciel (26%)Sur 250 gestantes 177 ont compris l’indication et ont accepté la césarienne contre 73 gestantes qui n’ont pas trouvé justifié l’indication et refusent ou sont réticentes a la césarienne.Parmi les gestantes réticentes : 41etaient multipares, 44% avait un niveau universitaire, 81,8% avait accouché par voie basse au dernier accouchement. La crainte de complications per et post opératoires (50,7%) et la Honte de ne pas se sentir femme (31,6%) ont été les principales raisons du réticence ou refus de la césarienne.Parmi celles qui ont accepté la césarienne : Les nullipares dans une proportion de 60%, Les gestantes du niveau secondaire dans 35,5%, les anciennes césarisées dans 56%. Les raisons d’acceptabilité de la césarienne étaient l’indication de celle-ci (50,3%) et sauver son enfant (31,8%) Conclusion : Les nullipares et les paucipares, les gestantes du niveau secondaire et les anciennes césarisées, sont beaucoup plus favorables à une césarienne prophylactique que les multipares, les gestantes de niveau universitaire, ou ayant accouché par voie basse au dernier accouchement.La crainte de complications per et post opératoires et la Honte de ne pas se sentir femme ont été les principales raisons du réticence ou refus de la césarienne.Les raisons principales de l’acceptabilité de la césarienne étaient l’indication ou la nécessité de sauver l’enfant.Mots clés : acceptation, réticence, refus, gestante, césarienne prophylactique

    Urgences chirurgicales digestives et grossesse au CHU-Kara (Togo)

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    Le but de ce travail était de déterminer la fréquence, les étiologies et analyser la prise en charge des urgences chirurgicales digestives chez la femme enceinte dans le service de chirurgie générale du CHU-Kara (Togo).C’est une étude rétrospective qui a été menée du 1er janvier 2013 au 31 décembre 2017 dans le service de chirurgie générale du CHU-Kara (Togo). Nous avions enrégistré sept gestantes présentant une urgence chirurgicale digestive.La moyenne d’âge était de 25 ans. Elles étaient toutes des ménagères. Le délai moyen de consultation était de 48 heures. La douleur abdominale, les nausées et /ou vomissement et l’arrêt du transit étaient les symptômes les plus évoqués par les gestantes. Les étiologies étaient dominées par les hernies étranglées (42,9%) suivies des péritonites (29,6%).Les principaux actes chirurgicaux posés étaient : cure herniaire par raphie simple ( 42,9 %), lavage-drainage simple ( 42,9%) et appendicectomie (14,3%).Les suites opératoires ont été simples en dehors d’un accouchement prématuré.Les urgences chirurgicales digestives chez la femme enceinte sont rares. Le diagnostic est souvent tardif en raison des modifications anatomiques et physiologiques, retardant ainsi la prise en charge qui peut mettre en jeu le pronostic vital de la gestante et du foetus.Mots clés: urgences chirurgicales digestives, grossesse, foetus, chirurgie, TogoEnglish AbstractThe aim of this study was to determine the frequency, the causes and analyze the management of gastrointestinal surgical emergency in pregnancy in the department of general surgery in the teaching hospital of Kara (Togo).It was a retrospective study carried out from 1st January 2013 to 31st December 2017 in the departement of general surgery in the teaching hospital of Kara (Togo).Seven pregnant woman presented with visceral surgical emergency. The mean age was 25 years. The average consultation time was 48 hours. Abdominal pain, nausea and/or vomiting and inability to pass stool were the main presentation symtoms. The main causes were strangulated hernia (42,9%) followed by peritonitis (29,6%) hernia cure (42,9%),washing and drainage (42,9%) and appendicectomy (14,3%) were performed.The outcome was good except from a premature delivery in one case.The visceral surgical emergency is rare in pregnancy. The diagnosis is often late, because of anatomical and physiological changes, which can put into play vital prognosisKeywords: Gastrointestinal surgical emergency, pregnancy, fetus, surgery, Tog

    Oedeme vulvaire massif pendant la grossesse: a propos d'un cas observe a la Clinique de Gynecologie Obstetrique du CHU Campus de Lome

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    Introduction: L’oedème vulvaire massif est rare pendant la grossesse, il peut avoir de graves complications maternelles. Il peut être associé à des pathologies gravidiques ou non gravidiques. . Son diagnostic positif est clinique.Objectif et patients: Nous rapportons un cas d’oedème vulvaire massif et sa prise en charge chez une gestante de 29 ans. Elle est primigeste sans suivi de grossesse. Elle avait été admise en urgence à 38SA pour une tuméfaction hyperalgique de la vulve, d’évolution rapide. La tuméfaction s’est installée progressivement en trois jours. L’examen avait permis de noter une pré-éclampsie sévère associée. Le drainage chirurgical, devant l’inefficacité du paracétamol 1g toute les trois heures et l’accouchement par césarienne en urgence ont été faits. Le nouveau-né vivant bien portant de 2700 g. L’évolution avait été favorable en suites opératoires ; marquée par la régression totale de l’oedème en 10 jours et une normalisation progressive des chiffres tensionnels et de la protéinurie.Conclusion. Le traitement doit être étiologique chaque fois que possible à côté du traitement symptomatique. Cette situation peut nécessiter un accouchement par césarienne. En dehors du risque potentiel de nécrose tissulaire associé à l’oedème vulvaire massif ; l’évolution est favorable sous traitement bien conduit.Mots clés: L’oedème vulvaire massif ; pré-éclampsie; GrossesseEnglish Title: Massive vulpar edema during pregnancy: a case report at the Obstetric Gynecology Clinic of the CHU Campus of LoméEnglish AbstractIntroduction: Massive vulvar edema is rare during pregnancy, it can have serious maternal complications. It may be associated with several specific or non-pregnancy-specific pathologies. The positive diagnosis is clinical.Objective and patients: We repported a case of massive vulvar edema and its management in a 29-year-old pregnant woman. It is primigest without antenatal care. She was admitted urgently at 38SA for hyperalgesic swelling of the vulva, with rapid evolution. The swelling gradually settled in three days. The clinical examination had noted severe preeclampsia associated. Drainage was done according to the ineffectiveness of paracetamol 1g every three hours and a caesarean delivery in emergency. . Evolution had been favorable in the course of surgery; marked by the total regression of edema in 10 days and a progressive normalization of blood pressure and proteinuria.Conclusion. Treatment should be etiological whenever possible alongside symptomatic treatment. This may necessitate caesarean delivery. Apart from the potential risk of tissue necrosis associated with massive vulvar edema; the evolution is favorable under wellconductedKeywords: massive vulvar edema; pre-eclampsia; pregnanc

    Suivi de la femme enceinte seropositive au VIH a l'Hopital de be a Lome

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    Introduction: La situation épidémiologique du VIH/Sida est aujourd’hui très préoccupante dans tous les continents. Les efforts pour endiguer cette pandémie se font à travers un certain nombre de stratégies spécifiques dont la prévention de la transmission du VIH de la mère à l’enfant (PTME).Objectif: Analyser le suivi des femmes enceintes séropositives au VIH du site PTME de l’hôpital de Bé qui est un centre de référence..Méthodologie: Nous avons mené une étude rétrospective et descriptive sur les données du 01 Avril au 31 Décembre 2015 des femmes enceintes séropositives à l'Hôpital de Bè.Résultats: le taux de prévalence du VIH chez les femmes enceintes était de 8,1% avec un âge moyen de 30,5 ans. 77% des gestantes étaient connues séropositives au VIH à la première consultation prénatale et 44,2% de ses femmes étaient des paucigestes. 52% des gestantes ont commencé leur consultation prénatale au premier trimestre de grossesse et 56% ont fait au moins quatre CPN. Les femmes qui n’ont pas respecté leur RDV pour la prise des ARV est de 39,7%.Les couple étaient sérodifférents dans 7,4%. La prophylaxie ARV à la Névirapine a été administrée chez la totalité des enfants dès la naissance, la rupture prématurée des membranes 13% chez les mères. Seul 11% des femmes avaient opté pour l’allaitement artificiel,Conclusion: l’épidémie de VIH reste un problème de santé publique majeur au Togo. Les résultats trouvés renforcent l’espoir que Le dépistage systématique lors de la grossesse est l’un des moyen pour la prévention de la transmission mère- enfant du VIH et qu’on pourrait atteindre l’objectif de l’élimination de la transmission mère enfant (eTME) en redoublant les efforts de la PTME.Mots-clés: femmes enceintes, séropositive, suiviEnglish Title: Follow-up of HIV-positive pregnant women at be Hospital of LomeEnglish AbstractIntroduction: The epidemiological situation of HIV / AIDS is currently very worrying in all continents. Efforts to contain this pandemic are being made through a number of specific strategies, including the prevention of mother-to-child transmission of HIV (PMTCT).Objective: To analyze the follow-up of HIV-positive pregnant women at the PMT site of the Bé hospital, which is a reference center.Methodology: We conducted a retrospective and descriptive study on the data from 01 April to 31 December 2015 of HIV-positive pregnant women at the Bè Hospital. Results: The HIV prevalence rate among pregnant women was 8.1% with an average age of 30.5 years. 77% of pregnant women were known to be HIV-positive at the first prenatal visit and 44.2% of her women were paucigests. 52% of pregnant women started their prenatal consultation in the first trimester of pregnancy and 56% made at least four ANC. Women who did not meet their RDV for taking ARVs were 39.7%. The couple was serodiscordant in 7.4%. ARV prophylaxis with nevirapine was administered in all children from birth, premature rupture of membranes 13% in mothers. Only 11% of women had opted for artificial feeding,Conclusion: The HIV epidemic remains a major public health problem in Togo. Findings reinforce the hope that routine testing during pregnancy is one way to prevent mother-to-child transmission of HIV and that the goal of eliminating mother-to-child transmission could be achieved. (eTME) by redoubling the efforts of PMTCT.Keywords: pregnant women, seropositive, follow u

    Connaissances, attitudes et pratiques des etudiantes de L’Universite de Lome (Togo) sur la contraception d’urgence

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    Objectifs: contribuer à la réduction de la morbi-mortalité maternelle liée à l’avortement provoquée clandestineMéthodes: Nous avons mené une enquête transversale prospective descriptive du 19 juin 2017 au 23 juin 2017 à l’université de Lomé (Togo). Un échantillonnage aléatoire simple a été réalisé. Les facultés ont été tirées au hasard. Sur la base d’un questionnaire préétabli, nous avons interviewé 230 étudiantes de droit, présentes au moment de l’enquête et qui ont acceptées de participer. Les données recueillies ont été saisies et analysées avec le logiciel Epi info 7. La comparaison des variables effectuée avec le test de Khi-carré et un seuil de signification de 5%.Résultats: deux cent trente questionnaires ont été distribués tandis que 221 ont été remplis donnant un taux de réponse de 96,08%. L’âge moyen des étudiantes était de 20 ans. Quarante-sept pourcent étaient sexuellement active. Plus des trois quart des étudiantes (76,02%) avaient déjà entendu parler de la contraception d’urgence et avaient été informées par les amis (28,66%) et les médias (24,39%). La quasi-totalité (97,02%) des répondants avaient une bonne connaissance du délai d’efficacité. Le quart des répondants (25,33%) l’avait utilisé le plus souvent à la suite de déchirure de préservatif (47,02%).Conclusion: les étudiantes connaissaient la contraception d’urgence. Cependant la crainte pour les effets secondaires freine son utilisation, ce qui souligne le besoin d’information de ces étudiantes.Mots clés: contraception d’urgence, étudiantes, TogoEnglish Title: Knowledge, attitudes and practices of University of Lome (togo) students on emergency contraceptionEnglish AbstractObjective: contribute to reducing the maternal morbidity and mortality associated with clandestine abortionMaterial and Method: this was a transversal and descriptive survey from June 19, 2017 to June 23, 2017 at the University of Lomé (Togo). A simple random sampling was performed. The faculties were drawn at random. Based on a pre-established questionnaire, we interviewed 230 law students who were present at the time of the survey and who agreed to participate. The data collected were entered and analyzed using the Epi info 7 software. The comparison of the variables performed with the chisquare test and a significance level of 5%.Results: Two hundred and thirty questionnaires were distributed while 221 were filled  giving a response rate of 96.08%. The average age of female students was 20 years. Forty-seven percent were sexually active. More than three-quarters of the students (76.02%) had already heard about emergency contraception and had been informed by friends (28.66%) and the media (24.39%). Almost all (97.02%) of the respondents had a good knowledge of the time to effectiveness. A quarter (25.33%) had used it most often as a result of condom tearing (47.02%).Conclusion: Students were aware of emergency contraception. However, the fear of side effects slows down its use, which underlines the need for information of these students.Keywords: emergency contraception, students, Tog

    Deces par cancer du sein au CHU Sylvanus Olympio de Lome : plaidoyer pour un depistage systematique chez les patientes a risques au Togo

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    Introduction: Le cancer du sein est une tumeur maligne qui se développe au dépend de la glande mammaire. C’est le premier cancer féminin en termes d’incidence et de mortalitéObjectif: Déterminer le nombre de patientes décédées au cours de notre période d’étude.Malades et Méthode: Nous avons collecté 37 dossiers médicaux des patientes décédées pour cancer du sein, du 1er Janvier 2014 au 31 Décembre 2015, soit une période de 24 mois.Résultats: Le cancer du sein était le plus représenté (58,4%), suivi du cancer du col (21,2%). Parmi ces 220 patientes, nous avions enregistré 37 décès par cancer du sein, soit 16,1%. La tranche d’âge de 40 - 49 ans était la plus représentée (35,2%). Dix-neuf (19) patientes (51,3%) étaient multipares. La majorité des patients étaient des revendeuses (45,9%), suivi des femmes au foyer (36,2%). La plupart des patientes avaient présenté un cancer inflammatoire d’aspect peau d’orange (81%). Le stade IV de FIGO était retrouvé chez toutes nos patientes (100%). Trente-deux patientes (32) soit 86,5% ont bénéficié d’un traitement médical (palliatif) ; La chimiothérapie a été administrée à 10 patientes soit 27%. Huit (08) patientes, soit 21,6 %, ont bénéficié d’une chirurgie selon Patey.Conclusion: Le cancer du sein est un véritable problème de santé publique au Togo. Il serait opportun de mieux organiser sa prise en charge, pour déceler les cas à un stade précoce en vue de donner une chance de survie aux malades.Mots clés: sein, cancer, CHU SOEnglish Title: Death from breast cancer at Sylvanus Olympio Teatching Hospital of Lome: advocacy for systematic screening for patients at risk in TogoEnglish AbstractIntroduction: Breast cancer is a malignant tumor that develops at the expense of the mammary gland. It is the first female cancer in terms of incidence and mortality.Objective: To determine the number of patients who died during our study period.Patients and Methods: We collected 37 medical records of deceased breast cancer patients from January 1, 2014 to December 31, 2015, for a period of 24 months.Results: Breast cancer was the most represented (58.4%), followed by cervical cancer (21.2%). Of these 220 patients, we had 37 breast cancer deaths, or 16.1%. The age group 40-49 was the most represented (35.2%).Nineteen (19) patients (51.3%) were multiparous. The majority of patients were female sellers (45.9%) followed by  housewives (36.2%). Most patients had an orange-peel inflammatory cancer (81%). Stage IV of FIGO was found in all our patients (100%). Thirty two patients (32) or 86.5% received medical treatment (palliative); Chemotherapy was administered to 10 patients, ie 27%. Eight (08) patients, or 21.6%, underwent surgery according to PateyConclusion: Breast cancer is a real public health problem in Togo. It would be advisable to better organize its care, to detect cases at an early stage in order to give the patients a chance of survival.Keywords: breast, cancer, CHU S

    Plaie pénétrante du périnée par une arme blanche avec lésions viscérales multiples intra abdominales: à propos d’un cas

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    Nous rapportons un cas d’une plaie pénétrante du périnée occasionnée par une flèche ayant entrainé une plaie de l’intestin grêle, une perforation du sigmoïde, une perforation du dôme vésical et une déchirure du ligament large droit de l’utérus. Une laparotomie réalisée a permis de faire une résectionanastomose de l’intestin grêle, une suture de la perforation du sigmoïde, du dôme vésical et du ligament large droit de l’utérus. L’évolution a été favorable sans complications.Mots clés: Flèche, laparotomie, plaie pénétrante du périnée, plaie de l’intestin grêle, plaie du sigmoïde, perforation vésicale, déchirure du ligament largeEnglish AbstractWe report a case of a penetrating wound at the perianal area produce by an arrow causing a rupture of small bowel, a perforation of sigmoid, a perforation of the dome of the urinary bladder and a laceration of the lateral right wall of uterus. Laparotomy has permitted to make a resection and anastomose of the small bowel, a suture of the sigmoid then the dome of urinary bladder perforations and finally the laceration of the lateral right wall of uterus. We have noticed a good outcome without complicationsKeywords: Arrow, perineal injury, laparotomy, small bowel injury, perforation of sigmoid, bladder injury, laceration of the lateral wall of uteru

    Echographie pelvienne chez la femme en age de procreer. A propos de 410 cas au centre hospitalier universitaire de Kara au Togo

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    But : évaluer la place de l’échographie dans la pathologie pelvienne chez la femme en activité génitale.Patientes et méthode: Il s'est agi d'une étude rétrospective et descriptive portant sur les résultats des examens d'échographies pelviennes réalisées chez les femmes en âge de procréer au CHU Kara. L’étude s’est déroulée du 1er janvier 2015 au 31 décembre 2016.Résultats : la fréquence des échographies pelviennes était de 12,7 %. L’âge moyen des patientes était de 32 ans. Les techniciens supérieurs de santé et les sages-femmes étaient ceux qui prescrivaient le plus d’échographies pelviennes avec respectivement 189 patientes (41,6 %) et 101 patientes (24,6 %). Les médecins gynéco-obstétriciens avaient prescrits 52 examens, soit 12,7 % des examens. Les indications des échographies étaient dominées par les douleurs pelviennes (n= 132 ; 32,2 %), le bilan d’infertilité (n=72 ; 17,4 %) et les troubles du cycle menstruel (n=58 ; 14,1 %). L’examen était pathologique chez 263 patientes (64,1 %). Les lésions utérines étaient principalement des myomes utérins (n= 152 ; 80,4 %). La pathologie ovarienne était dominée par la pathologie fonctionnelle (152 cas ; 76,8 %) et le kyste organique (33 cas ; 16,7 %). On avait noté un épanchement liquidien pathologique du cul-de-sac de Douglas chez 132 patientes (32,2% des cas). Les trompes étaient pathologiques chez 8 patientes (1,9 %). L’appendicite aiguë a été notée chez 6 patientes (2,3 % des lésions).Conclusion : l’échographie est un examen par excellence pour faire le bilan lésionnel des affections pelviennes chez la femme.Mots clés : échographie pelvienne, femme, âge de procréer, pathologie pelvienne, Togo
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