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    Diagnostic ultrasonographique d’une grossesse hétérotopique spontanée avec un embryon évolutif dans le cul de sac de Douglas : à propos d’un cas

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    La grossesse hétérotopique est une pathologie relativement rare de diagnostic pré opératoire difficile surtout dans nos régions. Nous rapportons un cas chez une nullipare de 26 ans sans antécédents particuliers adressée dans le service d’Imagerie du CHU campus en vue d’une échographie pelvienne pour pelvialgie et métrorragie. L’échographie réalisée a mis en évidence un oeuf clair intra utérin associé à un sac ovulaire avec un embryon évolutif du cul de sac douglas. Le diagnostic échographique de grossesse hétérotopique spontanée non rompue évoqué a été confirmé en per opératoire par la découverte d’une grossesse ampullaire droite. Les aspects éthiopathogéniques et les particularités diagnostiques notamment le rôle de l’ultrasonographie, sont discutées à la lumière d’une revue de la littérature.Mots clés : Grossesse extra utérine, Grossesse hétérotopique, Ultrasonographie pelvienne

    Connaissances et attitudes des manipulateurs radio du Togo sur l’irradiation médicale de la grossesse

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    Objectif : Evaluer les connaissances et les attitudes des manipulateurs togolais sur l’irradiation médicale des grossesses.Matériels et Méthode : Etude transversale menée en Avril 2011 chez 72 manipulateurs de radiologie des structures sanitaires publiques et privées du Togo.Résultats : Le quart des manipulateurs pensait que l’IRM est un examen irradiant et 44,5% d’entre eux ne savaient pas que le la scintigraphie utilise les rayonnements ionisants. Ils étaient 77,7% à estimer que la grossesse n’est une contre indication absolue à aucune technique d’imagerie médicale irradiante. Ils pensaient dans 88,8% des cas qu’une radiographie ne doit être demandée à une femme en activité génitale quedans les dix premiers jours du cycle menstruel. La majorité des manipulateurs (72,3%) ne demandaient pas la date des dernières règles aux patientes en activité génitale avant de leur réaliser une radiographie. Aucun, ne consignait les constantes sur une fiche en cas d’exposition du pelvis d’une femme en activité génitale. Seulement 13,9% ne portaient pas de tablier aux gestantes. Ils étaient 83,3% à avoir déjà refusé de réaliser une radiographie non justifiée à une gestante. Globalement, les connaissances erronées sur les effets biologiques des rayonnements ionisants et sur les règles de radioprotection de la femme enceinte, ont été plus recueillies chez les manipulateurs ayant plus de 10ans d’expérience professionnelle.Conclusion : Des efforts restent encore à faire par les manipulateurs togolais pour une exposition rationnelle des femmes enceintes aux rayonnements ionisants. Les autorités sanitaires du Togo doivent donc encourager les formations continues en radioprotection des patients.Mots clés : Irradiation médicale, grossesse, rayonnements ionisants, manipulateurs de radiologie, radioprotection
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