Title: Assessment of GE food safety using "-omics" techniques and long-term animal feeding studies Assessment of GE food safety using "-omics" techniques and long-term animal feeding studies

Please cite this article as: Ricroch, A.E., Assessment of GE food safety using "-omics" techniques and long-term animal feeding studies, New Biotechnology (2010Biotechnology ( ), doi:10.1016Biotechnology ( /j.nbt.2012 This is a PDF file of an unedited manuscript that has been accepted for publication. As a service to our customers we are providing this early version of the manuscript. The manuscript will undergo copyediting, typesetting, and review of the resulting proof before it is published in its final form. Please note that during the production process errors may be discovered which could affect the content, and all legal disclaimers that apply to the journal pertain. questions, we examined data from 60 recent high-throughput "-omics" comparisons between GE and non-GE crop lines and 17 recent long term animal feeding studies (longer than the classical 90-day subchronic toxicological tests), as well as 16 multigenerational studies on animals. The "-omics" comparisons revealed that the genetic modification has less impact on plant gene expression and composition than that of conventional plant breeding. Moreover, environmental factors (such as field location, sampling time, or agricultural practices) have a greater impact than transgenesis. None of these "-omics" profiling studies has raised new safety concerns about GE varieties; neither did the long-term and multigenerational studies on animals. Therefore, there is no need to perform such long term studies in a case-by-case approach, unless reasonable doubt still exists after conducting a 90-day feeding test. In addition, plant compositional analysis and "-omics" profiling do not indicate that toxicological tests should be mandatory. We discuss what complementary fundamental studies should be performed and how to choose the most efficient experimental design in order to assess risks associated with new GE traits. The possible need to update the current regulatory framework is discussed. Page 2 of 17 A c c e p t e d M a n u s c r i p t 2 Highlights Transgenesis results in fewer unintended impacts than conventional breeding. Environmental factors have been shown to exert a greater impact than transgenesis. Some pleiotropic effects do occur when certain pathways are modified. No adverse health effects were reported in long term studies. No adverse health effects were reported in multigenerational studies

5.8. L’évaluation des risques alimentaires associés aux plantes génétiquement modifiées

La transgénèse végétale a été inventée en 1983. La définition d’un organisme génétiquement modifié (OGM*) au sens européen est donnée dans la Directive 2001/18/CE. L’autorisation de culture et de mise sur le marché de plantes génétiquement modifiées (PGM) a une durée de 10 ans (renouvelables). Depuis 1996 des PGM sont commercialisées. En 2013, 27 pays (19 en développement et 8 industrialisés) en cultivent : soja, maïs, colza, betterave, papaye, luzerne, tomate, etc. Les États-Unis sont le 1er..

Les bienfaits du tabac

Agnès RicrochMaître de conférences, AgroParisTech © P. Imbert, Collège de France Le tabac, Nicotiana tabacum L., vient du Nouveau Monde, d’Amérique centrale tropicale et subtropicale. Il appartient au genre Nicotiana dont on recense 64 espèces, à la famille des Solanaceae aux cotés de la pomme de terre, de la tomate, du datura et du pétunia. Cette plante ornementale à la corolle rose ou verte peut atteindre 1m50. Pour le médecin, le tabac est un fléau. Pour le biologiste c’est surtout un modè..

Constraints in EU agricultural crops and the possible/available biotechnological solutions

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Bénéfices économiques et environnementaux des variétés résistant à certains insectes et leur durabilité : le cas du maïs

National audienceLes variétés de maïs génétiquement modifiées (GM) pour résister à certains insectes, dites maïs Bt, sont cultivées depuis 1996. Leur culture a permis une économie importante d’insecticides, bénéfique pour les agriculteurs et pour l’environnement (les auxiliaires biologiques des cultures), d’où l’idée de proposer l’utilisation des maïs Bt dans les programmes de lutte intégrée. Les rendements de ces maïs sont plus élevés dans les zones à fortes infestations ainsi que dans les zones à faibles infestations qui ne font pas l’objet de traitements insecticides. L’utilisation de ces maïs tend à supprimer les problèmes liés aux attaques d’insectes cibles sur les cultures GM et non GM voisines. Aux Etats-Unis, les bénéfices économiques vont surtout aux agriculteurs conventionnels situés au voisinage des parcelles de maïs Bt puisqu’ils ne payent ni le coût des insecticides ni celui de la semence de maïs Bt. Cela est en faveur de la co-existence de culture GM et non GM. Aucune résistance avérée sur le terrain n’a été observée grâce à la stratégie des zones refuges et à la présence des auxiliaires préservés dans les cultures conventionnelles avoisinantes exemptes d’insecticides. Ainsi, seuls trois cas d’insectes résistants ont été détectés au champ dus à une mauvaise mise en œuvre, voire une absence, des zones refuges. Comme toute technologie largement développée, l’utilisation des maïs Bt doit être surveillée, à l’échelle du paysage agricole. Une nouvelle stratégie complémentaire à l’usage des toxines Bt basée sur l’ARN double brin est décrite

L’évaluation des risques alimentaires associés aux plantes génétiquement modifiées (PGM)

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Next biotech crops in Agriculture

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Les produits issus des biotechnologies

A l’occasion de la présentation de l’ouvrage « Traité pratique de droit alimentaire » à « Agro Paris Tech » (site Claude Bernard)International audienc

Évolution attendue des textes réglementaires et des pratiques commerciales pour les OGM

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