20 research outputs found

    Place de l’electrocardiogramme dans l’evaluation de l’aptitude des footballeurs a propos de 23 joueurs de l’equipe nationale Togolaise des moins de 17 ans

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    Drank: To study in the plan of the rate/rhythm, of conduction and of the repolarisation the electrocardiogram of the young Togolese footballer and to detect counter them electrocardiographic indications with the practice of high level football. Methodology: It acts of a transverse exploratory study in the service of internal medicine of the CHU of Lome in February 2007, where all the players preselected for the national team junior by football of the 17 years old Togo or less having made anelectrocardiogram were retained. We had analyzed these  electrocardiograms in the plan of the rate/rhythm, conduction and the repolarisation. Results: Twenty three (23) players made up of four (04)goalkeepers, six (06) defenders, seven (07) mediums of the ground and six (06) assailing were retained. Their age lay between 16 and 17 years, their weight average was to 75, 6 kg (extreme: 61 and 86 kg) and their average size to 175.86 cm (extreme: 168 and 185 cm). Six (06) players had a Heart rate (FC) FC . 50 beats per minute (bpm) and 12 a FC included/understood into 50 and 60 bpm. A player presented arate/rhythm of the coronary sine and the 22 others a sinusal rate/rhythm. Only one (01) player had presented a auriculo-ventricular block (BAV) 1st degree. Three (03) players presented a disorder ofconduction will intra ventricular (former Block of branch right and hemibloc left). Electric ventricular hypertrophies were present in eight (08) players. Three (03) players had presented the disorders ofrepolarisation with a negative wave T of V1 at V3 at 2 and V1 at V6 at one. Conclusion: In the aptitude of the Togolese footballer, the electrocardiogram is important and these characteristics are frequent but it is often necessary to ask an opinion specialized in front of certain situations before deciding aptitude of the player. But Etudier au plan du rythme, de la conduction et de la repolarisation lfelectrocardiogramme du jeune footballeur Togolais et detecter les contres indications electrocardiographiques a la pratique du football dehaut niveau. Methodologie Il sfagit dfune etude prospective transversale dans le service de medecine interne du CHU de Lome en fevrier 2007, ou tous les joueurs preselectionnes pour lfequipe nationale cadette de football du Togo ages de 17 ans ou moins ayant fait un electrocardiogramme etaient retenus. Nous avions analyseces electrocardiogrammes au plan du rythme, de la conduction et de la repolarisation. Resultats Vingt trois (23) joueurs composes de quatre (04) gardiens de but, six (06) defenseurs, sept (07) milieux du terrain et six (06) attaquants ont ete retenus. Leur age etait compris entre 16 et 17 ans, leur poids moyen etait a 75, 6 kg (extremes : 61 et 86 kg) et leur taille moyenne a 175,86 cm (extreme : 168 et 185 cm). Six (06) joueurs avaient une Frequence cardiaque (FC) FC . 50 battements par minute (bpm) et 12 une FC comprise en 50 et 60 bpm. Un joueur a presente un rythme du sinus coronaire et les 22 autres un rythme sinusal. Seul un (01) joueur avait presente un bloc auriculo-ventriculaire (BAV) du 1er degre. Trois (03) joueurs ont presente un trouble de la conduction intra ventriculaire (Bloc de branchedroit et hemibloc anterieur gauche). Les hypertrophies ventriculaires electriques etaient presentes chez huit (08) joueurs. Trois (03) joueurs avaient presente les troubles de repolarisation avec une onde Tnegative de V1 a V3 chez 2 et de V1 a V6 chez un. Conclusion Dans lfaptitude du footballeur Togolais, lfelectrocardiogramme est important et ces particularites sont frequentes mais il faut souvent demander un avis specialise devant certaines situations avant de decider de lfaptitude du joueur

    Urgences diabetiques a lome : aspects epidemiologique et pronostique

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    But : Etudier l’aspect épidémiologique et pronostique des complications métaboliques aiguës au CHU Sylvanus Olympio (CHUSO) à Lomé.Méthodologie : étude rétrospective descriptive à partir des dossiers des diabétiques âgés de 15 ans et plus, ayant présenté une complication métabolique aiguë du diabète sucré hospitalisés à la réanimation médicale du service de médecine interne au CHUSO de Lomé sur 5 ans.Résultats : Sur 5 ans 7047 patients ont été hospitalisés à la réanimation médicale dont 149 étaient diabétiques parmi lesquels 92 souffraient de complications métaboliques aiguës de diabète. L’âge moyen était de 52 ± 16 ans (extrêmes de 18 et 79ans). Sur les 92 cas d’urgence diabétique 50% avait plus de 50ans et 22% plus de 70 ans. La sex-ratio était de 1,24. Le diabète était de type I dans 37 cas (40%) et de type II dans 55 cas (60%).Tous les malades avaient des troubles de consciences, 51% la détresse respiratoire et 10% le choc hypovolémique. Dans 81,5% le diabète était connu et traité avant l’hospitalisation. Dix sept patients (18,5%) ignoraient leur pathologie diabétique avant l’hospitalisation. Dans 70 cas la mauvaise observance du traitement était le motif de décompensation et dans 12 cas l’infection (9 cas pulmonaires, 2 cas urinaires et un (01) cas de sinusite bimaxillaire. Les urgences diabétiques étaient représentées par le coma acidocétosique dans 66 cas (71,7%), le coma hyperosmolaire dans 9 cas (9,8%) et le coma hypoglycémique dans 17 cas (18,5%). Vingt deux patients (24%) avaient une mauvaise observance du traitement au cours de leur hospitalisation. Le taux de mortalité global était de 35% et dont la mortalité spécifique chez les sujets de plus de 70 ans était de 50%, 30% chez les diabétiques de type I contre 37% chez les diabétiques du type II, 56% chez ceux qui ignoraient leur diabète avant l’hospitalisation contre 26% chez ceux qui connaissaient leur maladie. Trente six pourcent des diabétiques ayant une infection étaient décédés contre 35% sans infection, 32% des acidocétoses étaient décédés contre 67% des comas hyperosmoplaires et 6% (n=1) des comas hypoglycémiques. Quatre vingt huit pourcent des patients ayant mal suivi leur traitement au cours de l’hospitalisation étaient décédés contre 17% des sujets qui ont bien suivi leur traitement.Conclusion : Les urgences diabétiques surtout l’acidocétose sont fréquentes au CHU-SO de Lomé. Elles présentent un fort taux de mortalité surtout les comas hyperosmolaires. L’amélioration du système de santé et du plateau technique permettra d’amoindrir ces complications et par conséquent leur taux de mortalité.Mots clés : urgences, diabète, métabolique, LoméABSTRACTPurpose: to study the epidemiological aspect and forecasts acute metabolic complications in the CHU (Teaching Hospital) Sylvanus Olympio (CHUSO) in Lome.Methodology: descriptive retrospective study from the cases of the diabetics of 15 and more years old, having presented an acute metabolic complication of the sweet diabetes hospitalized in the medical resuscitation in the CHUSO of Lome over 5 years.Results: Over 5 years, 7047 patients were hospitalized in the medical resuscitation among which 149 were diabetics among whom 92 suffered from acute metabolic complications of diabetes. The average age was 52 ± 16 years old (extremes of 18 and 79ans). On 92 emergencies diabetic 50% was more than 50 years old and 22% more than 70 years old. Sex-ratio was 1.24. The diabetes was of type 1in 37 cases (40%) and of type 2 in 55 cases (60%). All the sick had confusions of consciousnesses, 51% the respiratory distress syndrome and 10% the hypovolaemic shock. In 81.5% the diabetes was known and treaty before the hospitalization. Seventeen patients (18.5%) ignored their pathology diabetic before the hospitalization. In 70 cases the bad observance of the treatment was the motive for decompensation and in 12 cases the infection (9 lung cases, 2 urinary cases and one case of bimaxillaire sinusitis). Emergencies diabetics were represented by the ketoacidosis coma in 66 cases (71.7%), the coma hyperosmolaire in 9 cases (9.8%) and the hypoglycemic coma in 17 cases (18.5%). Twenty two patients (24%) had a bad observance of the treatment during their hospitalization The global mortality rate was 35% and the specific mortality of which to the subjects of more than 70 years was 50%, 30% at the diabetics of type 1 against 37% with the diabetics of the type 2, 56% to those who ignored their diabetes before the hospitalization against 26% to those who knew their disease. Thirty six pourcent of the diabetics having an infection had died against 35% without infection, 32% of ketoacidosis had died against 67% of comas hyperosmolaires and 6% (n=1) of the hypoglycemic comas. Eighty eight percent of the patients having badly followed their treatment during the hospitalization had died against 17% of the subjects which followed well their treatment.Conclusion: emergencies diabetics especially the ketoacidosis are frequent in the CHUSO of Lome. They present a strong mortality rate especially hyperosmolar comas. The health system and the medicals equipments improvement will allow to decrease these complications and consequently their mortality rate.Key words: Emergencies, diabetes, metabolic, Lome

    Parasitoses Digestives : Aspects Epidemiologique Et Etiologique Dans Le Service D’hepato-Gastro-Enterologie Du Chu-Campus De Lome

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    Buts : L’étude a consisté d’une part en la description des aspects épidémiologiques et de relever les différentes manifestations cliniques révélatrices de ces parasites intestinaux, de l’autre, en la description du profil étiologique des parasitoses intestinales en milieu hospitalier Méthodologie : Il s’agit d’une étude rétrospective menée du 1er Janvier 1997 au 31 Décembre 2007, à partir des dossiers des malades des deux sexes, âgés d’au moins 15 ans et hospitalisés dans le service d’hépato-gastro-entérologie du CHU Campus de Lomé. Les données épidémiologiques, cliniques et paracliniques notamment l’examen parasitologique de chaque dossier étaient relevées et étudiées. Résultats : Durant notre période d’étude, 3585 patients ont été hospitalisés dans le service. Une parasitose intestinale était révélée dans 196 dossiers (5,47%). 223 parasites étaient identifiés dont 194 protozoaires (87%) et 29 helminthes (13%). L’âge moyen de nos patients était de 39,34 ans ± 15,92 (extrêmes : 15 et 93 ans), et une sex-ratio à 1,04. Les motifs d’hospitalisation étaient dominés par la gastroentérite aigüe (34,18%), suivie de la douleur abdominale isolée (26,53%). La numération, formule sanguine réalisée chez 180 (91,84%). L’hyper éosinophilie était constatée dans 14 cas (6,39%) dont 9 étaient associés aux helminthes (Ankylostome) et 5, aux protozoaires. Une anémie normocytaire normochrome et microcytaire hypochrome étaient observées dans respectivement 46cas et 15 cas. Cette anémie était associée aux protozoaires dans tous les cas (61 cas) et aux helminthes dans 9 cas. Cinquante (50) des patients ayant une parasitose intestinale avaient bénéficié d’une sérologie à VIH dont 15 étaient séropositifs au VIH. Chez ces patients, les protozoaires (pathogènes et non pathogènes) étaient retrouvés dans 14 cas et les helminthes dans 01 seul cas. Conclusion : Les parasitoses digestives occupent une place non négligeable dans le service d’hépatogastro-entérologie du CHU-Campus de Lomé. La prédominance des protozoaires est un témoin direct du péril fécal donc, du bas niveau d’hygiène individuelle et collective. L’émergence de parasite avec une symptomatologie considérée jusque là comme non pathogène (Isospora belli) est en rapport avec la pandémie du VIH-SIDA.Mots clés : Parasitoses digestives, CHU, Lomé.Goals: The survey consisted on the one hand in the epidemiological aspect description and to raise the different demonstrations revealing clinics of these intestinal interferences, of the other, in the description of the profile étiologique of the intestinal parasitoses in hospitable environment.Methodology: It is about a retrospective survey led from January 1st, 1997 to December 31, 2007, from the files of the patients of the two sexes, aged of at least 15 years and hospitalized in the service of hépato-gastro-entérologie of him FALLEN Campus of Lomé. The epidemiological data, clinics and paracliniques notably the exam parasitologique of every file was raised and studied. Results: During our period of survey, 3585 patients have been hospitalized in the service. An intestinal parasitose was revealed in 196 files (5.47%). 223 interferences were identified of which 194 protozoa (87%) and 29 helminthes (13%). The middle age of our patients was of 39.34 years ± 15.92 (extreme: 15 and 93 years), and one sex - ratio to 1.04. The motives of hospitalization were dominated by the gastro-enteritis aigüe (34,18%), consistent of the isolated abdominal pain (26.53%). The numeration, formula red chalk achieved at 180 (91,84%). The hyper éosinophilie was noted in 14 cases (6,39%) of which 9 were associated to the helminthes (Ankylostome) and 5, to the protozoa. An anemia normocytaire normochrome and microcytaire hypochrome were observed in respectively 46cas and 15 cases. This anemia was associated to the protozoa in any case (61 cases) and to the helminthes in 9 cases. Fifty (50) the patients having an intestinal parasitose had benefitted from a serology in VIH of which 15 were seropositive in the VIH. At these patients, the protozoa (pathogenic and non pathogenic) were recovered in 14 cases and the helminthes in 01 only case. Conclusion: The digestive parasitoses occupies a non negligible place in the service of hépato-gastroentérologie of the Chu - Campus of Lomé. The predominance of the protozoa is therefore a direct witness of the fecal peril, of the low level of individual and collective hygiene. The emergence of parasite with a symptomatologie considered until there as non pathogenic (Isospora belli) is in relation with the pandemic of the VIH - AIDS.Key words: Digestive Parasitoseses, FALLEN, Lomé.Article text in Frenc

    Cancer du pancréeas : aspects épidémiologiques et cliniques au CHU-Campus de Lomé

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    But : Analyser les aspects épidémiologiques, cliniques et paracliniques des cancers du Pancréas au CHU Campus de Lomé.Méthodologie : Il s’agit d’une étude rétrospective réalisée au CHU Campus de Lomé du 1er Janvier 1998 au 31 Décembre 2007, les dossiers des patients retenus comportaient le diagnostic de cancer du pancréas avec les données épidémiologiques, cliniques et paracliniques (échographie et/ou scanner abdominal). Résultats : En 10 ans sur la base de nos critères suscités, 20 cas de cancer du pancréas avaient été diagnostiqués sur 2962 dossiers soit 0,67% des hospitalisations. Le cancer de la tête du pancréas était le plus fréquent avec 17 cas (85%). L’âge moyen des patients étaitde 55 ans (extrêmes : 25 ans et 90 ans). La sex-ratio était de 1,5. La consommation d’alcool était l’habitude alimentaire la plus retrouvée. Le tableau clinique était dominé par les douleurs abdominales (75%), l’altération de l’état général (80%) et ictère cutanéo-muqueux (75%).L’échographie abdominale qui était l’examen de première intention avait été réalisée chez tous les malades. Les lésions hypoéchogènes (65%), hétérogène (35%), hépatomégalie (35%), dilatation des voies biliaires (45%) avait été les signes échographiques les plus retrouvés. Aucun des malades n’a bénéficié d’un examen anatomopathologique. Conclusion : Le cancer du pancréas est rare au CHU Campus de Lomé. La tranche d’âge la plus touchée est celle se situant autour de 50 ans. La douleur abdominale, l’ictère cutanéo-muqueux et l’altération de l’état général sont les signes les plus fréquents. L’atteinte de la tête du pancréas a été la plus fréquente.Mots clés : Cancer, épidémiologie, CHU Campus, Togo.Objectives: To analyze the epidemiologic, clinical and paraclinic aspects of cancers of the Pancreas in the CHU Campus of Lome. Methodology: It is about a retrospective study carried out with the CHU Campus of Lome from January 1st 1998 to December 31st 2007, the files of the patients selected comprised the diagnosis of cancer of the pancreas with the epidemiologic, clinical and paraclinic data (echography and/or abdominal scanner). Results: In 10 years on the basis of our caused criterion, 20 cases of cancer of the pancreas had been diagnosed on 2962 files i.e. 0.67% of the hospitalizations. The cancer of the head of the pancreas was most frequent with 17 cases (85%). The average age of the patients was 55 years (extreme: 25 and 90 years). The sex-ratio was of 1.5. The consumption of alcohol was the most found food practice. The clinical picture was dominated by the abdominal pains (75%), the deterioration of the state general (80%) and yellow fever skinned-mucous (75%). The abdominal echography which was the examination of first intention had been carried out among all patients. The lesions hypoechogenes (65%), heterogeneous (35%), hepatomegaly (35%), dilation of the bile ducts (45%) had been the most found echographic signs. None patients profited from an anatomo-pathological examination. Conclusion: The cancer of thepancreas is rare in the CHU Campus of Lome. The age bracket the most touched is that being located around 50 years. The abdominal pain, the skinned-mucous yellow fever and the deterioration of the general state are the most frequent signs. The attack of the head of the pancreas was most frequent.Key words: Cancer, epidemiology, CHU Campus, Togo

    Causes medicales d’hospitalisation des personnes agees de 65 ans et plus au Chu Tokoin de Lome.

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    Vascular diseases, diabetes, cancer and dementia increase with age in according to WHO. This retrospective study from 1999 to 2003, had the aim to look for medical hospitalization causes of old persons in Lomé-Tokoin university hospital by comparing patients of 40 to 64 years (group A) and 65 years and over (group B). 8419 patients was hospitalized (A=32.41%; B=9.66%). We notified among other diseases, stroke (A=9.08% B=17.32%), diabetes (A=3.37% B=8.23%), hypertension (A=3.4% B=6.87%), heart insufficiency (A=0.40% B=3.56%). Dementia was not notified.Les affections cerebro-cardiovasculaires, le diabete, le cancer et la demence augmentent avec l'age selon lfOMS.But : Faire lfinventaire des causes medicales dfhospitalisation des personnes agees (. 65 ans) et comparer ces causes a celles des adultes de 40 a 64 ans.Methodologie : Il s'agit d'une etude retrospective allant de 1999 a 2003 menee a partir des dossiers des archives des services de Medecine du CHU Tokoin de Lome. Nous avions inclus dans cette etude tous les dossiers des patients ages de 40 ans et plus ; nous avions compare, avec le khi carre, les principales causes medicales dfhospitalisation des patients de 40 a 64 ans (groupe A) et celles des patients de 65 ans et plus (groupe B).Resultats : Au total, 8419 patients etaient hospitalises dont 2729 du groupe A (A=32,41%) et 814 du groupe B (B=9,66%). Les deux groupes avaient presente les memes maladies et symptomes, mais certains de ceux-ci etaient significativement dominants dans le groupe B. Il sfagit des AVC (A=9% ; B=17,3% ; p<0,001), du diabete (A=3,3% ; B=8,2% ; p<0,001), de lfHTA (A=3,4% ; B=6,9% ; p<0,001), de lfinsuffisance cardiaque (A=0,4% ; B=3,5% ; p<0,001), du neuropaludisme (A=0,5% ; B=1,3% ; p<0,02)et des metastases osseuses (A=0,2% ; B=1,1% ; p<0,001).Conclusion : Notre etude retrouve, conformement a la litterature, les memes affections chez les personnes agees et les adultes sauf les demences. Dfou lfimportance dfune unite de geriatrie a Lome

    Conduite a tenir a propos d’une serie de 15 abces du foie au Chu-campus de Lome

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    Buts : Décrire les aspects épidémiologiques, cliniques, thérapeutiques et évolutifs des abcès hépatiques.Patients et méthodes.Etude descriptive, rétrospective de 15 dossiers d’abcès hépatiques vus au CHU-Campus de Lomé du 1 er Janvier 1999 au 31 Décembre 2010.Résultats : Affection cosmopolite dont la fréquence hospitalière est de 1.36 et est l’apanage des adultes jeunes (46,66%) et des couches socio-économiques faibles. La douleur abdominale avec pesanteur del’hypochondre droit a été le symptôme prédominant (66,66%). L’état général a été altéré dans 93,33% des cas, suivi d’une fièvre dans 53,33%. L’hépatomégalie a été présente dans 86,66% des cas. L’échographieabdominale a permis d’évoquer le diagnostic chez tous les patients. Le traitement a été médical, basé sur le métronidazole (100%), associé quelques fois à des antibiotiques de courte durée. Seuls deux patientsont bénéficié d’une laparotomie pour syndrome d’irritation péritonéale pour rupture d’abcès. Les complications notées ont été une pleurésie droite dans un cas, une péritonite par rupture d’abcès dans deux cas. Le délai moyen d’hospitalisation a été de 16,2 jours.Conclusion : Les abcès amibiens du foie semblent rares au CHU Campus de Lomé. Les manifestations cliniques sont évocatrices et le traitement est essentiellement médical. Leur prévention passe par le respect des  mesures d’hygiène individuelles et collectives. Mots clés : Abcès, amibe, foie, Togo. Purposes: Describe the epidemiological, clinical, therapeutic and evolutionary aspects of the hepatic abscesses.Patients and methods: Descriptive study, retrospective of 15 files of hepatic abscesses seen in the teaching hospital Campus of Lome of 1er January, 1999 has in December 31st, 2010.Results: Cosmopolitan affection the hospitable frequency of which is 1.63 and in the privilege of the young adults (46.66%) and low socioeconomic coats. The abdominal pain with gravity of the right hypochondria was the dominant symptom (66.66%). The general state was distorted in 93.33% of the cases, followed by a fever in 53, and 33%. The hepatomegaly was present in 86.66% of the cases. The abdominal echography allowed to evoke the diagnostic at all the patients. The treatment was medical,based on the metronidazol (100%), associated several times with short-term antibiotics. Only two patients benefited from a laparotomy for syndrome of peritoneal irritation for break of abscess. The notedcomplications were a right pleurisy in a case, peritonitis by break of abscess in two cases. The average deadline of hospitalization was of 16.2 days.Conclusion: The amoebic abscess of the liver seems rare in the teaching hospital Campus of Lome. The clinical appearances are suggestive and the treatment is essentially medical. Prevention through compliance with measures of individual and collective hygieneKeywords: Abscess, amoeba, live, Togo

    Inobservance therapeutique aux anti-retroviraux chez les personnes vivant avec le vih au Togo: Aspects psychologiques et psychosociaux

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    Buts : Rechercher les facteurs psychologiques ou psychosociaux responsables de l’inobservance thérapeutique (IBT) aux antiretroviraux (ARV)Méthodologie : Il s’agit d’une étude transversale sur 06 mois (mai - octobre 2008) menée au centre de promotion sociale à Lomé chez les personnes vivant avec le VIH (PVVIH) sous ARV prise en chargegratuitement par l’Etat togolais et le fonds mondial. Nos patients étaient choisis par la technique de tout venant et mené notre enquête par la technique semi dirigée et observation directe Nous avons collecté lesdonnées sur une fiche, et ces données ont été analysées par la méthode logico sémantique et le test de Khi deux.Résultats : Cinquante neuf (59) PVVIH sous ARV pris en charge gratuitement par le fond mondial et le gouvernement togolais étaient retenus. Cet échantillon composé 30 femmes et 29 hommes a un d’âgemoyen à 36,5 ans (extrêmes : 21 et 57 ans). Les attitudes de  l’inobservance thérapeutique (IBT) étaient représentées par le non respect de l’horaire de la prise des ARV (n = 39), le non respect de la posologiequotidienne des ARV (n = 25), l’arrêt intempestif de la prise des ARV (n = 8). Les facteurs psychologiques et psychosociaux de l’IBT étaient représentés par le refus de la maladie (n = 38), l’incurabilité de la maladie (n = 35), la représentation dévalorisante de la maladie (n = 22), lareprésentation mortelle de la maladie (n = 28), la représentation des origines mystiques de la maladie (n = 16), la mauvaise relation soignant - malade (n = 21) et l’attitude négative de l’entourage ( n= 26) sous forme de discrimination (n = 15) et stigmatisation (n = 11).Conclusion : La gratuité des ARV ne resoud pas complètement le problème de leur observance. Les facteurs psychologiques et psychosociaux (discrimination, relation soignant soigné, stigmatisation)peuvent entraîner certaines attitudes ou comportement responsable de l’IBT aux ARV. La prise en compte de ces facteurs dans la prise en charge des PVVIH pourrait améliorer l’observance des ARV et par conséquent l’état de santé des malades

    Syndrome douloureux abdominal aigu dans le service d’hepatogastroenterologie du chu-campus de Lome : Aspect epidemiologique et etiologique a propos de 54 cas

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    Drank: To determine the etiologies of the acute abdominal painful syndrome (SDAA) in the service of Hepato-Gastro-Enterology (HGE) of the CHU Campus of Lome.Methodology: Transverse exploratory study over 15 month (of June 1, 2005 to September 30, 2006) among patients presenting a SDAA and having profited from at least a paraclinic exploration to aim etiologic.Results: On four hundred and three (403) patients hospitalized in HGE during the time of study, 66 present a SDAA and only 54 were retained. The average age of the patients is 39 years (extreme 16 and85 years) and a sex-ratio with 0.86. In the antecedents, 16.7% (n=9) of obvious present a epigastralgy. In 64% (n=35) the pain has a brutal beginning. The pains are of seat epigastric in 40.7% (n=22),hypochondre right in 20.4% (n=12) are diffuse in 14.8% (n=8), in the left hypochondre, right iliaque pit and right side of the abdomen in x% (n=2) each one. In five cases these pains are of umbilical perishedseat. These pains are with type of burn in 46% (n=25) of cramp in 18.5% (n=10), of constriction in 11.1%.Dans 24.07% the type of the pain was not specified. A déclanchant factor was found in 44.4% andin 85.2% there was a sign of accompaniment. Echography and Fibroscopie oeso gastro duodénale made it possible to make the diagnosis etiologic in 31,4% and 93,5% respectively. An etiology was found in 72.2% (n=39) cases among which 63% (n=34) are of digestive origin dominated by the UGD (55.9% of etiologic digestive); 7.4% are of urinary origin. A right basal pneumopathy was found in a case. The abdominal pains without cause (DASC) account for 27.8% of the cases.Conclusion: The digestive causes dominated by the UGD are most frequent in the SDAA. The urinary causes are not to neglect but especially the rate of the DASC could be reduced by the improvement of the technical plate and the increase in the accessibility of the patients to the complementary examinations. But : Déterminer les étiologies du syndrome douloureux abdominal aigu (SDAA) dans le service d’Hépato-Gastro-Enterologie (HGE) du CHU Campus de Lomé.Méthodologie : Etude prospective transversale sur 15 mois (du 1er juin 2005 au 30 septembre 2006) chez les patients présentant un SDAA et ayant bénéficié d’au moins une exploration paraclinique à viserétiologique.Résultats : Sur quatre cent trois (403) patients hospitalisés en HGE dans la période d’étude, 66 présentent un SDAA et seuls 54 ont été retenus. L’age moyen des patients est de 39 ans (extrêmes 16 et 85 ans) et une sex-ratio à 0,86. Dans les antécédents, 16,7% (n=9) des patents présentent une épigastralgie. Dans 64% (n=35) la douleur a un début brutal. Les douleurs sont de siège épigastrique dans 40,7% (n=22), hypochondre droit dans 20,4% (n=12) sont diffuses dans 14,8% (n=8), dans l’hypochondre gauche, fosse iliaque droite et flanc droit de l’abdomen dans x% (n=2) chacun. Dans cinq cas ces douleurs sont de siège péri ombilical. Ces douleurs sont à type de brûlure dans 46% (n=25) de crampe dans 18,5%(n=10), de constriction dans 11,1%.Dans 24,07% le type de la douleur n’a pas été précisé. Un facteur déclanchant a été trouvé dans 44,4% et dans 85,2% il y a eu un signe d’accompagnement. L’échographie et la Fibroscopie oeso gastro duodénale ont permis de faire le diagnostic étiologique dans 31,4% et 93,5% respectivement. Une étiologie a été retrouvé dans 72,2%(n=39) des cas parmi lesquels 63% (n=34) sont d’origine digestive dominée par les UGD (55,9% des étiologique digestives) ; 7,4% sont d’origine urinaire. Une pneumopathie basale droite a été retrouvée dans un cas. .Les douleurs abdominales sans cause (DASC) représentent 27,8% des cas.Conclusion : Les causes digestives dominées par les UGD sont les plus fréquentes dans le SDAA. Les causes urinaires ne sont pas à négliger mais surtout le taux des DASC pourrait être réduit parl’amélioration du plateau technique et l’augmentation de l’accessibilité des patients aux examens complémentaires

    Particularites diagnostiques et evolutives du cancer gastrique en milieu Africain Noir a propos de 21 cas

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    But : Relever les particularités diagnostiques et évolutives du cancer gastrique en milieu africain noir au moment de leur découverteMéthodologie : Il s’agit d’une étude descriptive rétrospective menée sur 10 ans (1er Janvier 2000 au 31 décembre 2009) dans le service d’ HGE du CHU campus de Lomé. Etaient inclus les dossiers des malades hospitalisés chez lesquels le cancer gastrique a été diagnostiqué et confirmé histologiquement.Résultats : 4464 patients ont été hospitalisés dans le service d’HGE. Parmi eux, 21 souffraient de cancer gastrique, ce qui représente une fréquence annuelle de 2,1%. La prédominance masculine a été retrouvée avec une sex-ratio de 4,25. L’âge moyen des patients était de 55,85 ± 18,96 ans (extrêmes 23 et 84 ans). La tranche d’âge de 40-59 ans était la plus touchée. L’alcoolisme chronique était retrouvé chez 8 patients, 3 patients étaient tabagiques et l’association alcoolisme-tabac dans 3 cas. Deux patients avaient un antécédent d’ulcère gastrique, et 1 patient unantécédent d’ingestion de caustique. Aucun antécédent familial de cancer , de gastrite chronique ou de gastrectomie n’avait été retrouvé dans6 cas. Quinze patients avaient un bas niveau socio-économique.Le motif d’hospitalisation était dominé par les douleurs abdominales dont le siège épigastrique était le plus fréquent (8cas) ; suivi de douleurs abdominales diffuses ; de l’altération de l’état général dans 5 caschacun, puis de 2 cas d’hémorragies digestives hautes. Le délai d’évolution de la maladie avant la consultation variait entre 1 mois et 6 mois. La forme ulcéro-bourgeonnante avait été retrouvée dans 7cas ; suivie de la forme bourgeonnante et infiltrante dans 3 cas chacun.Le siège de prédilection était l’antre dans 15 cas. L’adénocarcinome a été la forme histologique la plus fréquente dans 20 cas, dont 13 casd’adénocarcinome moyennement différencié, de 4 cas d’adénocarcinome peu différencié et de 3 cas d’adénocarcinome bien différencié. Un cas de lymphome de MALT a été retrouvé chez une patiente de 60 ans ayant une notion de conservation de la viande et du poisson par salaison.Les métastases ont été retrouvées chez 15 patients avec une fréquence élevée des métastases hépatiques dans 9 cas ; suivi de métastases ganglionnaire et splénique dans 4 cas chacun et de métastasespancréatique dans 3 cas. L’anémie a été retrouvée chez 16 de nos patients, dont 11 cas d’anémie microcytaire hypochrome et de 5 cas d’anémie normochrome normocytaire. L’évolution a été caractériséepar 8 décès dont 7 avant l’intervention et un après une jéjunostomie d’alimentation. La durée moyenne d’hospitalisation a été de 21 jours (extrêmes 3 et 91 jours).Conclusion : Le cancer gastrique est une affection grave. Jusqu’au 21ième siècle son diagnostic demeure toujours tardif en milieu noir africain. L’indication de l’endoscopie oesogastroduodénale aux moindressignes digestifs «hauts» survenant au-delà de 40 ans permettrait un diagnostic précoce

    Les Erysipeles

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