12 research outputs found

    Ameloblastic carcinoma of the mandible: A case report and review of the literature

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    Aim: The purpose of this paper was to report an additional case of ameloblastic carcinoma of the left hemi-mandible and to review and analyze clinical, radiological and histopathologic features, treatment modalities and prognosis. Presentation of case: A 70 year old malepatient presented to Maxillofacial Department for a painful swelling of the left cheek. An ameloblastic carcinoma of the left hemi-mandible was diagnosed. He underwent radical surgical intervention comprising hemimandibulectomy, supraomohyoid neck dissection, and fibula free-flap reconstruction. Postoperative radiotherapy was employed. Discussion: Ameloblastic carcinoma of the mandible is a rare aggressive tumor with a poor prognosis. It can be seen in different ages. The most common symptom is a rapidly progressing painful swelling. It is defined as a malignant epithelial odontogenic tumor that retains the features of ameloblastic differentiation with cytologic features of malignancy. Non therapeutic consensus is established. However, wide surgical excision with radiotherapy is the most common treatment. Conclusion: Diagnosis of ameloblastic carcinoma at early stage and close periodic screening for metastasis are necessary to improve patient prognosis

    Métastase mandibulaire d’un carcinome folliculaire de la thyroïde : un cas rare après 7 ans

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    Introduction : Les métastases au niveau de la mandibule ne représentent que 1 % des tumeurs malignes de la cavité buccale. Observation : Nous rapportons le cas d’un patient opéré il y a 7 ans pour un carcinome folliculaire de la thyroïde et qui présentait une tumeur mandibulaire localisée sans métastases à distance. Une exérèse de la tumeur mandibulaire avec reconstruction a été réalisée. L’histologie révélait une métastase mandibulaire d’un carcinome folliculaire de la thyroïde. L’évolution était favorable avec un recul de 17 mois. Conclusion : Bien que rares, les métastases mandibulaires de la thyroïde doivent être évoquées devant toute tumeur de la région buccale, car la détection et le traitement de ces lésions métastatiques à un stade précoce améliorent la survie des patients

    Les fractures du zygoma : Ă  propos de 276 cas

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    Introduction : les fractures de l’os zygomatique revêtent une multitude de variétés anatomo-cliniques à l’origine de retentissement fonctionnel et morphologique. Le but de ce travail est de déterminer et de préciser les circonstances de survenue, la sémiologie clinique et radiologique, l’attitude thérapeutique et le devenir à moyen terme de ces patients. Matériel et méthodes : une étude rétrospective étant menée sur des patients ayant présenté une fracture isolée de l’os zygomatique traitée au service de chirurgie maxillo-faciale et chirurgie plastique de l’hôpital militaire d’instruction Mohammed V Rabat, entre mars 1999 et avril 2009. Résultats : on a inclus 276 dossiers, l’âge moyen des patients est de 32 ans avec une nette prédominance masculine (89,5 %). Les étiologies ont été dominées par les accidents de la voie publique (64,2 %). Le diagnostic a été surtout clinique, confirmé par la radiologie. La réduction ouverte a été effectuée dans 173 cas tandis que 31,9 % des cas ont nécessité une réduction fermée. Les séquelles les plus fréquentes ont été représentées par les troubles de la sensibilité (19,2 %). Discussion : l’évaluation préopératoire doit inclure une évaluation ophtalmologique complète. Les principes chirurgicaux impliqués dans la gestion des fractures du zygoma sont principalement liés à leur réduction. Cette expérience valide certaines indications pour la réduction orthopédique et souligne l’intérêt de la réduction sanglante avec fixation par mini-plaques vissées. L’indication chirurgicale dépend du type de fracture

    Adénome pléomorphe des glandes salivaires accessoires

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    Objectif : L’adénome pléomorphe est la variété la plus fréquente des tumeurs bénignes des glandes salivaires accessoires. Le but de ce travail est une analyse épidémiologique, clinique et thérapeutique de cette tumeur. Matériel et méthodes : On rapporte à travers une étude rétrospective descriptive 7 cas d’adénomes pléomorphes des glandes salivaires accessoires sur une période de 7 ans (2006 à 2012). Résultats : Il s’agissait de 1 homme et 6 femmes ayant un âge moyen de 36,85 ans. Dans trois cas, le siège de ces adénomes était le palais osseux, dans deux cas au niveau du voile, dans deux cas aux lèvres. Le délai moyen de diagnostic était de 3 ans et 10 mois. La tuméfaction a été la manifestation clinique observée dans tous les cas. La TDM a été réalisée dans tous les cas, associée à l’IRM dans 2 cas. Le traitement était chirurgical dans tous les cas. L’histologie a confirmé le diagnostic d’adénome pléomorphe. Il était bénin dans tous les cas. La récidive n’a pas été observée sur un recul de 3 ans et 6 mois. Conclusion : Les adénomes pléomorphes des glandes salivaires accessoires ont une évolution lente. Ils doivent être évoqués devant toute formation tumorale indolore de la muqueuse buccale, développée sous une muqueuse saine. Une exérèse tumorale avec une marge de 5 mm de tissu sain est le traitement adéquat. Les risques de récidive et de transformation maligne imposent une surveillance prolongée

    Natal teeth: report of two cases

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    Presence of teeth at birth or within a month postdelivery is a rare condition. We report here 2 casesto highlight their clinical features and discuss theirpossible treatment. A 7- days old female newbornwith two mandibular central incisors, noticed by theparents at birth, with complaint of continuouscrying, inability to suck milk and causing discomfortto the mother. The left incisor was highly mobilejustifying its extraction. The second case was afemale newborn referred 2 hours after delivery, fora brownish highly mobile mandibular incisornoticed by the pediatrician. Extraction wasimmediately made to avoid the danger ofaspiration. This phenomenon can lead tocomplications either local such as pain on suckling or general such as undernutrition or asphyxia byaspiration. The decision to maintain or removethese teeth should be assessed in each caseindependently, based on degree of mobility andinterference with breastfeeding

    Sarcome myéloïde du sinus maxillaire : un diagnostic difficile

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    Introduction : Le sarcome myéloïde est une tumeur maligne localisée, constituée de cellules myéloïdes et/ou monocytaires anormales. Le diagnostic est souvent difficile. Observation : Nous rapportons un cas de sarcome myéloïde du sinus maxillaire chez une femme de 47 ans. Considéré d'abord comme un sarcome d'Ewing du fait d'une expression du CD99, des investigations ultérieures montrant une expression de la myéloperoxydase et du CD68 imposèrent le diagnostic de sarcome myéloïde. Discussion : Cette présentation anatomoclinique rare d'un sarcome myéloïde sinusien illustre la difficulté diagnostique d'un sarcome indifférencié, qui a nécessité des investigations immunohistochimiques poussées comportant la recherche de la myéloperoxydase et du CD68

    Adénome pléomorphe des glandes salivaires accessoires

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    Objectif : L’adénome pléomorphe est la variété la plus fréquente des tumeurs bénignes des glandes salivaires accessoires. Le but de ce travail est une analyse épidémiologique, clinique et thérapeutique de cette tumeur. Matériel et méthodes : On rapporte à travers une étude rétrospective descriptive 7 cas d’adénomes pléomorphes des glandes salivaires accessoires sur une période de 7 ans (2006 à 2012). Résultats : Il s’agissait de 1 homme et 6 femmes ayant un âge moyen de 36,85 ans. Dans trois cas, le siège de ces adénomes était le palais osseux, dans deux cas au niveau du voile, dans deux cas aux lèvres. Le délai moyen de diagnostic était de 3 ans et 10 mois. La tuméfaction a été la manifestation clinique observée dans tous les cas. La TDM a été réalisée dans tous les cas, associée à l’IRM dans 2 cas. Le traitement était chirurgical dans tous les cas. L’histologie a confirmé le diagnostic d’adénome pléomorphe. Il était bénin dans tous les cas. La récidive n’a pas été observée sur un recul de 3 ans et 6 mois. Conclusion : Les adénomes pléomorphes des glandes salivaires accessoires ont une évolution lente. Ils doivent être évoqués devant toute formation tumorale indolore de la muqueuse buccale, développée sous une muqueuse saine. Une exérèse tumorale avec une marge de 5 mm de tissu sain est le traitement adéquat. Les risques de récidive et de transformation maligne imposent une surveillance prolongée
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