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    Cost of production and income development in sheep meat production

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    In France, the total sheep flock has fallen consistently since the 1980s, but this downward trend affects mostly the meat production as dairy flocks remain stable, boosted by official quality labels. Recently, the reform of the Common Agricultural Policy on sheep meat production helped improve the income from breeding ewes, and reduced imports from New Zealand and Great Britain helped improve meat prices. However, French consumption is stagnating and operating costs are rising continuously, thereby weakening the industry’s economic viability. Veterinarians can use some levers to help farmers improve the technical and economic performance of their farmsDepuis les années 1980, le troupeau ovin n’a cessé de diminuer en France. Cette évolution est nettement plus marquée dans les élevages producteurs de viande, alors que les élevages laitiers, bénéficiant d’une plus-value grâce à des produits sous signes officiels de qualité, présentent une stabilité de leur effectif. Récemment, le rééquilibrage de la politique agricole commune en faveur de la production de viande ovine a permis d’améliorer le revenu des ateliers de brebis allaitantes; la diminution des importations en provenance des Iles Britanniques et de Nouvelle Zélande a contribué à une amélioration des cours de la viande. Cependant, la consommation française stagne et les charges d’exploitation augmentent de façon continue, fragilisant la viabilité économique de la filière. Dans ce contexte, le vétérinaire dispose de leviers pour aider ces éleveurs à améliorer le bilan technico-économique de leur élevag

    Évaluation des risques pour la santé humaine et l’environnement et recommandations pour leurmaîtrise, dans le cadre de l’administration des médicaments vétérinaires antiparasitaires externes sous forme de bains, douches et pulvérisations en élevages de ruminants

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    Citation suggérée : Anses. (2022). Evaluation des risques pour la santé humaine et l’environnement et recommandations pour leur maîtrise, dans le cadre de l’administration des médicaments vétérinaires antiparasitaires externes sous forme de bains, douches et pulvérisations en élevages ruminants. (Saisine n° 2018-SA-0269). Maisons-Alfort : Anses, 282 p.L’émergence ou la réémergence de maladies vectorielles dont les agents pathogènes sonttransmis par des insectes ou des tiques, l’augmentation de la prévalence de la galepsoroptique chez les ruminants, conduisent les vétérinaires à prescrire entre autres destraitements antiparasitaires externes (APE) sous forme de bains, douches, pulvérisations(BDP). Ces antiparasitaires sont des organophosphorés (OP), des pyréthrinoïdes ou encoreun inhibiteur de la croissance larvaire.Ces traitements occasionnent une exposition des travailleurs aux émulsions antiparasitairesavec des risques potentiels pour l’utilisateur (pulvérisations et inhalation, bains/douches etéclaboussures…) et pour l’environnement (ruissellements des émulsions lors de pulvérisation,douche, épandage des reliquats de baignoire…). De plus, des défauts d’efficacité observésvis-à-vis de certaines myiases (Wohlfahrtia magnifica) conduisent à des pratiques éloignéesdes recommandations de prescription (surconcentrations, mélanges de différentes molécules,applications locales…).Les recommandations peuprécises des résumés des caractéristiques du produit (RCP)induisent un questionnement de la part des utilisateurs en termes de prévention de la santédes professionnels, d’impact environnemental notamment lié à l’élimination des effluents desélevages. Il en découle une nécessité de préciser davantage les pratiques d’utilisation de cesmédicaments vétérinaires
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