24 research outputs found

    Exophtalmie révélatrice d'une fistule carotido caverneuse spontanée

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    MĂ©tastase choroĂŻdienne juxtapapillaire d'un cancer du sein

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    Maladie de Coats. A propos d'un cas atypique, à révélation tardive

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    TRAITEMENT PAR ÉPLÉRÉNONE DANS LA CHORIORÉTINITE SÉREUSE CENTRALE CHRONIQUE : À PROPOS DE 8 CAS

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    Introduction :La choriorétinite séreuse centrale est une affection oculaire relativement fréquente. Il s’agit d’une maculopathiedu sujet jeune, caractérisée par la présence d’un décollement séreux rétinien (DSR) siégeant habituellement aupôle postérieur, associé à des modifications de l’épithélium pigmentaire. Il a été suggéré que la CRSC pourrait résulterd’une hyperactivation des récepteurs de minéralocorticoides au niveau des vaisseaux choroidiens, et donc il a été supposéque les antagonistes des récepteurs aux minéralocorticoides pouvaient constituer un traitement de la CRSC. Nous avonsdonc évalué l’efficacité et la tolérance de l’éplérénone, un antagoniste des récepteurs aux minéralocorticoides dans letraitement de la CRSC chronique.Matériels et méthodes : une étude prospective a été réalisée entre juillet 2016 et aout 2018 à l’hôpital militaire moulayismail de meknes, chez 8 patients traités par éplérénone pour une CRSC chronique évoluant depuis au moins 3 mois avecretentissement sur l’acuité visuelle, à la dose de 50 mg par jour le premier mois puis 25 mg par jour pendant 2 mois. Pourchaque patient l’acuité visuelle et l’OCT maculaire (épaisseur centrale de la rétine) étaient évalués avant traitement puisà 1 et 3 mois.Résultats : L’âge moyen des patients était 45.5 ± 9.45. 6 hommes et 2 femmes. Aucun patient n’a rapporté la notion deprise de corticoides. La durée moyenne de l’évolution de la pathologie avant mise sous traitement était de 23.75 mois avecdes extrêmes allant de 4 à 72 mois. Une nette amélioration de l’acuité visuelle (logMAR) a été constatée chez tous les patients: l’acuité visuelle moyenne est passée de 0.9 à l’admission à 0.225 à 1mois (p :0.014) et à 0.125 à 3 mois (p : 0.013).L’épaisseur centrale moyenne de la rétine a diminué de 347 ± 94 μm (243-500) avant traitement, 246 ± 42 μm (180-311)à 1 mois et 216 ± 26 μm (191-232) à 3 mois (p : 0.026 et 0.01 respectivement) 3 patients présentaient une disparitioncomplète du DSR à 1 mois sans récidive à 3 mois. 2 autres patients présentaient une disparition complète du DSR à 3 mois.Aucun effet secondaire nécessitant l’arrêt du traitement n’a été constaté.Discussion : La CRSC est une pathologie fréquente dont la physiopathologie est encore mal comprise. Compte tenu del’évolution spontanément favorable d’un grand nombre de CRSC aigues, l’abstention thérapeutique est la règle. Si le DSRpersiste plus de 3 mois, un traitement peut être envisagé. Aucun consensus thérapeutique n’a pu être établi à ce jour,deux traitements sont couramment utilisés, la photocoagulation focale au laser argon et la photothérapie dynamique à lavertéporfine.Le traitement par les antagonistes des récepteurs aux minéralocorticoïdes semble être une option thérapeutique prometteuse.Conclusion : Dans notre étude, l’introduction de l’éplérénone a engendré une importante amélioration tant sur le plananatomique que fonctionnel chez les patients ayant une CRSC chronique

    Neuropathie optique ischémique postérieure péri-opératoire lors d’une chirurgie de cataracte

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    Introduction : La neuropathie optique ischémique postérieure péri-opératoire est une pathologie très rare, très grave et de diagnostic difficile. On se propose dans ce travail de rapporter un cas de neuropathie optique ischémique postérieure péri-opératoire, survenant à l’occasion d’une chirurgie de cataracte. Il s’agit d’un patient âgé de 75 ans, opéré pour cataracte de l’oeil droit sous anesthésie locorégionale. En fin d’intervention, il constate une baisse de la vision au niveau de son oeil droit. L’examen ophtalmologique révèle au niveau de l’oeil droit (OD) une perception lumineuse positive, une altération du reflexe photomoteur afférent (DAPR) et un fond d’oeil normal. Au niveau de l’oeil gauche, une acuité visuelle à 10/10, un fond d’oeil normal et un champ visuel normal. L’examen neurologique est normal. Une angiographie rétinienne à la fluorescéine, une OCT maculaire et une IRM cérébrale se sont révélées normales. Les potentiels évoqués visuels étaient absents à droite confirmant le diagnostic de neuropathie optique rétrobulbaire droite. Ils étaient normaux au niveau de l’oeil gauche (OG), ainsi que la vision des couleurs. La décision thérapeutique était l’abstention. L’évolution était marquée par la non récupération visuelle et l’installation d’une pâleur papillaire au niveau de l’OD. La neuropathie optique ischémique postérieure péri-opératoire lors d’une chirurgie de cataracte est un incident rarissime. Sa pathogénie est multifactorielle dominée par l’hypotension et l’anémie. Son pronostic reste sévère. En effet les possibilités de récupération visuelle sont pauvres

    Fermeture spontanée d’un trou maculaire post traumatique

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    RESUMELes trous maculaires post-traumatiques sont, chez l'enfant, la première cause de trou maculaire, contrairement à celles de l'adulte. Nous rapportons le cas d'un enfant de 13 ans victime d'un traumatisme contusif de l'œil gauche occasionnant un trou fovéolaire de pleine épaisseur avec baisse de son acuité visuelle. Une surveillance régulière durant 6 mois appuyée par l'OCT à objectiver la fermeture du trou maculaire accompagnant une récupération fonctionnelle.La fermeture spontanée de ces TMT n’est pas rare (50% des cas), et surviendrait dans les 4 premiers mois après le traumatisme. Le mécanisme de fermeture reste débattu. Cependant, une période d'observation de 4 à 6 mois est recommandée en particulier s’il existe des facteurs de bon pronostic (Patients jeunes, petits trous avec une bonne acuité visuelle, une adhésion postérieure du vitré aux bords du TMT) en raison de la possibilité de résolution spontanée.ABSTRACTPost-traumatic macular holes are the leading cause of macular hole in children. We report a case of a contusive eye trauma in 13-year-old child causing a full-thickness foveolar hole with reduced visual acuity. Regular monitoring by OCT for 6 months objectify the closure of the macular hole with a functional recovery. Spontaneous closure of these post-traumatic macular holes is common (50% of cases), and would occur within the first 4 months after the trauma. The closing mechanism remains debated. However, an observation period of 4 to 6 months is recommended in particular if there are good prognostic factors (young patients, small holes with good initial visual acuity, posterior adhesion of the vitreous to the edges of the TMT)

    Dystrophie Grillagée Type 1 «Lattice Corneal Dystrophy» : En Images A Propos D’un Cas

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    Introduction : La dystrophie cornéenne grillagée type I (LCDI) est une forme de dystrophie cornéenne stromale caractérisée par un réseau d’opacités filamenteuses délicatement entremêlées dans la cornée, avec une détérioration progressive de la vision sans manifestations systémiques. Les lésions se développent de façon bilatérale. La LCDI est de progression lente. On rapporte un mode de transmission autosomique dominant.Matériels et méthodes : À travers un cas d’une dystrophie grillagée de cornée type I, nous discutons les caractéristiques cliniques, génétiques ainsi que les modalités thérapeutiques de cette entité rare.Observation : Nous rapportons le cas de MR A.B., 32 ans, qui se présente dans notre service pour une baisse progressive de l’acuité visuelle. L’examen ophtalmologique trouve une acuité visuelle à l’oeil droit de 4/10 P2, et de 7/10 P2 à l’oeil gauche, des opacités linéaires entrelacées au niveau du stroma ménageant la périphérie cornéenne en ODG, le reste de l’examen oculaire ainsi que général étant normal. La prise en charge a consisté en la prescription de larmes artificielles et la surveillance semestrielle de notre patient.Discussion : La dystrophie grillagée type 1 survient généralement après l’âge de 10 ans, mais peuvent apparaître vers la cinquantaine, et rarement dans la petite enfance, essentiellement au niveau du centre cornéen. Elle se caractérise cliniquement par des opacités stromales fines entrecroisées. Les études génétiques ont démontré que la mutation survient au niveau du locus 5q22-q32. L’étude histologique a montré que ces zones d’opacités correspondent à un dépôt d’une substance amyloïde typique. La prise en charge ultime consiste en une kératoplastie transfixiante, certaines alternatives sont proposées par certaines équipes, comme la photo ablation au laser excimer pour les lésions superficielles.Conclusion : La dystrophie cornéenne grillagée, est certes une pathologie rare, mais reste de diagnostic facile essentiellement clinique. Du fait du caractère héréditaire de la pathologie, une recherche extensive de cas similaires dans la famille du patient s’impose

    Infective endocarditis in chronic hemodialysis: A transition from left heart to right heart

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    Infective endocarditis (IE) of the left heart is the most frequent type of IE in chronic hemodialysis (CHD) (in 90% of cases) whereas involvement of the right heart is rare. The aim of this study was to determine the clinical, biological, and echocardiographic characteristics, as well as the prognosis of IE in CHD. This is a retrospective study conducted at the Center of Nephrology and Hemodialysis in Oujda, Morocco. Over a period of 56 months, we compiled data on a series of 11 CHD patients with IE. Their mean age was 40.5 ± 14 years, 72% were male and 27.3% had diabetes. All patients had native valve. All patients had bacteremia preceding the episode of IE. The tricuspid valve was the site of IE in 45% of the cases. Cardiac complications were observed in 72% of the patients and mortality was observed in 72% of cases. The period from IE diagnosis to death was 9 ± 6 days. In our study, the tricuspid valve was the most affected valve of IE in CHD
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