4 research outputs found

    A Machine Learning Application Based on Giorgio Morandi Still-Life Paintings to Assist Artists in the Choice of 3D Compositions

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    The authors present a system built to generate arrangements of threedimensional models for aesthetic evaluation, with the aim being to support an artist in their creative process. The authors explore how this system can automatically generate aesthetically pleasing content for use in the media and design industry, based on standards originally developed in master artworks. They then demonstrate the effectiveness of their process in the context of paintings using a collection of images inspired by the work of the artist Giorgio Morandi (Bologna, 1890–1964). Finally, they compare the results of their system with the results of a well-known Generative Adversarial Network (GAN)

    On the development of evolutionary artificial artists

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    The creation and the evaluation of aesthetic artifacts are tasks related to design, music and art, which are highly interesting from the computational point of view. Nowadays, Artificial Intelligence systems face the challenge of performing tasks that are typically human, highly subjective, and eventually social. The present paper introduces an architecture which is capable of evaluating aesthetic characteristics of artifacts and of creating artifacts that obey certain aesthetic properties. The development methodology and motivation, as well as the results achieved by the various components of the architecture, are described. The potential contributions of this type of systems in the context of digital art are also considered.http://www.sciencedirect.com/science/article/B6TYG-4PTMXVB-1/1/265a0f6c8e478822e6de32b87bc2fb1

    Parameter Search for Aesthetic Design and Composition

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    PhDThis thesis is about algorithmic creation in the arts – where an artist, designer or composer uses a formal generative process to assist in crafting forms and patterns – and approaches to finding effective input parameter values to these generative processes for aesthetic ends. Framed in three practical studies, approaches to navigating the aesthetic possibilities of generative processes in sound and visuals are presented, and strategies for eliciting the preferences of the consumers of the generated output are explored. The first study presents a musical interface that enables navigation of the possibilities of a stochastic generative process with respect to measures of subjective predictability. Through a mobile phone version of the application, aesthetic preferences are crowd-sourced. The second study presents an eye-tracking based framework for the exploration of the possibilities afforded by generative designs; the interaction between the viewers’ gaze patterns and the system engendering a fluid navigation of the state-space of the visual forms. The third study presents a crowd-sourced interactive evolutionary system, where populations of abstract colour images are shaped by thousands of preference selections from users worldwide For each study, the results of analyses eliciting the attributes of the generated outputs – and their associated parameter values – that are most preferred by the consumers/users of these systems are presented. Placed in a historical and theoretical context, a refined perspective on the complex interrelationships between generative processes, input parameters and perceived aesthetic value is presented. Contributions to knowledge include identified trends in objective aesthetic preferences in colour combinations and their arrangements, theoretical insights relating perceptual mechanisms to generative system design and analysis, strategies for effectively leveraging evolutionary computation in an empirical aesthetic context, and a novel eye-tracking based framework for the exploration of visual generative designs.Engineering and Physical Sciences Research Council (EPSRC) as part of the Doctoral Training Centre in Media and Arts Technology at Queen Mary University of London (ref: EP/G03723X/1)

    La choréogénétique, ou, L'art de faire danser l'ADN

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    Ce projet de recherche-création tient du postulat qu'il est possible de composer des chorégraphies en l'absence du chorégraphe. Plus précisément, je propose dans ma thèse de simuler le processus de composition chorégraphique en évacuant tout choix subjectif de la part du chorégraphe. La choréogénétique, c'est l'approche expérimentale qui me permet de répondre à cet objectif théorique. L'ADN, c'est le substrat moléculaire qui me permet pratiquement de remplacer la partition chorégraphique. Deux questions principales motivent mes travaux de recherche doctorale : comment faire danser l'ADN et pourquoi faire danser l'ADN. La première question fait référence à l'aspect scientifique de ma démarche, tandis que la seconde fait appel à des considérations d'ordre artistique. L'ensemble de ma thèse s'inscrit au sein de ce dualisme philosophique : le comment du pourquoi, l'objectif et le subjectif, le quantitatif et le qualitatif. À l'interface des paradigmes de l'art et de la science, ma pratique hybride participe de la rencontre entre ces deux champs de la connaissance. Le chorégraphe est un mutagène sélectif. Ma démarche artistique repose sur cette définition toute simple qui fait office d'hypothèse et de prédiction à la fois. Pour être à même de mettre à l'épreuve la validité de cette hypothèse, j'adopte dans le cadre de ma thèse une approche exploratoire; un aller-retour perpétuel entre la théorie et la pratique. Par l'entremise de la méthode expérimentale, j'évalue mon hypothèse selon différents critères de composition chorégraphique et sous différentes conditions de représentation. Je présente les résultats de six expérimentations chorégraphiques réalisées dans le contexte précis de ma thèse création. Pour certaines œuvres, le chorégraphe est remplacé par un algorithme génétique qui simule in silico des séquences de mouvements. Pour d'autres, c'est la molécule d'ADN que j'utilise in vitro pour générer des partitions chorégraphiques. Dans tous les cas, l'œuvre choréogénétique découle des mutations de séquences de mouvements soumises à la sélection naturelle. Dans tous les cas, c'est un mutagène sélectif distinct qui préside à la composition. J'analyse les différences et les similitudes entre ces expérimentations sur la base de critères quantitatifs et qualitatifs. En prenant forme dans l'espace public, mes performances convoquent différents rapports du corps dansant avec l'espace-temps. Divers types de relation au lieu modulent les conditions de représentation de l'œuvre, tandis que la durée des performances affecte tout autant le danseur que le spectateur. J'aborde également les rapports au corps du danseur dans une perspective génétique et phénoménologique. Finalement, le rapport au public s'inscrit dans le cadre de l'esthétique relationnelle. J'accorde une importance toute particulière à la fonction pédagogique de ma pratique et je discute du rôle du médiateur qui incite à la rencontre du spectateur. J'analyse mes différentes expérimentations en fonction de plusieurs critères d'évaluation de l'art. Je me demande si l'expérimentation choréogénétique est une œuvre d'art, une expérience scientifique ou les deux. À l'aide des notions générique, génétique, intentionnelle, attentionnelle et institutionnelle de l'œuvre d'art, je pose un regard critique sur mon travail. Face aux critiques épistémologiques de ma démarche, j'offre une réponse qui tient d'une sociologie de la transgression en art contemporain. Dans quelles conditions l'art et la science peuvent-elles cohabiter? Cette question fondamentale tisse la trame de fond de ma recherche-création. À la recherche d'un langage commun, l'expérimentation présente une solution méthodologique à la rencontre de ces deux solitudes. De l'interdisciplinarité à la transdisciplinarité et à la paradisciplinarité, je revendique néanmoins le droit de pratiquer l'art et la science en parallèle : ni l'un, ni l'autre, mais les deux. À l'interface de la danse et de la génétique, ma recherche parle également d'art combinatoire, d'art biotechnologique, d'art génératif, d'art corporel, d'art contextuel, d'art relationnel, d'art conceptuel et de performance. Où me classer? Mon travail polymorphe s'apparente au corps protéiforme de l'amibe, en constante transformation, en mutation pour s'adapter à son environnement. Mon travail participe, tant dans le fond que dans la forme, de cette évolution créatrice. Pour terminer, je fais un retour sur l'hypothèse qui m'a permis de réaliser cette recherche-création. J'offre en guise de conclusion une nouvelle hypothèse qui généralise le mutagène sélectif à l'ensemble des pratiques artistiques.\ud ______________________________________________________________________________ \ud MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Art combinatoire, Art contextuel, Art corporel, Art génératif, Art génétique, Bioart, Danse, Performance, Scienc
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