Habituellement, la mortalité (toutes causes confondues) des populations immigrées est plus basse que celle de la population du pays d’accueil. Une étude a montré qu’en France, la première vague de la pandémie avait conduit à un retournement de cette situation, du fait d’un excès de mortalité beaucoup plus important pour les immigrés d’Afrique subsaharienne, du Maghreb, d’Asie et d’Océanie. Ces résultats invitent à porter une attention particulière aux conditions de vie et d’accès aux soins de ces populations
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