Nicole Brossard termine son essai L’horizon du fragment (2004) en énonçant: "Je suis là. Au bout du monde, [...]. Les pieds dans la boue de l’été lumineux de l’Arctique, je regarde devant moi." Nous y retrouvons des traits fonciers de son œuvre, à savoir l’omniprésence du regard, des images visuelles, de la lumière. Après une analyse des sensations et des représentations associées à la nordicité, nous étudierons la place de la lumière et des images visuelles dans son œuvre: des images-paysages nordiques dont des paysages urbains (Montréal, Québec, Stockholm) et le Grand Nord. Des images du Nord européen et québécois, construites par le regard
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