Contrairement au discours dominant des pays maghrébins, qui considère les langues autochtones comme un symbole de division de la nation et de sous-développement, cet article se propose apporter une contre argumentation à ce discours et tente de démontrer que leur reconnaissance n’est qu’un acte de réhabilitation de l’identité maghrébine, de réconciliation du peuple maghrébin avec lui-même et de démocratisation, qui permettra à ces pays de rentrer dans une autre phase, qui est celle du développement et de la modernité.
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