L’article montre que Dworkin défend une conception de la neutralité
compatible avec le perfectionnisme. Cette compatibilité n’est évidemment envisageable
que si l ’on établit la plausibilité d’un perfectionnisme non coercitif (ou modéré).
L’éthique du défi que défend Dworkin, est, à n’en pas douter, une conception du bien.
Une telle théorie est-elle compatible avec l ’idéal de neutralité ?info:eu-repo/semantics/publishedVersio