Depuis 2006, les Études Littéraires ont subi à l’Institut des Lettres et des Sciences Humaines de l’Université du Minho (Uminho) un vaste processus de dévalorisation, de délégitimation et de marginalisation. Fondé dans l’idéologie culturaliste de ‘la crise de la littérature’ – moins vérifiée que postulée –, ce processus a trouvé dans la réforme de Bologne la voie qui lui a permis de promouvoir, d’abord dans les licences, ensuite dans les masters, la Langue et la Culture aux dépens de la Littérature