Measuring the level of supply chain robustness during construction mega-projects

Abstract

Trop souvent, les mégaprojets sont complétés en retard et dépassent les budgets prévus. Néanmoins, il n’existe toujours pas de modèle unique, ni de cadre opératoire, ni de théorie holistique pouvant mesurer les performances et les productivités des divers activités lors de mégaprojets de construction. Une solution proposée par l’auteur de cette thèse est la formulation d'un artefact ou d'un design, appelé modèle de performance et de productivité de la construction (CPPM), qui intègre un cadre opératoire à partir des processus de la chaîne d'approvisionnement. Le modèle de performance et de productivité de la construction fait face à la problématique managériale avec la vision de développer une conception d’attributs et de facteurs clés qui rendrait l'industrie de la construction canadienne plus compétitive. Le cadre du modèle repose sur une approche de chaîne d’approvisionnement, et fournit des facteurs clés de succès en temps réel avec des attributs de performance et des mesures couvrant toutes les phases des mégaprojets. La recherche aux fils des ans a su évoluer grâce à la liberté d’adopter diverses méthodologies et d’étudier plusieurs théories. L’approche de la recherche en design-sciences a donc été choisie parce qu'elle englobe cette liberté académique dans le design managérial, l’approche théorique et l'environnement réel des mégaprojets. Le modèle “CPPM” a révélé que les attributs de performance et les facteurs clés de succès prédominant à l’artefact, étaient ceux reliés aux “EPCM Agility”, suivis des contrôles de coûts et ceux de la fiabilité des achats. L’auteur de cette thèse estime que la recherche entreprit lors de son doctorat a permis à la science de progresser. Cette thèse s'appuie sur ses sept constats liés à la gestion de mégaprojets, renforcée par quatre ans d’observations avec des experts de l’industrie, des entrevues semi-structurées et sondage, de même que la conception d’un modèle “CPPM” qui couvre toutes les phases et activités dans la gestion de mégaprojets. L’auteur a aussi établi un modèle qui est validé par une série de principes, de processus, d’évaluation, de contribution et de justification des connaissances, ainsi que l’originalité et l’inventivité d’un modèle qui est unique et novateur dans la littérature de la gestion de construction. Enfin, l’auteur conclut que l’artefact a atteint un niveau de cohérence que pour le chantier de construction sur lequel il a seulement été testé. Comprenant les limites du modèle, cette recherche offre à d’autres chercheurs l’occasion de renforcer ultérieurement la validité du modèle en le testant sur différents sites de construction.Abstract: Too often mega-projects are completed late and over budget. Nevertheless, there is no holistic model, nor any solid-proof framework, nor theories which measures performance and productivity pertaining to the construction activities. One solution proposed by the researcher, is the formulation of an artifact or design, known as the Construction Performance & Productivity Model (CPPM), which integrates a supply chain framework. The Construction Performance & Productivity Model seeks to attenuate the managerial problematic in the industry with the vision to develop a design that would make the Canadian construction industry more competitive. The framework of the model has a supply chain approach, provides real-time measurement with performance attributes and metrics that are pertinent to the construction industry. It is also friendly to users and covers all phases of construction mega-projects. The research over the years evolved from the freedom of adopting various methodologies and theories. The paradigm of Design-Science Research (DSR) was selected because it espouses this academic freedom in design, science and real-life environment. Through a Participant Observation (engineering phases) and Action Research (construction activities), using the SCOR Model as its base, enriched and minimised through a series of semi-structures interviews and one survey, the research found the most important performance attributes and metrics that performed best in the model (CPPM) were the ones belonging to the categories of EPCM Agility, followed by Project Controls and Procurement Reliability. The researcher believes this doctoral thesis has permitted the science to progress because its model (CPPM) relates its seven (7) constructs to megaprojects, reinforced by four (4) years of observations, is validated through a series of principles, processes, evaluation, contribution and justification knowledge. Moreover, the model’s originality and inventiveness are different from the ones found in construction literature. Finally, the researcher concludes the CPPM has achieved a level of consistency for the construction site it was only tested to it. Understanding the model’s limitations, this research offer opportunities to other scientists to further the model validity by testing it in different construction sites

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