Ce mémoire ne comblera sans doute pas toutes les lacunes, mais mon intention est, à tout le moins, d'en arriver à une définition de la concession (quitte à statuer pour y parvenir) et à éclairer ses rapports avec la restriction. Cet objectif théorique ne constitue que la première partie de mon travail. Je veux, par la suite, m'attaquer plus précisément à la description de morphèmes considérés comme concessifs ou comme restrictifs (selon le cas) en français québécois (cela n'a pas été fait jusqu'ici) et établir une comparaison avec leurs pseudo-équivalents en français général