thesis

Outils à privilégier pour réduire les obstacles liés au contexte interculturel et faciliter la réussite d’un projet de conservation : cas de la communauté ethnolinguistique Popti’ du Guatemala.

Abstract

La biodiversité, c’est ce qui permet aux humains de survivre, de manger et de subvenir à leurs besoins; sans la biodiversité le développement des sociétés humaines est impossible. C’est pourquoi il y a un grand intérêt envers les projets de conservation. Dans de nombreux projets de conservation dans les pays du Sud, l’aide de biologistes étrangers est sollicitée. Cependant pour qu’une alliance entre une communauté du Sud et un biologiste étranger fonctionne plusieurs obstacles liés au contexte interculturel doivent être surmontés. Pour que le projet soit réalisable, le biologiste étranger doit créer une relation de confiance entre les différents intervenants du projet. Le biologiste étranger doit donc être efficace dans un contexte interculturel, et être un bon vulgarisateur. Pour améliorer son efficacité interculturelle, le biologiste étranger doit maîtriser les langues locales de la communauté et il doit instaurer un véritable partenariat par l’intermédiaire d’un mécanisme de gestion participative. L’instauration de cette gestion participative n’est cependant pas possible sans une bonne vulgarisation scientifique, ce qui nécessite une grande culture générale sur les croyances et les modes de vie de la communauté avec qui il travaille

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