The Canadian Counselling and Psychotherapy Association
Abstract
Little is known about how factors related to the post-secondary academic setting impact Canadian students’ self-reported anxiety. Using a socio-ecological framework, we examined lifetime prevalence and correlates of self-reported student anxiety. Data were collected from 593 university students (422 of whom were undergraduates) from a university in central Canada through an online survey. Descriptive statistics and a series of regression models were used to examine the study’s objectives. Most students reported having experienced anxiety that had impacted their lives. Findings provide support for a socio-ecological explanation of anxiety: socio-demographic, relationship, and academic factors predicted self-reported student anxiety. The results highlight the need to ensure that campus services and supports are well equipped to address the mental health problems of students. Theoretical, practice, and research implications are noted.On sait peu de choses sur la façon dont les facteurs liés au milieu de l’éducation postsecondaire influencent le degré d’anxiété rapporté par les étudiants canadiens. Grâce à un cadre socio-écologique, nous avons examiné leur prévalence au cours de la vie et leurs corrélations avec l’anxiété rapportée par les étudiants. Les données furent recueillies par un sondage en ligne auprès de 593 étudiantes et étudiants universitaires (dont 422 de premier cycle) fréquentant une université du centre du Canada. Pour examiner les objectifs de l’étude, on a eu recours à des statistiques descriptives et à une série de modèles de régression. La plupart des étudiantes et étudiants ont rapporté avoir vécu une anxiété qui a eu des répercussions sur leur vie. Les résultats vont dans le sens d’une explication socio-écologique de l’anxiété : des facteurs relatifs à la sociodémographie, aux relations et aux études semblaient en lien direct avec les degrés d’anxiété rapportés par les étudiantes et les étudiants. Les résultats mettent en lumière la nécessité de s’assurer que les services aux étudiants et les services d’aide sur les campus sont en mesure de prendre en charge les problèmes de santé mentale. On y souligne des implications sur le plan de la théorie, de la pratique et de la recherche