Feminist Therapy Fees: Critiquing and Rethinking

Abstract

By fundamentally problematizing the business conceptualization, the author of this article critiques the central position taken in the literature on the payment of feminist therapy fees. Critiqued are such espoused beliefs as "not paying or underpaying for therapy is countertherapeutic," and such practice recommendations as (a) do not see anyone for free, and (b) inquire at length into the client's resources before setting the fee. The author demonstrates the incompatibility of these beliefs with feminism, recommends abandoning the business conceptualization, and articulates a reframing and restructuring of private practice by using the social services fixed salary as guideline.En examinant fondamentalement la problématique de la conceptualisation commerciale, l'auteure de cet article fait une critique de la position centrale prise dans les ouvrages sur la thérapie féministe. Elle critique certaines opinions qui ont été adoptées, comme l'idée selon laquelle «le fait de ne pas payer ou de sous-payer la thérapie entrave à la thérapie elle-même» et des recommandations relatives à l'exercice de la thérapie, p. ex. (a) ne jamais rencontrer une cliente gratuitement et (b) s'informer toujours en long et en large des ressources des clientes avant de fixer ses bonoraires. L'auteure démontre l'incompatibilité de ces opinions avec le féminisme, recommande que l'on abandonne la conceptualisation commerciale et décrit un remaniement de l'exercice privé en se basant sur le salaire fixe des services sociaux

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