Social networks (SNs) are social frameworks that form good entry points
for business and socio-economic developments. Social networks are
important for small-scale, resource-poor farmers in Sub-Saharan Africa,
who overly rely on informal sources of information. SNs provide
opportunities for establishing effective functional multi-stakeholder
Innovation Platforms (IPs) necessary for catalysing wide adoption of
SLM innovations. This paper analyses the significance of SNs in
sustainable land management (SLM), focusing on stakeholders’
characteristics and their association among agricultural rural
communities in central Ethiopia and eastern Uganda. The analysis
conducted in both countries revealed a positive relationship between
the strength of social networks and SLM innovation practices. The
closeness of centralisation of networks in Ethiopian and Uganda was 56
and 45%, respectively; implying that only about half of the potential
networks among partners actually function. The factors associated with
strength of the networks included the age, the physical distance
between partners, frequency of interaction, and source of information.
Unfortunately, significant weaknesses remain in the existing networks.
There exist several networks in both countries without active
interactions with key actors in land management. Also, private sector
networks particularly important in playing critical roles such as
fostering market-led innovations for enhanced adoption, are
conspicuously lacking.Les réseaux sociaux sont des structures sociales qui forment un
bon point de départ pour les développements commerciaux et
socio-économiques. Les réseaux sociaux sont importants pour
les petits et pauvres fermiers en Afrique Sub-Saharienne qui
dépendent seulement des sources informelles d’information.
Les SNs offrent des opportunités pour l’établissement
des plates formes d’innovation multipartenaires fonctionnelles et
efficaces, nécessaires pour catalyser une large adoption des
innovations de SLM. Cet article analyse l’implication de SNs dans
la gestion durable des terres (SLM), se basant sur les
caractéristiques des partenaires et leurs associations parmi les
communautés agricoles rurales du centre de l’Ethiopie et de
l’Est de l’Ouganda. L’analyse conduite dans les deux
pays a révélé une relation positive entre les forces de
réseaux sociaux et les pratiques d’innovation de SLM. La
ressemblance dans la centralisation des réseaux en Ethiopie et en
Ouganda était 56 et 45%, respectivement; impliquant
qu’environ la moitié des réseaux potentiels parmi les
partenaires fonctionnent actuellement. Les facteurs associés
à la force des réseaux comprenaient l’âge, la
distance physique parmi les partenaires, la fréquence
d’interaction, et la source d’information. Malheureusement,
d’importantes faiblesses demeurent dans les réseaux
existantes. Dans les deux pays, bon nombre de réseaux manifestent
un manque d’interaction active avec les acteurs clés dans la
gestion de terres. Aussi, les réseaux du secteur privé
particulièrement importants en jouant des roles critiques tels
qu’ encourager les innovations orientées vers le marché
pour une adoption accrue sont remarquablement manquantes