Africa is one of the secondary centers of diversity for the genus Musa.
There is a wide range of genetic diversity in the bananas found in the
continent with different types dominating different ecological
sub-regions. Banana production in Africa is affected by a number of
diseases and pests. The development of resistant cultivars is
considered to be the most effective approach to controlling diseases
and pests. Banana breeding at the International Institute of Tropical
Agriculture (IITA) involves crossing triploid (3x) landraces with
diploid (2x) accessions to produce tetraploid (4x) hybrids. The 4x
hybrids are crossed with improved 2x accessions to produce secondary
triploids. In this study, the female fertility of 70 East African
highland banana landraces was assessed. This was done through hand
pollination with pollen from a wild diploid banana, Musa acuminata spp.
burmannicoides Calcutta 4'. Results indicate that 50% of the landraces
were female fertile and produced true seeds. Seeds were germinated by
embryo rescue and the hybrids obtained were assessed to exhibit
increased resistance to black sigatoka. However, bunch weights of the
hybrids were generally lower than the control landrace,
‘Mbwazirume'. By crossing diverse genotypes, producing new
populations and selecting improved genotypes, conventional breeding has
the potential of increasing banana diversity at the farm level. It is
thought that adoption of modern cultivars by farmers could lead to
genetic erosion of landraces. However, studies in other crops showed
that despite adopting modern cultivars farmers still maintain
landraces. Both Ex-situ (off-site) and In-situ (on-site) conservation
methods are important for Musa. In-situ conservation is appropriate for
wild species in their natural habitats allowing the continuation of
natural evolutionary processes and for landraces that were selected for
important traits over many years by farmers. Wild species could also be
conserved Ex-situ in field gene banks, In vitro culture and
cryopreservation especially where their natural habitats are in prone
to destruction. Field gene banks are more appropriate for breeders
providing opportunities for continual assessment of the germplasm.L'Afrique est un des centres secondaires de diversité pour le
genre Musa. Il y a une large gamme de diversité
génétique dans les bananes trouvées dans le continent
avec des types différents dominant les différentes sous
région écologiques. La production de banane en Afrique est
affectée par un nombre des maladies et pestes. Le
développement des variétés résistants est
considéré être l'approche la plus effective pour
contrôler les maladies et pestes. La reproduction de banane à
l'Institut Internationale d'Agronomie Tropicale (IITA) implique le
croisement triploïde (3x) des races de terre avec les accessions
de diploïde (2x) pour produire les tétraploïdes hybrides
(4x). Les hybrides 4x sont croisés avec les accessions 2x
améliorés pour produire les triploïdes secondaires. Dans
cette étude, la fertilité féminine des races de terre de
banane de 70 régions de montagne de l'Afrique de l'est était
évaluée. Ceci était faite à travers la pollination
ouvrière avec le pollen d'un diploïde de banane sauvage, Musa
acuminata spp. burmannicoides Calcuta 4'. Les résultats indiquent
que 50% des races de terre étaient de fertilité féminine
et ont produit des vraies graines. Les graines étaient
germées par l'aide d'embryon et les hybrides obtenus étaient
évalués pour exhiber l'augmentation de résistance au
sigatoka noire. Cependant, les poids de bouquet des hybrides
étaient généralement bas que les races de terre de
contrôle, ‘Mbwazirume'. En croisant diverses génotypes,
produisant des nouvelles populations et en sélectionnant des
génotypes améliorés, la reproduction conventionnelle a
le potentiel d'augmenter la diversité de banane au niveau de la
ferme. Il est pensé que l'adoption des variétés modernes
par les fermiers pourrait mener à l'érosion
génétique de la race de terre. Cependant, les études sur
les autres plantes ont montré que malgré l'adoption des
variétés modernes les fermiers continuent à maintenir
les races de terre. La conservation des deux méthodes Ex-situ (sur
site) et In-situ (sur site) est importante pour Musa. La conservation
In situ est appropriée pour les espèces sauvages dans leurs
habitats naturels permettant la continuation du processus
évolutionnaire naturel et pour les races de terre qui étaient
sélectionnées pendant beaucoup d'années par les fermiers
pour les traits importants. Les espèces sauvages pourraient aussi
être conservées dans les banques des gènes sur terrain
Ex-situ, en culture In vitro et en cryopréservation
spécialement la où leurs habitats naturels sont en
destruction prône. Les banques des gènes de terrain sont plus
appropriées pour les reproducteurs pourvoyant les
opportunités pour l'évaluation continuelle du germplasme