Selection of drought tolerant wheat genotypes for Arid and Semi-arid
lands (ASALS) of Kenya, which consist of 83% of total land area, can
provide alternative agricultural land for expansion. To reduce cost of
dryland research, simulated drought under a rain shelter offers a good
alternative for screening because marginal areas are vast and
widespread. Four moisture regimes which simulated terminal, early, mid-
and late- season droughts were created under the mobile rain shelter at
Njoro in 1998/99, by applying drip irrigation (i) up to seedling stage
(70 mm) (ii) through tillering (82 mm) (iii) up to anthesis (94 mm) and
(iv) grain filling (106 mm), respectively, to determine drought
responses of five wheat varieties (Duma, R748, R830, R831 and R833) and
identify drought tolerant genotypes. Control watering regime had 118 mm
applied at all stages. Yield and yield components in each season and
the two seasons combined showed significant difference (P<0.05 and
0.01, respectively). Early drought during seedling stage and tillering
caused significant reduction in plant heights, tiller number and number
of reproductive tillers. However, drought from anthesis and grain
filling to maturity caused significant (P<0.05) reduction in ear
length (16.9%), spikelets/head (14.3%), 1000-kernel weights (22.4%) and
an increase in the number of sterile florets/head (28.3%), compared to
control. Seedling and reproductive stage (anthesis and grain filling)
droughts caused the highest grain yield reduction (25 and 67%,
respectively), indicating that they were the most critical stages in
moisture requirement compared to control. Genotype R748 out-performed
Duma (check) in all moisture regimes, and was recommended for field
testing and participatory evaluation. From this study, it is possible
to select drought tolerant cultivars using mobile rain shelters by
drought simulations in Kenya.La sélection des génotypes tolérant a la sécheresse
pour les terres arides et semi-arides (ASALS) du Kenya, lesquelles
consistent a 83% de la surface de terre, peut pourvenir de terre pour
l'expansion agricole. Pour réduire le coût de la recherche
dans les régions arides, la sécheresse simulée a l'abris
de la pluie offre une bonne alternative pour la sélection parce
que les aires marginales sont vastes et éparpillées. Pour les
régimes humides qui sont simulés a l'état terminal,
matinal, en pleine et en retard des saisons séches étaient
crées sous un abri mobile a Njoro entre 1998/1999, par application
de l'irrigation par goutte 1) jusqu'a l' étape de semis (70 mm)
ii) a travers le labourage (82 mm), iii) jusqu'a l'étape d'anthere
(94 mm) et iv) graine nourrissante (106 mm), respectivement pour
déterminer les réponses a la sécheresse aux cinq
variétés de blé (Duma, R748, R830, R831 et R833) et
identifier les génotypes tolérant la sécheresse. Le
contrôle du régime en eau avait 118 mm appliqués a
toutes les étapes. Les composants de la production et du rendement
dans chaque saison et les deux saisons combinées ont montré
une différence significative (P<0,005 et 0,01 respectivement).
La sécheresse matinale durant l'étape de semis et de labeur a
causé une réduction significative en hauteurs de plante en
nombre de laboureurs et nombre de laboureurs reproductifs. Cependant,
la sécheresse à partir de maturité d'anthere et graine
nourrissante a causé une réduction significative (P<0,05)
en longueur d'épi (16,9%), de pointes/ tête (14,3%), poids de
1000 grains (22,4%) et croissance dans le nombre de fleurons steriles /
tête (28,3%) comparée au contrôle. L'étape de semis
et reproductive (anthere et graine nourrissante) de sécheresse a
causé la réduction la plus élevée en rendement de
graines (25 a 67%, respectivement)., indiquant qu'elles étaient
les étapes les plus critique en humidité requise
comparée au contrôle. Le génotype R748 donne une
mauvaise performance en tous les régimes humides, et était
recommendé pour les test sur terrain et l'évaluation
participative. De cette étude, il est possible de
sélectionner les variétés tolérantes a la
sécheresse en utilisant les abris mobiles pour simuler la
sécheresse au Kenya