Faraon (1897) de Bolesław Prus est - défini dans les interpretations connues comme historiophilosophique - un roman sur le pays, le souverain et la lutte politique. L’auteur de cet
article, prenant comme la clé ďinterprétation la théorie de camavalisation de M. Bachtin,
s’intéresse surtou au temps décisif, présenté dans le roman, pour ľexistence et le fonctionnement
de l’Egypte qui se développe harmonieusement.
Par rapport á cela l’auteur fait une attention particuliére au mot «jeu», apparaissant dans
ľouvrage, qui prend une double signification dans ľinterprétation de Faraon en montrant
pourtant chaque fois les memes droits camavalesques dirigeant le monde présenté. Le jeu,
compris comme un jeu de sociéte (p.ex. les dés, le jeu de dames), presente, prenant pour
l’exemple le destin de Ramzes, que le sort et la loi de hasard dirige la vie de l’homme. Dans
cette comprehension la guerre et la politique sont aussi une sorte du jeu. Dans la comprehension plus vaste ľhistoire est un jeu, compose'e des événements, les effets de ia faute, du concours de
circonstances et des mystifications camavalesques.
L’auteur de cet article démontre finalement que Faraon est un román présentant le proces
historique par le prisme des crises camavalesques, des transformations et des renouvellements.
Dans cette maniere on a exprimé ľapprobation et la louange, typiques pour la littérature de
carnavalisation, qui garantissent le développement du monde (de ľhistoire et de la vie de
ľhomme).Zadanie pt. „Digitalizacja i udostępnienie w Cyfrowym Repozytorium Uniwersytetu Łódzkiego kolekcji czasopism naukowych wydawanych przez Uniwersytet Łódzki” nr 885/P-DUN/2014 zostało dofinansowane ze środków MNiSW w ramach działalności upowszechniającej nauk