Selecting and Testing Cryptogam Species for Use in Wetland Delineation in Alaska

Abstract

To support the determination of hydrophytic vegetation in wetland delineations in Alaska, USA, a series of tests were conducted to develop a group of “test positive” species to be used in a “cryptogam indicator.” In 2004, non-vascular cryptogam species (bryophytes, lichens, and fungi) from Interior and South-Central Alaska in the vicinities of Fairbanks and Anchorage were collected at a series of ten 50 × 50 cm plots along two 30 m transects in each of six upland and five wetland sites. Nineteen moss and liverwort species were selected from 86 species surveyed to test for wetland fidelity. In 2005, a plot-based analysis of frequency and cover data yielded a revised list of 17 bryophyte species that were specific to wetland communities dominated by black spruce, Picea mariana (P. Mill.) B.S.P. Fungi and lichens were found to be inadequate wetland indicators in the sampled locations because the lichen species were sparsely distributed and the fungi were too ephemeral. The cryptogam indicator was thus restricted to bryophytes. Also in 2005, bryophytes were analyzed for their presence on microtopographic positions within the landscape, including tops of hummocks and hollows at the bases of hummocks. Upland bryophyte species were found on hummock tops inside the wetland boundary, but were not abundant in the hollows (p < 0.05). The fidelity of the species selected for use in the cryptogam indicator was tested. It was determined that if more than 50% of all bryophyte cover present in hollows is composed of one or more of the 17 wetland bryophytes tested in 2005, then vascular vegetation can be considered to be hydrophytic (p < 0.001).Afin d’étayer la présence de végétation hydrophytique dans les délimitations de zones humides de l’Alaska, aux États-Unis, une série de tests a été effectuée dans le but d’aboutir à un groupe d’espèces « de test positives » à utiliser avec un « indicateur de sporophyte ». En 2004, des espèces de sporophytes non vasculaires (bryophytes, lichens et champignons) de l’intérieur et du centre-sud de l’Alaska, aux environs de Fairbanks et d’Anchorage, ont été recueillies à une série de dix parcelles de 50 sur 50 cm le long de deux transects de 30 m dans chacun de six sites montagnards et de cinq sites humides. Dix-neuf espèces de mousse et d’hépatiques ont été choisies à partir de 86 espèces prélevées dans le but d’en déterminer la fidélité aux zones humides. En 2005, une analyse de fréquence de parcelles et des données de couverture ont permis d’obtenir la liste révisée de 17 espèces de bryophytes propres aux zones humides dominées par l’épinette noire, Picea mariana (P. Mill.) B.S.P. Nous avons constaté que les champignons et les lichens étaient des indicateurs de zones humides inadéquats aux sites échantillonnés parce que les espèces de lichen étaient réparties maigrement et que les champignons étaient trop éphémères. Par conséquent, l’indicateur de sporophytes a été restreint aux bryophytes. Également en 2005, nous avons analysé les bryophytes afin d’en déterminer la présence à des positions microtopographiques du paysage, ce qui comprenait le sommet de hummocks et les creux à la base de hummocks. Des espèces de bryophytes montagnardes ont été décelées aux sommets de hummocks à l’intérieur de la limite des zones humides, mais celles-ci n’abondaient pas dans les creux (p < 0.05). La fidélité des espèces choisies afin d’être utilisées dans l’indicateur de sporophytes a été testée. Nous avons déterminé que si plus de 50 % de toute la couverture de bryophyte présente dans les creux est composée de l’une ou plusieurs des 17 bryophytes de zones humides testées en 2005, la végétation vasculaire peut alors être considérée comme hydrophytique (p < 0,001)

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