Success in Writing and Attributions of 16-Year-Old French-Speaking Students in Minority and Majority Environments

Abstract

This article examines causal attributions of writing performance made by 16-year-old French-speaking Canadian students (N=3,874). The students are from the French-speaking majority province (Quebec) and minority provinces in Canada (Manitoba, Ontario, New Brunswick, and Nova Scotia). The data came from the School Achievement Indicators Program (SAIP) Writing Assessment III (Council of Ministers of Education, 2002). A total of 15 variables are related to causal attributions of failure and success in writing. The interaction between these variables and the type of environment (i.e., minority vs. majority French environments) indicated that French-speaking students in a minority environment did not perform as well as those from a majority linguistic environment because they did not study hard enough, the teacher marked too severely, they had bad luck, and the course was not well taught. When they were successful, it was because they studied hard at home and attributed their good marks to working hard enough, the teacher being lenient marking, and having good luck. The majority group attributed their good marks to the ease of the course and their bad marks to its difficulty.Cet article étudie les attributions causales de la performance à l’écrit d’élèves canadiens parlant français et âgés de 16 ans (N=3,874). Les étudiants proviennent d’une province à majorité francophone (Québec) ainsi que de provinces où le français est une langue minoritaire (Manitoba, Ontario, Nouveau-Brunswick, Nouvelle-Écosse). Les données de l’étude sont puisées du Programme d’indicateurs du rendement scolaire, évaluation de l’écrit III (2002). En tout, 15 variables sont liées aux attributions causales de l’échec et de la réussite à l’écrit. L’interaction entre ces variables et le type d’environnement linguistique (majoritairement ou minoritairement francophone) indique que la performance des élèves francophones vivant dans une situation minoritaire était inférieure à celle des élèves provenant d’une situation linguistique majoritaire et ce, parce qu’ils n’étudiaient pas assez, qu’ils était malchanceux, que l’évaluation par l’enseignant était trop sévère, et qu’on n’enseignait pas bien le cours. Quand les élèves minoritaires réussissaient, c’était parce qu’ils avaient beaucoup étudier à la maison, que l’enseignant n’était pas sévère et que la chance avait été de leur côté. Les élèves majoritaires ont expliqué leurs bonnes notes en disant que le cours était facile et leurs mauvaises notes en disant que le cours était difficile

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