Postpartum family planning (FP) in Kenya is low due to inadequate
sensitization and awareness among women, particularly in rural areas.
This paper identifies most widely used types of FP, intent and unmet
needs among women, FP counseling and barriers to FP uptake. Focus group
discussions with providers, traditional birth attendants (TBAs) and
mothers, as well as in-depth interviews identify key themes including
preferred postpartum FP, limits to existing FP counseling and barriers
to FP uptake. Postpartum FP is common including injectable
contraceptives, oral contraceptives, coils, condoms, and calendar
methods. FP counseling is provided by peers, friends, TBAs and formal
health providers. FP practices are associated with family support,
literacy, access to FP information, side effects, costs and religion.
In conclusion, changes in service provision and education could
encourage increase in postpartum FP use in Kenya.La planification familiale du post-partum (PF) au Kenya est faible en
raison de la sensibilisation insuffisante et la sensibilisation des
femmes, en particulier dans les zones rurales. Ce document identifie
les types les plus répandus de la PF, l'intention et les besoins
non satisfaits chez les femmes, la consultation de la PF et les
obstacles à l'adoption de la PF. Des discussions à groupe
cible avec les prestataires de services, les accoucheuses
traditionnelles (AT) et des mères, ainsi que des entrevues en
profondeur dégagent les principaux thèmes, y compris la PF du
post-partum préféré, les limites de la consultation de
la PF en cours et les obstacles à l'adoption de la PF. La PF du
Post-partum est commune, y compris les contraceptifs injectables, les
contraceptifs oraux, les bobines, les préservatifs et les
méthodes de calendrier. La consultation de la PF est
prodiguée par des pairs, les amis, les accoucheuses
traditionnelles et les prestataires officiels de santé. Les
pratiques de la PF sont associées avec le soutien de la famille,
l'alphabétisation, l'accès à l'information sur la PF,
les effets secondaires, les coûts et la religion. En conclusion,
les changements dans la prestation de services et de l'éducation
pourraient encourager la hausse de l’utilisation de la PF du
postpartum au Kenya