'UNISINOS - Universidade do Vale do Rio Dos Sinos'
Doi
Abstract
The ideology of transparency and liberty of expression without any limits, created by the digital convergence of electronic supports, has constructed the myth of “we are all journalists”. And this myth is sustained by many illusions cherished by the behaviours of social, political and economical actors, but also by every one participating in this belief. With the online Medias and the citizen initiatives in the “information society” each person can attest “I’m a journalist!” Is the transformation of the mass media activities meaning disappearing of journalists? Obviously however, in comparison with the social functions of the journalists in the society through the historical Medias, “the sum of blogs does not make a new public space”! The Web is not the exclusive future of the news. In the environment of the mutation of the information and communication technologies, the new or outlaw practices are numerous to heckle the journalist as professionals of information in a social and democratic system. But the future of the journalists who are fully participating at all the debates of society could not be restricted in the closed field of the social partners.Le “tout information” , comme le “tout communication” résultant d’une idéologie de la transparence et de la liberté d’expression sans limite, nés de la convergence numérique des supports électroniques, a conduit au mythe de “tout journalistes”. Et celui-ci nourrit bien des illusions sur les comportements des acteurs sociaux, politiques et économique, ainsi que sur le tout un chacun en tant qu’acteur de l’information participative. Dans la “société de l’information ” tout le monde peutil donc se prétendre journaliste? Or, manifestement, par rapport aux fonctions sociales assurées dans la société par les journalistes via les médias historiques, la somme des blogs ne saurait constituer un nouvel espace public. Dans le contexte des mutations technologiques, des usages nouveaux ou détournés par les promoteurs comme par les usagers, les motifs ne manquent pas pour que les journalistes se repositionnent en tant que “professionnels” dans un système social démocratique. L’avenir du journalisme participant pleinement des débats sociétaux il ne saurait rester confi né dans le seul champ clos des “partenaires sociaux”