Les romancières françaises publiant entre 1870 et 1900, entre George Sand et Colette, sont les grandes oubliées des histoires littéraires ainsi que de l’historiographie. Leurs vies et leurs œuvres méritent pourtant d’être redécouvertes. Depuis les virulents textes misogynes de la fin du XIXe siècle signés Barbey d’Aurevilly, Albert Cim ou encore Dumas fils, « les bas-bleus » n’ont plus guère intéressé l’historiographie. Peu d’historiens y consacrent des ouvrages avant les études pluridiscipli..