Writing and Parricide in Henry Roth’s “Final Dwarf”

Abstract

D’inspiration autobiographique, la nouvelle « Final Dwarf » reflète les difficultés relationnelles d’Henry Roth avec son père, Herman. Le drame oedipien qui est au cœur de Call it Sleep, de Mercy of a Rude Stream et de l’inédit « Maine Sampler », se manifeste ici en tant que désir parricide pour constituer une représentation de l’acte d’écrire. La nouvelle se présente alors comme une allégorie de la création littéraire. Freudienne et intertextuelle, cette approche tente d’explorer le redoutable blocage de l’écrivain : si pour Roth l’écriture est synonyme de parricide, le blocage pourrait être perçu comme une peur de la castration

    Similar works