Droga y Violencia: Fantasmas de la Nueva Metrópoli Latinoaméricana

Abstract

En el contexto de ciudades que crecen, cambian, sedesestructuran y milagrosamente sobreviven a la exclusión, la entropíay las múltiples temporalidades que las habitan, el autor se planteadeconstruir dos fantasmas que recorren las ciudades latinoamericanas,el de la droga y de la violencia. De este intento surgen comoconjeturas fuertes que el fantasma marca una brecha entre lapercepción de un problema y la magnitud del mismo en los hechos; quetiene un uso político con fines de control social y también dehegemonía global; que opera como desplazamiento de la inseguridad ycomo relevo desde la guerra fría a la guerra a las drogas. Yfinalmente, opera estigmatizando a grupos de población.Dans un contexte marqué par des villes qui s’agrandissent, qui se transforment, qui se déstructurent et qui miraculeusement survivent à l’exclusion, à l’entropie et aux multiples temporalités qui les caractérisent, l’auteur propose de construire/d’identifier deux fantômes qui parcourent/hantent les villes latino-américaines, celui de la drogue et celui de la violence. Selon cette perspective  de fortes conjectures révèlent le fait que le fantôme signale un décalage entre la perception d’un problème et la magnitude de celui-ci dans les faits ; qu’il est employé politiquement à des fins de contrôle social ainsi que d’hégémonie globale ; qu’il opère comme un déplacement de l’insécurité et comme un relais de la guerre froide à la guerre contre les drogues. Et enfin, il opère en stigmatisant certains groupes en particulier.In the context of cities that grow, change, and miraculously survive exclusion, entropy and the multiple temporalities that inhabit them, the author arises the purpose of deconstructing two ghosts that cross Latin American cities,  drug and violence. From this attempt emerge as strong conjectures that the ghost creates a gap between the perception of a problem and its real magnitude, that it has a political use for social control purposes and also for global hegemony; that operates as a displacement of insecurity and of replacement from Cold War to war on drugs. And finally, operates stigmatizing sectors of the population

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