Il est commun de prêter aux organisations des caractéristiques semblables à celles des êtres humains. Ainsi on parlera de la « mort » de l’entreprise, de son « identité », de sa « personnalité », de son « éthique », de son « projet ». Ce transfert s’effectue le plus souvent sans s’interroger sur les fondements des concepts. L’auteur ouvre ici des pistes en ce qui concerne le lien entre projet et identité