Depuis quelques années se pose en France la question d’un discours sur la danse qui ne serait pas réservé à un domaine de compétence circonscrit, mais participerait d’une histoire culturelle plus vaste, ouverte à ce que l’on nomme les “arts de la scène”. Les deux ouvrages co-édités par le Centre national de la danse réagissent de manière très différente à cette préoccupation. Le premier, en convoquant la thématique du “politique”, donne matière à réfléchir sur l’inscription de la danse dans u..