Breathing Under Water: A Ficto-Critical Response to Gail Jones’s “The House of Breathing”

Abstract

Cet article se propose d’utiliser la nouvelle de l’écrivaine australienne Gail Jones “The House of Breathing” (1992), publiée dans le volume du même nom, comme point de départ pour une méditation sur le voyage transatlantique. Il se livre, de façon parallèle, à une évocation de souvenirs plus personnels. Le naufrage désastreux du Titanic tel qu’il est présenté par cette nouvelle est envisagé comme le moment clé qui hante le modernisme. Cet article s’empare de ce moment pour amplifier sa hantise par l’intermédiaire d’une exploration ficto-critique des voyages en bateau et de la noyade. En d’autres termes, il allie la critique à la fiction créative pour mettre en lumière l’échange que perpétue toute migration et il double la fiction d’une autre fiction qui la hante comme par un effet d’écho et d’anticipation

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