Landscape research in Greece: an overview

Abstract

Though both academics and practitioners have been showing increasing interest in the Greek landscape, so far progress in related fields has been minimal and slow. Specifically, in the 1990s, landscape science in Greece underwent a shift from the fragmentary, peripheral and haphazard preoccupation of the design sciences with practical landscape issues as they developed out of physical interventions in urban space to a more concerted, focused and systematic landscape approach by several more disciplines and practitioners. This has, so far at least, remained mainly a qualitative shift characterized by its very limited extent and impact on actual landscape problems and issues in Greece, largely suffering from disciplinary limits and from the lack of communication and cooperation between academics, practitioners and administrators as well as from effective application in landscape policy. Clearly, what is required in the case of the Greek landscape is much further interdisciplinary engagement in landscape theory, methodology and development of techniques, as well as practical application and implementation of theoretical and research findings.En dépit de l’intérêt croissant des scientifiques et des aménageurs pour le paysage grec, les progrès réalisés jusqu’ici dans des domaines relatifs à cette matière ont été minimes. Ainsi, au cours des années 1990, la science du paysage en Grèce a évolué, mais lentement. Initialement perçue comme une préoccupation fragmentaire, périphérique et peu méthodique des concepteurs pour les problèmes pratiques liés aux aménagements de l’espace urbain, cette science est passée à une approche plus concertée et plus systématique du paysage dans le chef de plusieurs autres disciplines ou de certains praticiens. Ce changement qualitatif est resté, jusqu’ici du moins, principalement caractérisé par une ampleur restreinte et par son impact extrêmement faible sur les problèmes posés par les paysages en Grèce, largement accentués par les limites des différentes disciplines et le manque de communication et de coopération entre l’université, le terrain et l’administration, ainsi que par la non-application des politiques en matière de paysages. De toute évidence, l’étude des paysages en Grèce souffre avant tout d’un défaut d’engagement interdisciplinaire sur la théorie, la méthodologie et le développement de techniques, mais aussi du manque d’application pratique et de mise en œuvre des résultats théoriques et des découvertes de la recherche

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