Même si l’on « oublie » la partie consacrée aux autres pays d’Afrique australe (dont le Mozambique), qui représente presque une centaine de pages, ce livre important met le recenseur dans l’incertitude et l’embarras. Il ne sait comment concilier, d’une part, l’identité de certains des organismes qui le financent (Universidade Cátolica de Angola, Comunidade dos Países de Língua Portuguesa, Acção para o desenvolvimento Rural e Ambiente : ADRA-Angola, Open Society Foundation-Angola, pour se limi..