« Des mots pour la MEEAO » : poétiser et politiser la ville

Abstract

Me fourrant dans la gorge mille crocs de bambou. Mille pieux d’oursin. C’est toi sale bout du monde. Sale bout de petit matin ; C’est toi sale haine. C’est toi poids de l’insulte et cent ans de coups de fouet. C’est toi cent ans de ma patience cent ans de mes soins juste à ne pas mourir. Rooh oh… » Aimé Césaire - Extrait de Cahier d’un retour au pays natal. Poème inscrit au pochoir sur l’une des fenêtres emmurées de l’immeuble de la MEEAO. En novembre 2010, le collectif artistique Paris Label..

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