On pourrait s’interroger sur l’opportunité de traiter de la réception journalistique des « premiers romans » au nom d’une critique « nominaliste » du fait qu’un tel objet n’existerait pas dans la réalité. Je comprends d’autant mieux ce soupçon que je le partageais lorsqu’a été lancée l’idée de travailler sur les premiers romans. Ce soupçon, je l’avais éprouvé non pas en poéticien ou, plus platement, en amateur de littérature, mais en sociologue pour lequel compte au premier chef le fait de sa..