Publications de l’Institut de recherches historiques du Septentrion
Abstract
Les films de lumière solide d’Anthony McCall sont constitués de l’élément cinématographique immanent : la lumière. Ce dernier permet d’analyser le principe filmique en lui-même, de repousser les limites de la sculpture et de l’installation. Ainsi, l’espace est révélé, le visiteur positionné au sein de l’œuvre et le médium remis en question.The solid light films of Anthony McCall are made of the immanent cinematic component : light. The latter analyses the filmic principle itself, pushes back the boundaries of sculpture and installation art. Thus, space is revealed, the museum visitors are placed in the heart of the art piece and medium is questioned