Weak short-term survival of radio-tagged Pin-tailed Sangrouse (Pterocles alchata) in France raises questions about capture and attached transmitters

Abstract

Un des outils à la disposition des biologistes de la conservation pour étudier comment les espèces utilisent les habitats, thème central en écologie des populations, est la radio-télémétrie. Cette technique impose la capture et la pose d’émetteurs radio. Ces actions peuvent avoir un effet préjudiciable sur les oiseaux mais dans le cadre d’espèces difficiles à détecter, la méthode reste la seule pour acquérir des informations précises. Nous examinons ici le bilan d’un test de suivi radio-télémétrique sur le Ganga cata (Pterocles alchata) en France. Il en ressort que le taux de mortalité à court terme est très élevé. Aucune des informations collectées ne permet de l’expliquer clairement. Ces résultats sont comparés et discutés avec ceux obtenus en Espagne sur cette espèce.Radio-telemetry is widely used by conservation biologists for collecting data on habitat use by animal species, a central topic in population ecology. For this purpose, the capture of individuals and attachment of transmitters on animals are necessary. Those actions might have a harmful effect on birds but when species are difficult to detect it remains the only method available. We report results of a radio-telemetry study on Pin-tailed Sandgrouse (Pterocles alchata) in France. Although the capture and attachment of transmitters are possible, short-term mortality is very high. Collected data do not explain such a rate. We compare those results to a recent study on the same species in Spain and to a meta-analysis on birds

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