L’hypersensibilité aux radiations ionisantes: Modélisation d’un syndrome d’hypersensibilité aux radiations ionisantes pour l’estimation du risque de cancers et l’identification de biomarqueurs d’exposition aux faibles doses

Abstract

La population générale est soumise de manière chronique à de faibles doses de radiations ionisantes. La dose annuelle moyenne reçue par un Français était en 2010 de l’ordre de 3,7 millisievert. Cette exposition chronique a plusieurs origines : radioactivité naturelle (ex. radon), examens et traitements médicaux (ex. radiographie)... Les doses reçues par la population, se situent dans le domaine des faibles doses. On peut les définir comme celles pour lesquelles l’induction d’effets négatifs déterministes sur la santé n’est pas démontrée. Il y a un fort intérêt à mieux comprendre l’effet des faibles doses mais, du fait de leur caractère non déterministe, l’impact sur la santé est difficile à évaluer. Une solution pour mieux comprendre ces effets consiste à développer des modèles humains d’hypersensibilité pour amplifier les réponses cellulaires

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